Les dix événements météorologiques les plus marquants au Canada en 2012

Les Canadiens ont connu des températures supérieures à la normale ainsi que plusieurs jours où des records ont été battus pendant l'hiver, le printemps et l'été, et ce, d'un océan à l'autre. L'année a été chaude… et la décennie aussi!
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Les prévisionnistes avaient vu juste lorsqu'ils ont prédit avec précision une autre saison des ouragans active dans l'Atlantique en 2012. À la fin de la saison, on comptait 19 tempêtes, avec des noms qui allaient d'Alberto à Tony, dont 10 sont devenues de vrais ouragans.
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Des niveaux élevés d'inondations printanières précoces en Colombie-Britannique ont entraîné de l’érosion, des glissements de terrain, des évacuations et des décès.
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La vague de chaleur de mars 2012 a été extraordinaire sur tous les plans : intensité, importance et durée. La chaleur a éclipsé tous les records de température précédents et a volé la vedette à l'hiver qui n'en était pas réellement un.
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L'été dans les Prairies a commencé par des températures froides de courte durée pour finir parmi les dix étés les plus chauds jamais enregistrés. Il succédait à un printemps qui s'est classé au troisième rang sur le plan de l'humidité et au cinquième sur celui de la chaleur en 65 ans de consignation des données.
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L'année 2012 est à marquer d'une pierre blanche, en raison des changements extraordinaires qui se sont opérés à travers l'Arctique, où la glace devient beaucoup plus fine, plus faible et plus jeune, ce qui fait qu'elle fond plus facilement.
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Dans l'Est du Canada, les températures plus élevées que la normale et la faible pluviométrie ont créé des conditions estivales idéales pour la plupart des amateurs de plein air, mais elles ont aussi constitué un problème pour certaines cultures et les réseaux d'alimentation en eau.
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Alors qu’habituellement les inondations frappent davantage les régions rurales, les tempêtes de l’année 2012 ont comblé l’écart en touchant un grand nombre de villes canadiennes. En mai, Thunder Bay a fait face à une inondation record, alors que Montréal et Toronto ont elles aussi subi des inondations coûteuses quelques semaines plus tard.
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Une tempête colossale s'est abattue sur certaines parties de Calgary avec des grêlons dépassant la taille des balles de golf en fin de soirée du 12 août. En l'espace de 10 minutes, une pluie battante de grêle a criblé de milliers de bosses les véhicules et les parements de maison.
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Durant les premiers jours du printemps, il a fallu procéder à l'évacuation obligatoire de 500 résidants de Perth-Andover et de la Première Nation de Tobique lorsque la rivière Saint-Jean et plusieurs de ses affluents ont inondé les routes et les champs environnants.
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