Évaluation du Programme des urgences environnementales

Mars 2008

Étapes d'approbation du rapport

Achèvement de l’étape de planificationJuin 2006
Communication du rapport pour réponse
de la directionOctobre 2007
Réception de la réponse de la directionDécembre 2007
Achèvement du rapportJanvier 2008
Approbation du rapport par le Comité ministériel de
vérification et d’évaluation (CMVE)Mars 2008

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Acronymes utilisés dans le rapport

AM
Autres ministères
BPC
Biphényle polychloré
CCME
Conseil canadien des ministres de l’environnement
CCDE
Cadre pour la compétitivité et la durabilité de l’environnement
CGRR
Cadre de gestion et de responsabilisation axé sur les résultats
CMVE
Comite ministériel de la vérification et de l’évaluation
CNUE
Centre national des urgences environnementales
CSTE
Centre des sciences et technologies environnementales
DUE
Division des urgences environnementales
DUST
Division des urgences – Science et technologie
EC
Environnement Canada
EPAR
Éléments du projet axé sur les résultats
ERIPE
Équipes régionales d’intervention pour la protection de l’environnement
ETP
Équivalents temps plein
FDE
Fonds pour dommages à l’environnement
F et E
Fonctionnement et entretien
LCPE (1999)
Loi canadienne sur la protection de l’environnement (1999)
MON
Mode opératoire normalisé
NEMESIS
Système national de renseignements sur l’application de la loi reliée à l’environnement
PPAR
Plan de projets axés sur les résultats
PTNO
Prairies et Territoires du Nord-Ouest
PUE
Programme des urgences environnementales
PY
Pacifique et Yukon
R et D
Recherche et Développement
REIR
Résumé de l’étude d’impact de la réglementation
RPAR
Regroupement de projets axés sur les résultats
SMC
Service météorologique du Canada
SNUE
Service météorologique du Canada
SPAT
Stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme
S-T
Sciences et technologie
US EPA
Environmental Protection Agency américaine

Remerciements

L’équipe du projet d’évaluation, composée de Shelley Tice, Janet King, Lindsay Fitzpatrick, Karine Kisilenko et Michelle Guertin et dirigée par Robert Tkaczyk et V. Neimanis sous la gouverne de Shelley Borys, Directrice, aimerait remercier toutes les personnes qui ont contribué à ce projet, et plus particulièrement toutes les personnes interviewées qui nous ont fait part de leurs précieuses idées et observations.

Préparé par la Division de l’évaluation, Direction générale de la vérification et de l’évaluation.

Table des matières

RÉSUMÉ

La Direction générale de la vérification et de l’évaluation d’Environnement Canada (EC) a terminé l’évaluation du Programme des urgences environnementales (PUE) en août 2007.

L’évaluation du Programme des urgences environnementales (PUE) a été incorporée pour les raisons suivantes au plan de vérification et d’évaluation 2005-2006 d’Environnement Canada (EC)1:

L'objet de l'évaluation du Programme des urgences environnementales était d'examiner si ce dernier

L’évaluation de ce Programme a été choisie comme projet pilote de mise à l’essai d’un cadre d’évaluation générique, approuvé par le Comité ministériel de vérification et d’évaluation (CMVE), composé de questions ainsi que d’indicateurs connexes et de sources de données pour chacun des secteurs d’intérêt de l’évaluation : la pertinence, le succès, la rentabilité, et la conception et l’exécution. L’évaluation a répondu aux 30 questions de ce cadre d’évaluation générique et a recouru aux sources de données multiples suivantes :

La période visée par l’évaluation s’étendait de juillet 2004 (élaboration du Cadre de gestion et de responsabilisation axé sur les résultats (CGRR)) à décembre 2006. L’évaluation a examiné les cinq domaines d’activité du Programme des urgences environnementales (prévention, préparation, réponse, rétablissement et recherche-développement).

Vous trouverez ci-après une vue d’ensemble des résultats issus des quatre enjeux principaux relatifs à la pertinence, au succès, à la rentabilité ainsi qu’à la conception et exécution.

Pertinence : Le Programme est–il encore conforme aux priorités du gouvernement fédéral, contribue–t’il à ces priorités et répond–il à des besoins réels?

  1. Il existe des preuves tangibles que le Programme sert un intérêt public.
  2. Le programme cadre bien avec les résultats stratégiques d’Environnement Canada.
  3. On a également la preuve que le gouvernement a un rôle clair à jouer. Cependant, le rôle exact que doit jouer chaque ordre de gouvernement en matière de gestion des urgences environnementale est moins clair.

Succès : Le Programme a–t–il atteint les résultats prévus?

  1. Dans l’ensemble, le programme atteint la majorité des résultats prévus dans le Programme des urgences environnementales en matière. Cependant, le succès du programme est assombri par plusieurs éléments liés à sa conception et à sa prestation. Plus particulièrement, quand on n’atteint pas les résultats, on ne sait pas avec certitude quelles activités contribuent réellement à atteindre les résultats prévus, étant donné l’absence d’un système de mesure de performance adéquat. Le manque de conception et de prestation est également illustré dans le modèle logique. On note également un manque d'intégration dans le modèle logique du programme et dans la stratégie de mesure de performance (particulièrement dans les éléments de préparation et de prévention du programme) des activités et des résultats dans le cadre de la Stratégie sur la sécurité publique et l’antiterrorisme (SPAT). On remarque en outre une lacune au niveau de l’impact global sur la sensibilisation du client et au niveau de l'évaluation globale de la capacité du programme.

Rentabilité : Le Programme utilise-t-il les moyens les plus appropriés, les plus efficaces par rapport au coût et les plus efficients qui soient pour atteindre les résultats?

  1. Les principaux informateurs ont souligné la valeur du programme. En l'absence de compte rendu global sur les mesures de performance, on n'a pu déterminer objectivement un degré de rentabilité et d'optimisation des ressources.
  2. Les répondants sont unanimes à l'effet que le programme devrait comporter un élément de recouvrement des coûts. Par contre, on ne peut affirmer avec précision quels éléments du programme devraient faire l'objet d'un recouvrement des coûts par les fonds publics, et dans quelle mesure.
  3. On a évalué d'autres méthodes d’exécution, sans toutefois les examiner en profondeur.

Conception et exécution : Le Programme est-il conçu et exécuté de la meilleure façon possible?

  1. Dans certains cas, quand on n’atteint pas les résultats, étant donné l’absence d’un système de mesure de performance adéquat, on ne sait pas avec certitude quelles activités contribuent réellement à atteindre les résultats prévus. Le manque de conception et de prestation est également illustré dans le modèle logique. On note également un manque d'intégration dans le modèle logique du programme et dans la stratégie de mesure de performance (particulièrement dans les éléments de préparation et de prévention du programme) des activités et des résultats dans le cadre de la Stratégie sur la sécurité publique et l’antiterrorisme (SPAT).
  2. Il manque une stratégie exhaustive et solide d'information pour garantir l'impact prévu sur la sensibilisation du client; plus expressément, dans les secteurs de la prévention et de la préparation.
  3. La sensibilisation du programme à savoir qui est la collectivité réglementée n’est pas complète (quels secteurs de l’industrie doit-on inclure, avec les renseignements pertinents les concernant?).
  4. Une procédure exhaustive pour vérifier les renseignements fournis par le client sur sa conformité au Règlement sur les urgences environnementales n’était pas mis en œuvre.
  5. Bien que certains éléments de l’analyse de la capacité aient été entrepris, il manque une évaluation complète et exhaustive de la capacité du programme.
  6. Le système de mesure du rendement du programme est inapproprié. Plus particulièrement, on note des problèmes de collecte et d’intégrité des données; il manque des indicateurs des extrants en matière de sécurité publique et d’antiterrorisme; et les données de référence sur les résultats sont trop limitées.
  7. Les rôles et responsabilités, au sein d'Environnement Canada, à l'égard de la promotion et de l'application de la conformité ne sont pas clairs, bien compris ou correctement documentés.

Il s’agit de la première évaluation du Programme des urgences environnementales, un des domaines de programme les plus anciens d’Environnement Canada. En général, l'évaluation du programme est positive, dans la mesure où celui-ci livre un bien public reconnu, remplit le mandat du Ministère et qu’aucun problème grave n’est recensé. Les principales conclusions de l’évaluation sont présentées ci-dessous.

  1. Le Programme continue d'être pertinent, dans la mesure où il sert l'intérêt public et comporte un rôle bien défini pour le gouvernement; néanmoins, il est possible de définir plus précisément les rôles de chaque niveau de gouvernement, tout en tenant compte des responsabilités législatives du gouvernement fédéral.
  2. Le Programme produit généralement les résultats escomptés. Cependant, certains éléments de sa conception et de son exécution restreignent la mesure quantitative de son niveau de réussite.
  3. Bien que des preuves qualitatives semblent indiquer que le Programme est rentable, ceci n’a pu être corroboré par des données quantitatives.
  4. Au niveau de la conception et de l’exécution du Programme, un certain nombre de secteurs devront être améliorés. Cela comprend la nécessité de mettre en œuvre un système de mesure du rendement; une évaluation détaillée de la capacité du Programme; l’intégration des résultats et des activités de la stratégie sur la Sécurité publique et l’antiterrorisme (SPAT) au modèle logique et à la stratégie de mesure du rendement du Programme dans les domaines d'activité liées à la prévention et à la préparation; et la mise en œuvre d’une stratégie de sensibilisation détaillée.
  5. Les rôles et responsabilités dans le contexte du Programme doivent être clarifiés à l'interne à Environnement Canada, en ce qui concerne la promotion de la conformité et la mise en application de la loi.

Bien que des domaines de préoccupation aient été mentionnés au cours de l’évaluation en ce qui concerne la pertinence, le succès et la rentabilité, ces inquiétudes sont associées aux aspects de conception et d’exécution; il est donc possible de les régler en modifiant la conception et l’exécution du Programme.

Fondamentalement, la pertinence du Programme et le fait qu’EC devrait continuer à s’acquitter de cette fonction ne sont pas mis en doute et donnent au Programme des bases fermes sur lesquelles il peut s’appuyer pour ses activités.

Compte tenu des pressions actuelles sur le Programme, des questions connues en matière de capacité, y compris la relève, ainsi que des pressions financières constantes au gouvernement fédéral, il est urgent d’apporter une réponse aux recommandations. Les recommandations sont présentées de façon séquentielle, en fonction de la structure logique et des délais dans lesquels elles devraient être appliquées.

1re recommandation :

À présent, il y a au Ministère des groupes précis chargés de l’application de la loi, et des activités de promotion de la conformité. Le Programme des urgences environnementales a en même temps la responsabilité fonctionnelle de ces deux activités dans le contexte des urgences environnementales, ce qui entraîne une certaine confusion à l’interne, car on ne sait pas où ces responsabilités fonctionnelles commencent et finissent pour ces deux activités. Plusieurs groupes d’entrevue auprès des principaux informateurs à l’interne et à l’externe ont soulevé cette inquiétude.

L’évaluation conclut que la conception et l’exécution du Programme doivent être améliorées dans un certain nombre de domaines :

Le Conseil de protection de l’environnement devrait aborder les recommandations suivantes selon l’ordre qui suit :

  1. en collaboration avec le Responsable de la mise en application de la loi, clarifier et modifier au besoin les rôles et les responsabilités dans le contexte du Programme, notamment en ce qui a trait à la promotion de la conformité et à la mise en application de la loi.
  2. mener des recherches approfondies sur les activités liées à la sensibilisation aux secteurs du Programme liées à la prévention et la préparation afin de déterminer lesquelles ne contribuent pas à l’atteint des résultats de prévention et de préparation.
  3. effectuer une évaluation détaillée de la capacité du Programme (c.-à-d. nécessaires vs réelles); lorsqu'il y a des lacunes qui émergent, déterminer les risques et mettre en œuvre les stratégies d'atténuation.
  4. achever et mettre en œuvre un système de mesure et de rapport sur le rendement.
  5. combler les lacunes du Programme en ce qui a trait à la surveillance de la conformité.

Auparavant, les activités de planification et de gestion des urgences environnementales, d’application de la loi, et de promotion de la conformité associées à la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999) [LCPE (1999)] et à la Loi sur les pêches se trouvaient dans le même Regroupement de projets axés sur les résultats (RPAR) relevant du Conseil de la protection de l’environnement (PE). Il y avait donc des communications régulières entre le Programme des urgences environnementales, promotion de la conformité et mise en application de la loi, et tous étaient au courant des activités de chacun des groupes. Il a été décidé en avril 2006 de regrouper toutes les activités d’application de la loi du Ministère sous la responsabilité du Conseil des services de gestion du Ministère. À présent, compte tenu de ce que ces activités ne sont plus regroupées dans une même structure de gouvernance, la confusion qui règne autour de la question de savoir où commencent et où finissent les responsabilités fonctionnelles pour ces deux activités est exacerbée.

Les activités et les résultats attendus du Programme des urgences environnementales doivent être associés à des rôles et à des responsabilités clairement définis. Il faudra peut-être pour cela réviser le modèle logique du Programme. Ce qui fournirait aussi l’occasion d’intégrer les activités et les résultats de la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT) au modèle logique et à la stratégie de mesure du rendement du Programme dans les domaines d’activité liées à la prévention et à la préparation. Le mandat de cette évaluation consistait à examiner les quatre enjeux de l’évaluation (pertinence, succès, rentabilité, et conception et exécution) dans les cinq domaines d’activité du Programme. Compte tenu de ce qu’il n’y a pas de système adéquat de mesure du rendement, l’évaluation n’a pu examiner plus en profondeur quelles activités précisément sont des réussites et quelles activités n’en sont pas, dans les domaines du Programme où les résultats ne sont pas complètement atteints (p. ex., la sensibilisation). Prenant appui sur les constatations de cette évaluation, d’autres recherches visant à déterminer quelles activités ont contribué à l’atteint de ces résultats sont par conséquent nécessaires afin d’établir quels secteurs du Programme il faut améliorer, ce qui augmente l’efficacité et l’efficience du Programme. Une partie de cette tâche pourrait consister à recueillir des données sur les activités en question afin d’établir dans quelle mesure elles sont une réussite. Lorsque le Programme a identifié quelles activités liées à la sensibilisation sont réussites, le Programme devrait ensuite élaborer et mettre en œuvre une stratégie de sensibilisation détaillée.

Il faut effectuer une évaluation complète de la capacité du Programme afin de déterminer les écarts, s’il y en a, entre la capacité disponible et la capacité nécessaire. Lorsque des écarts sont cernés, les risques associés devraient être identifiés et des stratégies d’atténuation devraient être mise en place pour faire face à ces risques.

Le Programme doit achever et mettre en œuvre un système de production de rapports et de mesure du rendement cernant les principaux indicateurs et les données nécessaires pour établir à quel point le Programme réussit à atteindre les objectifs énoncés.

Le Programme a des insuffisances précises en surveillance dans le domaine de conformité qu’il faut examiner et auxquelles il faut remédier pour assurer l’existence de bons liens avec la population sur laquelle il a le plus d’incidences.

Réponse de la direction

Recommandation nº 1a :
Le Conseil de protection de l’environnement est d’accord avec cette recommandation. La mise en application, la promotion de la conformité aux règlements et la fourniture d’information et de conseils scientifiques et techniques constituent trois fonctions ministérielles distinctes au sein d’Environnement Canada. Pour des raisons juridiques ainsi qu’administratives, il est essentiel que les rôles et les responsabilités du personnel soient clairement définis et compris, aussi bien à l’interne dans les ministères que par les intervenants externes avec qui le personnel interagit.

Le représentant délégué du Conseil de protection de l’environnement et le Responsable de la mise en application de la loi se sont entendus pour collaborer à l'élaboration (d'ici mars 2008) d’un document de gouvernance pour clarifier les liens entre les activités d’urgence, de promotion de la conformité et de mise en application. Ce document sera élaboré conformément à la méthodologie du système de gestion de la qualité (SGQ).

Recommandation nº 1b :
Le Conseil de protection de l’environnement est d’accord avec cette recommandation. À l’exception de la promotion de la conformité aux règlements en matière d’urgence environnementale en vertu de la partie 8 de la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999) [LCPE (1999)], le ministère a généralement préconisé comme approche pour sensibiliser les intervenants externes de profiter des initiatives régionales et locales entreprises par les autres gouvernements, les autres ministères fédéraux ou les intervenants du secteur privé. Cette approche a fonctionné à des degrés divers. Le Conseil de protection de l’environnement s’engage à effectuer une étude pour identifier les principaux publics visés et évaluer les forces, les faiblesses et les coûts de divers mécanismes de livraison pour améliorer la prévention des situations d’urgence et la préparation à de telles situations. Cette étude sera complétée d’ici juin 2008.

Recommandation nº 1c :
Le Conseil de protection de l’environnement est d’accord avec cette recommandation. Des travaux importants ont été effectués par le passé pour déterminer les ressources nécessaires pour assumer de façon adéquate les responsabilités mandatées du Programme des urgences environnementales. Le Conseil de protection de l’environnement s’inspirera de ces travaux pour effectuer une évaluation détaillée des exigences en matière de capacité du Programme, des lacunes, des risques et des stratégies d’atténuation relevant des rôles et responsabilités a rendu obligatoire d’Environnement Canada. Cette évaluation tiendra également compte des résultats de l’étude sur les activités de sensibilisation qui doit être entreprise en réponse à la Recommandations nº 2 ci-dessus et proposera diverses options à la direction. Ce travail sera complété d’ici janvier 2009 et sera donc disponible pour le processus de planification de l’exercice financier 2009-2010.

Recommandation nº 1d :
Le Conseil de protection de l’environnement est d’accord avec cette recommandation. Des travaux importants ont été effectués au cours des dernières années pour identifier un ensemble complet d’indicateurs pour les volets de prévention, de préparation, de réponse, de récupération et de R-D du Programme des urgences environnementales. Il faut maintenant consacrer des efforts à l’analyse et au choix d’un sous-ensemble plus représentatif d’indicateurs qui permettront de mesurer efficacement les résultats et l’efficacité du Programme et qui pourront être mis en œuvre de façon cohérente et à des coûts abordables à l’échelle nationale. Ce travail sera effectué en parallèle avec l’évaluation détaillée de la capacité du Programme présentée ci-dessus en réponse à la Recommandation nº 3 et devrait donc être complété d’ici janvier 2009.

Recommandation nº 1e :
Le Conseil de protection de l’environnement est d’accord avec cette recommandation et considère l’élaboration d’une stratégie efficace mais abordable de mesure de la performance, présentée ci-dessus en réponse à la Recommandation nº 4, comme essentielle pour répondre aux préoccupations identifiées dans le cadre de l’évaluation du Programme.

1.0 INTRODUCTION

La Direction générale de la vérification et de l’évaluation d’Environnement Canada (EC) a terminé l’évaluation du Programme des urgences environnementales (PUE) en août 2007.

L’évaluation du Programme des urgences environnementales (PUE) a été incorporée pour les raisons suivantes au plan de vérification et d’évaluation 2005-2006 d’Environnement Canada (EC)1 :

Créé en 1973 en vertu d’une directive du Cabinet, le Programme des urgences environnementales est l’un des programmes les plus anciens d’Environnement Canada. Le Programme est structuré selon cinq domaines d’activité : prévention, préparation, intervention, rétablissement, recherche-développement. Le Programme des urgences environnementales a pour mission de réduire la fréquence, la gravité et les conséquences des urgences environnementales en encourageant la mise sur pied de mesures de prévention et de préparation, en fournissant des conseils sur les mesures d’intervention et de rétablissement et en contribuant à l’avancement scientifique et technologique du domaine des urgences.

L’évaluation de ce Programme a aussi été choisie comme projet pilote de mise à l’essai d’un cadre d’évaluation générique.

Un comité d'évaluation a été créé, avec pour mandat de faciliter et d'orienter, du début à la fin, le processus d'évaluation au niveau de l'exécution. Ce comité était composé de représentants de la Direction générale de la vérification et d l’évaluation et du Programme des urgences environnementales.

Ce document, qui présente les constatations et recommandations issues de l’évaluation du Programme des urgences environnementales, est ainsi structuré :

2.0 RENSEIGNEMENTS GÉNÉRAUX ET CONTEXTE

2.1 Renseignements généraux

Créé en 1973 en vertu d’une directive du Cabinet, le Programme des urgences environnementales est l’un des programmes les plus anciens d’Environnement Canada. Depuis sa création, le programme a connu le parcours habituel des programmes dirigés par les événements, c’est à dire qu’il suscite beaucoup d’intérêt et de visibilité lors d'une situation d'urgence ou d’une catastrophe et qu'il est mis de côté en période d'accalmie.

Au début des années 1970, à la suite d’une série de catastrophes, dont celles causées par le naufrage des navires Torrey Canyon (Angleterre, 1967) et Arrow (Canada, 1970), le Programme des urgences environnementales s’est surtout concentré sur les déversements accidentels de pétrole. Par la suite, d’autres déversements comme celui de l’Amoco Cadiz (France, 1978), du Kurdistan (Canada, 1979) et de l‘Exxon Valdez (USA, 1989) ont confirmé le besoin d’instaurer des mesures de prévention et de gestion de ce type d’accidents.

Au cours des années 1980, des catastrophes comme celles de Bhopal, en Inde, et celle de Mexico, au Mexique, survenues toutes deux en décembre 1984 et entraînant la mort de milliers de personnes, ont également mis en évidence l’importance de se concentrer sur le déversement des produits chimiques et des matières dangereuses. Mis à part le bien-fondé du programme, on a surtout réalisé que ce genre d’événements avait des conséquences sérieuses non seulement sur l'environnement, mais aussi sur la santé et sur la vie des personnes. Certains événements, comme le déversement de PBC survenu en 1986 le long de la route 17 à Kenora, en Ontario, l’incendie d’un entrepôt de PBC à Saint-Basile-le-Grand, au Québec, qui s’est produit en 1988, ainsi que les incendies de Hagersville, en Ontario, et de Saint-Amable, au Québec, survenus tous deux au début des années 1990, ont prouvé qu’il fallait améliorer le système canadien de gestion des mesures d'urgence pour mieux gérer ce genre de situations.

Depuis le début des années 1990, le programme a fait l’objet de plusieurs modifications importantes. À la fin de 1991, le gouvernement annonçait le lancement du Plan vert du Canada, qui s’accompagnait d’un financement de 165 millions de dollars échelonné sur cinq ans. De cette somme, 40 millions étaient destinés aux services de prévisions et d’avertissements environnementaux, 100 millions à la stratégie d'intervention en cas de catastrophe écologique en mer et 25 millions au programme de prévention et de gestion des déversements dangereux. Même si seulement une partie de ces fonds était destinée à Environnement Canada, le programme a connu une croissance marquée, doublant pratiquement de taille et d’envergure au cours des deux ou trois années qui ont suivi. En 1994, le gouvernement a procédé à un examen du programme et décidé de couper de 40 p. cent le budget qu’il lui accordait. De 10 millions de dollars, le budget passait ainsi à 6,25 millions de dollars. La situation a amené certains gestionnaires supérieurs à prendre leur retraite et d’autres employés, à changer d’organismes. Au début de 1997, la direction du Programmes des urgences environnementales a entrepris de revoir ses responsabilités et ses compétences.

En 1999, le programme a commencé à ressentir les effets des travaux en prévision du passage à l'an 2000. On engageait du personnel pour évaluer la sécurité dans les secteurs et pour préparer les employés à gérer les répercussions possibles des défaillances informatiques. Les attaques du 11 septembre sur le World Trade Centre et le Pentagone ont, par la suite, renforcé ce besoin. Environnement Canada a participé de près aux activités qui ont donné lieu au budget de décembre 2001 consacré à la sécurité. De nouvelles initiatives, notamment la création de la partie 8 de la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999) [LCPE (1999)] afin de faire face aux questions d’ordre environnemental en matière d’urgences, la rédaction et la mise en œuvre du Règlement sur les urgences environnementales établi en vertu de l’article 200 de la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999) [LCPE (1999)] ainsi que l’initiative de recherche et de technologie CBRN (chimique, biologique, radiologique et nucléaire), ont également permis d'orienter le programme vers le secteur de la sécurité publique.

Le concept de gestion des urgences au Canada est un principe clé pour bien comprendre les rôles et les responsabilités du programme. La responsabilité de gérer les urgences environnementales incombe surtout à la partie qui est à l’origine du risque ou au pollueur potentiel et, par la suite, à l’ordre de gouvernement (municipal, provincial ou fédéral) qui a le pouvoir législatif approprié en matière d'urgences environnementales.

Ce mode de fonctionnement hiérarchique est inhérent à l’approche tous risques de gestion des urgences adoptée au Canada. Plusieurs services et organismes provinciaux et fédéraux ont le mandat prescrit par la loi et les fonctions essentielles pour gérer les urgences. Il est donc important de reconnaître et de respecter leur rôle respectif. À titre de pollueur potentiel, l’industrie a également un rôle important à jouer à chacune des étapes de la gestion des urgences. Toutes les parties doivent veiller à mettre en œuvre les ententes et les mesures nécessaires pour assurer la collaboration et la coordination quand besoin est, ce qui est en soi un enjeu de taille.

2.2 Mandat et mission

La partie 8 de la Loi canadienne sur la protection de l’environnement (1999) définit ainsi ce qu’est une urgence environnementale : « Situation liée au rejet - effectif ou probable - d'une substance2 dans l'environnement, soit de manière accidentelle, soit en violation des règlements ou arrêtés d'urgence pris en application de la présente partie », et dont les aspects « ont ou pourraient avoir, immédiatement ou à long terme, un effet nocif sur l'environnement; mettent ou pourraient mettre en danger l'environnement essentiel pour la vie humaine; constituent ou pourraient constituer un danger au Canada pour la vie ou la santé humaines. » En sa qualité de principal organisme environnemental au gouvernement fédéral, Environnement Canada a la responsabilité de fournir les services essentiels pour prévenir les rejets de polluants, s’y préparer, intervenir le cas échéant ou réparer les dommages, de façon à protéger l’environnement et la santé publique contre les menaces de pollution résultant des urgences environnementales.

La fourniture de ces services essentiels se fait par l’entremise du Programme des urgences environnementales, dont le mandat découle de diverses lois et politiques fédérales :

Le Programme des urgences environnementales a pour mission de réduire la fréquence, la gravité et les conséquences des urgences environnementales en encourageant la mise sur pied de mesures de prévention et de préparation, en fournissant des conseils sur les mesures d’intervention et de rétablissement et en contribuant à l’avancement scientifique et technologique du domaine des urgences.

En 2001, les responsabilités conférées au Programme ont été rehaussées par la mise en place de la Stratégie du gouvernement du Canada en matière de la stratégie de sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT), qui allouait 7,8 milliards de dollars sur six ans à divers ministères fédéraux afin d’intensifier les mesures de sécurité visant à protéger la santé et la sécurité de la population canadienne. Le Programme des urgences environnementales a reçu des fonds devant servir à mettre en œuvre des mesures (Règlement sur les urgences environnementales) pour améliorer les activités de prévention, de préparation, d’intervention et de rétablissement au titre des urgences environnementales, dans les installations où se trouvent des substances dont le rejet accidentel ou délibéré dans l’environnement menacerait la santé humaine ou la qualité de l’environnement.

2.3 Exécution du Programme

Le Programme des urgences environnementales est structuré selon cinq domaines d’activité : prévention, préparation, intervention, rétablissement, recherche-développement.

2.3.1 Prévention

Les activités associées à la prévention sont les suivantes : administrer, examiner et gérer la préparation et l’actualisation des plans d’urgences environnementales; cerner les dangers et évaluer les risques en vue d’élaborer et d’appliquer des stratégies réduisant les possibilités que survienne une urgence; faciliter et donner une formation sur la prévention des déversements, à l’intention des intéressés. Aux termes du Règlement sur les urgences environnementales (2003), qui découle de la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999) [LCPE (1999)], quiconque entrepose ou utilise certaines substances toxiques et dangereuses, à partir de certains seuils précis, doit préparer et appliquer un plan d’urgences environnementales. Ce plan doit contenir de l’information sur les types d’urgences que pourraient causer les substances toxiques ou d’autres substances dangereuses, avec les renseignements pertinents sur les mesures de prévention, de préparation, d’intervention et de rétablissement.

La prévention des urgences environnementales associées au transport de substances toxiques ou d’autres matières dangereuses incombe à Transports Canada dans le cas du transport routier, ferroviaire ou maritime, et à l’Office national de l’énergie dans le cas du transport interprovincial ou international par pipeline. Dans ces cas-là, Environnement Canada a pour rôle de promouvoir une meilleure protection de l’environnement.

2.3.2 Préparation

Dans le domaine d’activité « préparation », Environnement Canada a la responsabilité de coordonner à l’échelle nationale et régionale les mesures de préparation en cas d’urgence environnementale. Pour ce faire, le Ministère doit : élaborer des plans d’urgence tels que le Plan national d’intervention en cas d’urgence environnementale, qui délimite les responsabilités des ministères fédéraux; établir les procédures d’intervention à suivre en cas d’urgence environnementale; fixer des normes de formation pour les agents d’intervention d’urgence du Ministère.

Sur le plan régional, Environnement Canada coordonne les équipes régionales d’intervention d’urgence (ERIU), qui regroupent les instances fédérales, provinciales et municipales responsables de la protection de l’environnement, des représentants autochtones et des experts de l’industrie et d’organisations non gouvernementales. Les équipes régionales d’intervention d’urgence (ERIU) représentent une source centralisée de conseils d’experts durant les urgences environnementales.

En outre, le Ministère offre un leadership et une orientation aux ministères, aux provinces, aux organismes et à l’industrie dans l’élaboration des plans d’urgence, des plans de préparation des interventions en cas de déversement et des systèmes de signalement et d’intervention; il participe à des exercices d’intervention et il collabore à des réseaux avec l’industrie, d’autres ministères fédéraux et des organismes d’intervention.

2.3.3 Intervention

Au cours d’une urgence environnementale, Environnement Canada a la responsabilité de superviser au nom du gouvernement fédéral les mesures d’intervention prises par la partie ou les parties responsables; de fournir des conseils scientifiques et techniques sur la météorologie et l’état de la mer et sur le devenir; le comportement et les effets des produits chimiques; de prélever et d’analyser des échantillons; de prendre des contre-mesures; de cartographier les zones vulnérables et de modéliser la trajectoire des polluants pour certaines interventions sur place, afin de réduire les dégâts à l’environnement. En outre, Environnement Canada dirige le Centre national des urgences environnementales (CNUE), en activité 24 heures par jour et sept jours par semaine, qui, selon la nature et la gravité de l’urgence, aide à coordonner les besoins en informations et en ressources, suit les progrès de l’intervention et fait le point de la situation pour la haute direction d’Environnement Canada.

2.3.4 Rétablissement

Après une urgence environnementale, Environnement Canada a la responsabilité de s’assurer que les parties responsables évaluent adéquatement et, dans toute la mesure du possible, réparent les dégâts environnementaux causés par l’incident, en entreprenant ou en coordonnant les travaux de restauration nécessaires et en en recouvrant le coût auprès des pollueurs. À cette fin, Environnement Canada élabore et utilise des outils et des techniques d’évaluation et de réparation des dégâts et contribue à la gestion du Fonds pour dommage à l’environnement, qui sert de compte de fiducie fédéral pour la gestion et le versement des paiements d’indemnisation en matière d’environnement.

2.3.5 Recherche-développement

Le domaine d’activité recherche-développement (R-D), qui relève surtout du Centre des sciences et technologies environnementales (CSTE), comprend la conception des modèles de déversement, des méthodes d’analyse, des algorithmes sur le devenir et le comportement des polluants, des méthodes de mesure et de télédétection, des protocoles et des contre-mesures de décontamination qui sont utilisés lors des incidents. Le Service météorologique du Canada (SMC) collabore en préparant et en diffusant des prévisions météorologiques ainsi que les résultats de modélisation.

Ce domaine englobe également l’élaboration courante de technologies de prévention, de nouveaux outils et de nouvelles méthodes de prévention.

2.4 Modèle logique du Programme

Le Cadre de gestion et de responsabilisation axé sur les résultats (CGRR) établi en juillet 2004 est assorti d’un modèle logique sommaire du Programme (figure 1) qui illustre les liens entre les activités du Programme des urgences environnementales et l’atteinte de ses résultats.

Cependant, le modèle logique ne comprend pas les fonctions du Programme relatifs à la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT). En 2001, les responsabilités du Programme se sont accrues en raison de la création de la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT) du gouvernement canadien, qui a financé l’amélioration et la mise en place de mesures de sécurité pour protéger la santé et la sécurité des Canadiens. Le Programme a identifié des résultats4 précis relatifs au Règlement sur les urgences environnementales, tels documentés dans les rapports annuels de la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT) envoyés au Conseil du Trésor.

Le résultat intermédiaire de la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT) suivant était identifié :

Les résultats immédiats de stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT) suivants étaient identifiés :

Figure 1 : Modèle logique sommaire pour le Programme des urgences environnementales

Figure 1: Modèle logique sommaire pour le Programme des urgences environnementales

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2.5 Ressources financières du Programme

Le tableau 1 ci-dessous présente un sommaire de l’affectation budgétaire des salaires et de fonctionnement et entretien (F et E) du Programme des urgences environnementales par région (incluant une colonne distincte pour la Division des urgences – Science et technologie (DUST) et par année, pour les années fiscales de 2002-2003 à 2005-2006. Ces données comprennent les fonds alloués au Programme des urgences environnementales relatifs aux responsabilités du Programme en ce qui concerne la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT).

Tableau 1 : Affectation budgétaire des salaires et de fonctionnement et entretien (F et E) du Programme des urgences environnementales

 
DUE
Atlantique
Québec
Ontario
PTNO
PY
DUST
Total
AF 2002-2003
Salaires $999,900 $573,800 $445,800 $138,200 $191,200 $512,900 $940,700 $3,802,500
F et E $503,200 $376,700 $222,000 $142,100 $115,100 $100,400 $952,700 $2,412,200
Total $1,503,100 $950,500 $667,800 $280,300 $306,300 $613,300 $1,893,400 $6,214,700
Financement : R-D5 $893,186 $893,186
AF 2003-2004
Salaires $1,279,500 $582,500 $476,000 $54,000 $391,900 $521,300 $980,100 $4,285,300
F et E $950,500 $399,700 $225,600 $123,500 $278,000 $100,400 $938,900 $3,016,600
Total $2,230,000 $982,200 $701,600 $177,500 $669,900 $621,700 $1,919,000 $7,301,900
Financement : examen opérationnel de la LCPE6 $2,000,000
Financement : R-D $734,724 $734,724
AF 2004-2005
Salaires $1,306,900 $669,500 $643,000 $224,000 $501,900 $463,400 $1,082,500 $4,891,200
F et E $681,900 $540,600 $236,700 $262,000 $443,100 $262,300 $1,312,900 $3,739,500
Total $1,988,800 $1,210,100 $879,700 $486,000 $945,000 $725,700 $2,395,400 $8,630,700
Financement : R-D $944,253 $944,253
AF 2005-2006
Salaires $1,373,300 $749,400 $674,000 $421,400 $473,800 $463,600 $1,132,600 $5,288,100
F et E $681,900 $524,400 $236,700 $256,200 $291,900 $413,600 $1,319,200 $3,723,900
Total $2,055,200 $1,273,800 $910,700 $677,600 $765,700 $877,200 $2,451,800 $9,012,000
Financement : R-D $443,047 $443,047

3.0 CONCEPTION DE L'ÉVALUATION

3.1 Objet et portée

L'objet de l'évaluation du Programme des urgences environnementales était d'examiner si ce dernier :

Le tableau suivant (tableau 2) présente les résultats escomptés précis du Programme qui sont liés à l’axe d’évaluation de succès. Les résultats immédiats sont liés à chacun des cinq domaines d’activités du Programme ainsi que les activités relatifs à la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT). Les résultats intermédiaires sont liés à l’ensemble du Programme ainsi que les activités relatifs à la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT). Finalement, le résultat à long terme est lié à l’ensemble du Programme.




Tableau 2 : Résultats escomptés du Programme des urgences environnementales7

Type de résultat Domaine d’activité du Programme Résultats escomptés
Résultats immédiats Prévention
  • Sensibilisation accrue des intervenants ciblés à la nature et à l’étendue des risques associés aux urgences environnementales, et aux mesures d’atténuation appropriées
  • Application de stratégies claires et concises de conformité et d’exécution pour l’art. 200 de la LCPE (1999)
Préparation
  • État de préparation du Ministère à offrir des conseils et un soutien scientifiques et techniques opportuns et pertinents, conformes aux responsabilités mandatées
  • Meilleure sensibilisation et préparation du client à la gestion des urgences environnementales
Intervention
  • État de préparation du Ministère à offrir des conseils et un soutien scientifiques et techniques opportuns et pertinents, conformes aux responsabilités mandatées
  • Meilleure sensibilisation et préparation du client à la gestion des urgences environnementales
Rétablissement
  • Sensibilisation accrue des intervenants ciblés à l’évaluation et à la réparation des dégâts causés par les urgences environnementales
Recherche et développement
  • Amélioration des connaissances, des technologies, des outils et des méthodes scientifiques touchant les étapes de prévention, de préparation, d’intervention et de rétablissement en cas d’urgence environnementale
Stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT)
  • Meilleure connaissance du Règlement sur les UE
  • Meilleure connaissance par EC des entit és réglementées
  • Meilleure connaissance par la collectivité du Règlement sur les UE et des risques des UE
  • Meilleure participation communautaire à la préparation des plans d’urgence environnementale
  • Accroissement des partenariats/relations entre le gouvernement et l’industrie
  • Meilleure conformité au Règlement sur les UE
Résultats inter-médiaires Programme des urgences environnementales
  • Mise en œuvre par le client des plans et des pratiques de prévention, d’intervention et de rétablissement en cas d’urgences
  • Investissement accru dans les mesures de prévention et de préparation par l’industrie et les gouvernements
Stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT)
  • Meilleure gestion des UE dans les installations et les collectivités, notamment grâce à la substitution de substances moins dangereuses dans le contexte de la prévention, préparation, intervention et rétablissement
Résultat à long terme Programme des urgences environnementales
  • Réduction de la fréquence, de la gravité et des conséquences des urgences environnementales touchant le Canada

Les cinq domaines d'activité du Programme des urgences environnementales (prévention, préparation, intervention, rétablissement et recherche-développement) étaient compris dans l'évaluation.

L’évaluation traite de la période allant de juillet 2004 (l’élaboration du Cadre de gestion et de responsabilisation axé sur les résultats (CGRR)) et décembre 2006.

3.2 Approche et méthodologie utilisées pour mener l’évaluation

Le Comité ministériel de vérification et d'évaluation (CMVE) d'Environnement Canada a approuvé un cadre d'évaluation, constitué de questions assorties d'indicateurs et de sources de données connexes. L’évaluation a appliqué rigoureusement les 30 questions d'évaluation énumérées dans le cadre d'évaluation générique et a examiné les quatre enjeux exposés ci-dessus.

Le cadre repose sur un modèle logique classique, supposant que l'on utilise des ressources (Intrants) et que l'on fait des choses (Activités) qui résultent en des produits (Extrants) qui s'adressent à certains intervenants (Portée) afin d'atteindre certains résultats, des aboutissements souhaités ou des conditions modifiées (Résultats). Subséquemment, on a formulé une série de questions d'évaluation génériques (avec les indicateurs et les sources de données qui s'y rattachent) pouvant s'appliquer à tout programme, que l'on a examinées en regard du modèle logique établi. Les questions portent sur les quatre grands axes d'évaluation : pertinence, succès, rentabilité, conception et prestation. Ces questions génériques (qui comprennent les sept questions de l'examen sur les dépenses) étaient regroupées à quelques questions d'évaluation supplémentaires concernant expressément le programme évalué, lesquelles questions étaient déterminées dans le cadre de l'exécution de cette évaluation. Le cadre d'évaluation figure à l'annexe 1.

L’évaluation a recouru à des sources de données multiples, au moyen des techniques exposées dans le tableau suivant.

Tableau 3 : Approches méthodologiques

Méthodologie Description
Examen de la documentation Un examen interne et analyse des documents concernant le Programme (p. ex. politiques, lois, documents ministériels et documents de planification et opérationnels) ont été menés, identifiés « composantes de recherches ciblées » dans la section des Constatations. Certains thèmes ont été examinés en profondeur s’il y avait lieu, et sont désignés composantes de recherches ciblées dans la section des Constatations.

Une liste de l’information de base et des documents à l’appui examinés est présentée à l'annexe 2.
Examen des dossiers Un examen et analyse d’un échantillon de dossiers sur les activités du Programme (p. ex. rapports d’incident de pollution) a été mené à l’interne.
Entrevue En total, quatre-vingt dix-neuf entrevues ont été menées à l’interne avec des intervenants clés appartenant aux catégories suivantes :
  • exécutants du programme
  • gestionnaires supérieurs du programme
  • partenaires internes (au sein d’Environnement Canada)
    • directeurs de Promotion de la conformité, de l’Application de la loi, du Service canadien de la faune et du Service météorologique du Canada
  • partenaires externes (fédéraux et non fédéraux):
    • principales personnes-ressources qui ont une connaissance approfondie du programme
  • entités réglementées
    • représentants des associations industrielles
  • ministères fédéraux touchés par le programme (mais non partenaires)
  • organisations de recherche et développement
  • coordonnateur de la stratégie de Sécurité publique et d ’antiterrorisme (SPAT) du Conseil du Trésor
  • conseil consultatifs externes (p. ex. le Comité consultatif régional de Transports Canada)

Un tableau qui présente le nombre d’entrevues complétées par chaque groupe interrogé ainsi qu’un répertoire des questions d’entrevues se trouve dans l’annexe 3.

Sondage téléphonique Un consultant a été embauché pour administrer un sondage auprès des entités touchés par le Règlement dans le but d’obtenir la rétroaction des représentants des entités réglementées par le Règlement sur les urgences environnementales. En total, 350 entrevues téléphoniques ont été menées.
Panel d'experts Un examen indépendant a été effectué par chacun des quatre experts afin de :
  • fournir une opinion experte externe sur la validité et la justesse des conclusions et recommandations du rapport d’évaluation du Programme des urgences environnementales; et
  • fournir une opinion experte en ce qui concerne la connexité entre les impacts/avantages environnementaux attendus et ce type de programme.

Un nombre de limitations s’est présentées au cours de l’évaluation. Les limitations suivantes représentent les plus notables :

  1. Certaines approches méthodologiques planifiées ne pouvaient pas être entreprises. En particulier, en considérant l’utilisation des cas d’études, compte tenu des difficultés en ce qui concerne l’intégration des Constatations de cas d’études dans l’évaluation qui ne sont pas généralisables, ainsi que des ressources limitées disponibles, le comite d’évaluation a conclu qu’il aurait plus de valeur de fixer les ressources d’évaluation sur d’autres méthodologies.
  2. Le volume des données recueillies au cours de la phase d’exécution de l’évaluation (provenant de 99 entrevues ainsi qu’une revue de plus de 200 documents) a retardé la livraison du rapport.

4.0 CONSTATATIONS

Vous trouverez ci-après, sous quatre catégories distinctes, les résultats de cette évaluation, soit : la pertinence, le succès, la rentabilité ainsi que la conception et exécution, et ce, à partir des questions préparées pour le cadre d'évaluation général présenté à l'annexe 1. Pour chacun des résultats présentés, le nombre d'entrevues et de sondages menés auprès des répondants ainsi que le nombre de documents de recherche pour chacun de ces résultats sont fournis.

4.1 Pertinence

La présente section traite de la pertinence du programme, c’est-à-dire son niveau d’harmonisation avec les directives et les priorités d’Environnement Canada de même que la transparence de l’intention du programme. On aborde en outre la justification soutenue de celui-ci compte tenu des besoins sectoriels dominants et des chevauchements possibles avec d'autres initiatives.


1. Questions d’évaluation : Pertinence : Servir l’intérêt public Description de ce qui doit être observé Cote8
Le programme continue-t-il de servir l’intérêt du public?

La définition du programme est-elle axée sur le citoyen? Le programme est-il pertinent (du point de vue des intervenants?)
  • Le programme est lié à des besoins sociétaux
Nombre de répondants aux entrevues : 69

Nombre de répondants au sondage : 333

Nombre de documents de recherche : N/D

Constatations :

2. Questions d’évaluation : Pertinence :
Contribuer à la concrétisation des résultats ministériels
Description de ce qui doit être observé Cote
Est-ce que le programme continue d’être justifié au regard du Cadre pour la compétitivité et la durabilité de l'environnement (CCDE) [résultats stratégiques ministériels] (contribue à la concrétisation des résultats ministériels (plans de projets axés sur les résultats, regroupement de projets axés sur les résultats et conseils) et des priorités du Conseil)?
  • Le programme est lié à des besoins sociétaux stratégiques ministériels
  • Le programme cadre avec les résultats ministériels et les priorités du Conseil
Nombre de répondants aux entrevues : 17, soit des partenaires internes et des gestionnaires supérieurs du programme d’Environnement Canada

Nombre de répondants au sondage : N/D

Nombre de documents de recherche : 2

Constatations :

 

3. Questions d’évaluation : Pertinence :
Nécessité du rôle du gouvernement
Description de ce qui doit être observé Cote
Rôle du gouvernement – Y a-t-il un rôle légitime et nécessaire pour le gouvernement dans ce domaine ou cette activité de programme?
  • Existence d’une défaillance du marché privé ou nécessité de protéger un bien considéré public
Nombre de répondants aux entrevues : 31

Nombre de répondants au sondage : 349

Nombre de documents de recherche : 2

Constatations :

 

4. Questions d’évaluation : Pertinence : Pertinence du rôle fédéral (Environnement Canada) Description de ce qui doit être observé Cote
Fédéralisme – Le rôle actuel du gouvernement fédéral est-il approprié ou faut-il songer à transférer le programme aux provinces/territoires?
  • Le programme est situé au bon ordre de gouvernement, et il n’est pas nécessaire de le reconsidérer
Nombre de répondants aux entrevues : 20

Nombre de répondants au sondage : N/D

Nombre de documents de recherche : 3

Constatations :

4.1.1 Sommaire des points pour la pertinence

  1. Il existe des preuves tangibles que le Programme sert un intérêt public.


  2. Le programme cadre bien avec les résultats stratégiques d’Environnement Canada.


  3. On a également la preuve que le gouvernement a un rôle clair à jouer. Cependant, le rôle exact que doit jouer chaque ordre de gouvernement en matière de gestion des urgences environnementale est moins clair.

4.2 Succès

La présente section se penche sur les résultats du programme, prévus ou non, dans les secteurs connexes au mandat de celui-ci.

5. Questions d’évaluation : Succès : Résultats immédiats du Programme des urgences environnementales : Prévention 1 du Programme des urgences environnementales) Description de ce qui doit être observé Cote
Jusqu’à quel point les résultats suivants ont-ils été adéquatement réalisés :

intervenants ciblés à la nature et à l’étendue des risques associés aux urgences environnementales, et aux mesures d’atténuation appropriées
  • Sensibilisation accrue des intervenants ciblés aux questions reliées à la nature et à l’étendue des risques des urgences environnementales
  • Sensibilisation accrue des intervenants ciblés aux questions reliées aux mesures d’atténuation appropriées
º
Nombre de répondants aux entrevues : 46

Nombre de répondants au sondage : 329

Nombre de documents de recherche : 2

Constatations :

 

6. Questions d’évaluation : Succès : Résultats immédiats du Programme des urgences environnementales : Prévention 2 du Programme des urgences environnementales Description de ce qui doit être observé Cote
Jusqu’à quel point les résultats suivants ont-ils été adéquatement réalisés :

Application de stratégies claires et concises de conformité et d’exécution pour l’art. 200 de la LCPE (1999) [et la Loi sur les pêches]
  • Le programme prévoit l’application de stratégies claires et concises de conformité et d’exécution pour l’art. 200 de la LCPE (1999) et pour la Loi sur les pêches.
Nombre de répondants aux entrevues : 30

Nombre de répondants au sondage : 333 (en ce qui touche le Règlement sur les urgences environnementales); 260 (en ce qui concerne la Loi sur les pêches)

Nombre de documents de recherche : 1

Constatations :

 

7. Questions d’évaluation : Succès : Résultats immédiats du Programme des urgences environnementales : Préparation Programme des urgences environnementales 1 Description de ce qui doit être observé Cote
Jusqu’à quel point les résultats suivants ont-ils été adéquatement réalisés? :

État de préparation du Ministère à offrir des conseils et un soutien scientifiques et techniques opportuns et pertinents, conformes aux responsabilités mandatées
  • Les rôles et responsabilités du Ministère sont clairs et compris par tous, en regard des rôles et responsabilités dévolus à toutes les parties contribuant aux interventions.

  • Les plans et procédures du Ministère sur les urgences environnementales sont clairs et compris par tous.

  • Le programme ministériel d’urgences environnementales dispose des compétences et des ressources nécessaires pour fournir des conseils et un soutien scientifiques et techniques opportuns et pertinents.

  • Le Ministère tient des exercices (ou y participe) sur les urgences environnementales.
º
Nombre de répondants aux entrevues : 59

Nombre de répondants au sondage : N/D

Nombre de documents de recherche : 1

Constatations :

 

8. Questions d’évaluation : Succès : Résultats immédiats du Programme des urgences environnementales : Préparation Programme des urgences environnementales 2 Description de ce qui doit être observé Cote
Jusqu’à quel point les résultats suivants ont-ils été adéquatement réalisés :

Meilleure sensibilisation et préparation du client à la gestion des urgences environnementales
  • Sensibilisation accrue du client à la gestion des urgences environnementales
  • Les rôles et responsabilités du client sont clairs et compris par tous, en regard des rôles et responsabilités dévolus à toutes les parties contribuant aux interventions.
  • Les plans et procédures du client sont clairs et compris par tous.
  • Le client dispose des compétences et des capacités nécessaires pour gérer les urgences environnementales
  • Le client tient des exercices (ou y participe) sur les urgences environnementales.
×
Nombre de répondants aux entrevues : 45

Nombre de répondants au sondage : 337

Nombre de documents de recherche : 3

Constatations :

 

9. Questions d’évaluation : Succès : Résultats immédiats du Programmes des urgences environnementales : Intervention Programme des urgences environnementales 1 Description de ce qui doit être observé Cote
Jusqu’à quel point les résultats suivants ont-ils été adéquatement réalisés :

Conseils et soutien scientifiques et techniques opportuns et pertinents, reliés au mandat ministériel relatif aux urgences environnementales
  • Le Ministère offre des conseils et un soutien scientifiques et techniques opportuns et pertinents en ce qui touche son mandat sur les urgences environnementales.

  • Le Ministère coordonne les conseils et le soutien scientifiques et techniques avec les partenaires internes et externes.
Nombre de répondants aux entrevues : 59

Nombre de répondants au sondage : N/D

Nombre de documents de recherche : 3

Constatations :

 

10. Questions d’évaluation : Succès : Résultats immédiats du Programme des urgences environnementales : Intervention Programme des urgences environnementales 2 Description de ce qui doit être observé Cote
Jusqu’à quel point les résultats suivants ont-ils été adéquatement réalisés :

Les urgences environnementales où Environnement Canada est le principal responsable sont gérées adéquatement.
  • Lorsqu’il est responsable, le Ministère applique avec succès les mesures à prendre en cas d’urgence environnementale.
S.O.
Nombre de répondants aux entrevues : 53

Nombre de répondants au sondage : N/D

Nombre de documents de recherche : 4

Constatations :

 

11. Questions d’évaluation : Succès : Résultats immédiats du Programme des urgences environnementales : Rétablissement Programme des urgences environnementales 1 Description de ce qui doit être observé Cote
Jusqu’à quel point les résultats suivants ont-ils été adéquatement réalisés :

Sensibilisation accrue des intervenants ciblés à l’évaluation et à la réparation des dégâts causés par les urgences environnementales?
  • Sensibilisation accrue des intervenants ciblés aux enjeux entourant l’évaluation et la réparation des dégâts causés par les urgences environnementales
~√
Nombre de répondants aux entrevues : 34

Nombre de répondants au sondage : 330

Nombre de documents de recherche : 2

Constatations :

 

12. Questions d’évaluation : Succès : Résultats immédiats du Programme des urgences environnementales : Recherche et développement Programme des urgences environnementales 1 Description de ce qui doit être observé Cote
Jusqu’à quel point les résultats suivants ont-ils été adéquatement réalisés :

Amélioration (élaboration) des connaissances, des technologies, des outils et des méthodes scientifiques touchant les étapes de prévention, de préparation, d’intervention et de rétablissement en cas d’urgence environnementale
  • Sensibilisation de tous les intervenants à la contribution du Ministère aux connaissances, aux technologies, aux outils et aux méthodes scientifiques touchant les mesures de prévention, de préparation, d’intervention et de rétablissement en cas d’urgences environnementales


  • Reconnaissance des capacités d’Environnement Canada à élaborer des technologies, des approches et des outils nouveaux et novateurs
Nombre de répondants aux entrevues : 62

Nombre de répondants au sondage : N/D

Nombre de documents de recherche : 2

Constatations :

 

13. Questions d’évaluation : Résultats intermédiaires du Programme des urgences environnementales : Intermédiaire Programme des urgences environnementales 1 Description de ce qui doit être observé Cote
Jusqu’à quel point les résultats suivants ont-ils été adéquatement réalisés :

Mise en œuvre par le client des plans et des pratiques de prévention, d’intervention et de rétablissement
  • Mise en œuvre améliorée des mesures d’évaluation et de réparation des dégâts environnementaux
  • Conformité accrue au règlement
  • Mise en œuvre améliorée des mesures d’évaluation et de réparation des dégâts environnementaux dans les installations et l’infrastructure
    • Participation accrue aux exercices d’urgence environnementale
    • Capacités et préparation accrues
  • Mise en œuvre améliorée des mesures d’intervention prises par les premiers intervenants, les organismes directeurs et les parties responsables (pollueurs et entreprises d’assainissement) quant à la rapidité et à l’adéquation des procédures et des technologies
  • Autonomie croissante des interventions effectuées par les entités réglementées et les ministères fédéraux touchés par le programme
  • Mise en œuvre améliorée des mesures d’évaluation et de réparation des dégâts environnementaux
º
Nombre de répondants aux entrevues : 55

Nombre de répondants au sondage : 338

Nombre de documents de recherche : 1

Constatations :

 

14. Questions d’évaluation : Résultats intermédiaires du Plan des urgences environnementales : Intermédiaire Programme des urgences environnementales 2 Description de ce qui doit être observé Cote
Jusqu’à quel point les résultats suivants ont-ils été adéquatement réalisés :

Investissement accru (recherche et développement) dans les mesures de prévention et de préparation par l’industrie et les gouvernements
  • L’industrie et le gouvernement relèvent leurs investissements en recherche et développement dans les mesures de prévention et de préparation en cas d’urgence environnementale.
  • Les plans et les procédures de prévention et de préparation de l’industrie et du gouvernement en matière d’urgences environnementales comprennent les connaissances, les technologies, les outils et les méthodes scientifiques découlant du Programme des urgences environnementales.
º
Nombre de répondants aux entrevues : 37

Nombre de répondants au sondage : N/D

Nombre de documents de recherche : 1

Constatations :

 

15. Questions d’évaluation : Résultats à long terme du Programme des urgences environnementales : Résultats à long terme du Programme des urgences environnementales 1 Description de ce qui doit être observé Cote
Jusqu’à quel point les résultats suivants ont-ils été adéquatement réalisés :

Réduction de la fréquence, de la gravité et des conséquences des urgences environnementales touchant le Canada
  • Diminution de la fréquence des urgences environnementales touchant le Canada
  • Diminution de la gravité des urgences environnementales touchant le Canada
  • Atténuation des conséquences des urgences environnementales touchant le Canada
Impossible à évaluer
Nombre de répondants aux entrevues : 64

Nombre de répondants au sondage : 350

Nombre de documents de recherche : 1

Constatations :

 

16. Questions d’évaluation : Résultats immédiats de la sécurité publique et l’antiterrorisme : Résultats immédiats de la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT) 1 Description de ce qui doit être observé Cote
Les résultats suivants ont-ils été adéquatement réalisés :

Meilleure connaissance du Règlement sur les urgences environnementales
  • Meilleure connaissance du Règlement sur les urgences environnementales
Nombre de répondants aux entrevues : 24

Nombre de répondants au sondage : 344

Nombre de documents de recherche : 3

Constatations :

 

17. Questions d’évaluation : Résultats immédiats de la sécurité publique et l’antiterrorisme : Résultats immédiats de la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT) 2 Description de ce qui doit être observé Cote
Les résultats suivants ont-ils été adéquatement réalisés :

Meilleure connaissance d’Environnement Canada relativement aux entités réglementées
  • Meilleure connaissance d’Environnement Canada relativement aux entités réglementées
º
Nombre de répondants aux entrevues : 22

Nombre de répondants au sondage : N/D

Nombre de documents de recherche : 1

Constatations :

 

18. Questions d’évaluation : Résultats immédiats de la sécurité publique et l’antiterrorisme : Résultats immédiats de la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT) 3 Description de ce qui doit être observé Cote
Les résultats suivants ont-ils été adéquatement réalisés :

Meilleure connaissance par la collectivité du Règlement sur les urgences environnementales et des risques de ces dernières
  • Meilleure connaissance par la collectivité du Règlement sur les urgences environnementales et des risques de ces dernières
º
Nombre de répondants aux entrevues : 5, soit les entités réglementées

Nombre de répondants au sondage : 325

Nombre de documents de recherche : 3

Constatations :

 

19. Questions d’évaluation : Résultats immédiats de la sécurité publique et l’antiterrorisme : Résultats immédiats de la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT) 4 Description de ce qui doit être observé Cote
Les résultats suivants ont-ils été adéquatement réalisés :

Meilleure participation communautaire à la préparation des plans d’urgence environnementale
  • Les installations mettent à contribution les collectivités locales dans la préparation des plans d’urgence environnementales
º
Nombre de répondants aux entrevues : 7, soit les entités réglementées

Nombre de répondants au sondage : 330

Nombre de documents de recherche : 1

Constatations :

 

20. Questions d’évaluation : Résultats immédiats de la sécurité publique et l’antiterrorisme : Résultats immédiats de la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT) 5 Description de ce qui doit être observé Cote
Les résultats suivants ont-ils été adéquatement réalisés :

Accroissement des partenariats / relations entre le gouvernement et l’industrie
  • Il existe des structures permettant de créer et de maintenir des partenariats avec l’industrie concernant le Règlement sur les urgences environnementales
  • Intensification des relations de travail avec l’industrie concernant le Règlement sur les urgences environnementales
~√
Nombre de répondants aux entrevues : 20

Nombre de répondants au sondage : 345

Nombre de documents de recherche : 4

Constatations :

 

21. Questions d’évaluation : Résultats immédiats de la sécurité publique et l’antiterrorisme : Résultats immédiats de la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT) 6 Description de ce qui doit être observé Cote
Les résultats suivants ont-ils été adéquatement réalisés :

Meilleure conformité au Règlement sur les urgences environnementales
  • Conformité accrue des intervenants au Règlement sur les urgences environnementales
~√
Nombre de répondants aux entrevues : N/D

Nombre de répondants au sondage : 345

Nombre de documents de recherche : 1

Constatations :

 

22. Questions d’évaluation : Résultats immédiats de la sécurité publique et l’antiterrorisme : Résultats intermédiaires de la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT) 1 Description de ce qui doit être observé Cote
Les résultats suivants ont-ils été adéquatement réalisés :

Meilleure gestion des urgences environnementales dans les installations et les collectivités, notamment grâce à la substitution de substances moins dangereuses – prévention, préparation, intervention et rétablissement
  • Meilleure gestion des urgences environnementales aux installations
  • Meilleure gestion des urgences environnementales dans les collectivités
º
Nombre de répondants aux entrevues : 20

Nombre de répondants au sondage : 350

Nombre de documents de recherche : 1

Constatations :

 

23. Questions d’évaluation : Autre : Influences externes Description de ce qui doit être observé Cote
Y a-t-il des facteurs externes au programme qui influencent (positivement et n égativement) son succès?
  • L’atteinte des résultats du programme est influencée par des facteurs externes à ce dernier.
º
Nombre de répondants aux entrevues : 14, soit des exécutants et des gestionnaires supérieurs du programme d’Environnement Canada

Nombre de répondants au sondage : N/D

Nombre de documents de recherche : N/D

Constatations :

24. Questions d’évaluation : Autre : Résultats inattendus Description de ce qui doit être observé Cote
Y a-t-il eu des résultats inattendus, positifs ou négatifs, que l’on peut attribuer au programme?

Le cas échéant, comment ont-ils été traités?

  • Il y a des résultats inattendus que l’on peut attribuer au programme.
  • Des mesures sont prises pour traiter les résultats inattendus.
Nombre de répondants aux entrevues : 63

Nombre de répondants au sondage : N/D

Nombre de documents de recherche : N/D

Constatations :

4.2.1 Sommaire des points pour la pertinence

  1. Dans l’ensemble, le programme atteint la majorité des résultats prévus dans le Programme des urgences environnementales en matière. Cependant, le succès du programme est assombri par plusieurs éléments liés à sa conception et à sa prestation. Plus particulièrement, quand on n’atteint pas les résultats, on ne sait pas avec certitude quelles activités contribuent réellement à atteindre les résultats prévus, étant donné l’absence d’un système de mesure de performance adéquat. Le manque de conception et de prestation est également illustré dans le modèle logique. On note également un manque d'intégration dans le modèle logique du programme et dans la stratégie de mesure de performance (particulièrement dans les éléments de préparation et de prévention du programme) des activités et des résultats dans le cadre de la Stratégie sur la sécurité publique et l’antiterrorisme. On remarque en outre une lacune au niveau de l’impact global sur la sensibilisation du client et au niveau de l'évaluation globale de la capacité du programme.

4.3 Rentabilité

La présente section s'intéresse à la rentabilité, notamment à l’optimisation des ressources, au recouvrement des coûts et à d'autres méthodes d’exécution. Elle se veut un guide pour déterminer comment rehausser l’efficacité du programme dans l’utilisation de ses ressources et la poursuite de son mandat.

25. Questions d’évaluation : Rentabilité – Optimisation des ressources Description de ce qui doit être observé Cote
Optimisation des ressources – Les contribuables canadiens obtiennent-ils le maximum de valeur de leurs impôts? Le programme est-il rentable?
  • Le programme montre qu’il optimise les ressources en prouvant sa rentabilité
Impossible à évaluer
Nombre de répondants aux entrevues : 78

Nombre de répondants au sondage : 311

Nombre de documents de recherche : N/D

Constatations :

 

26. Questions d’évaluation : Rentabilité : Recouvrement des coûts Description de ce qui doit être observé Cote
Le programme devrait-il comporter un élément de recouvrement des coûts?

Le cas échéant, cet élément est-il compris?

Le cas échéant, quel en est le but?
  • Fourniture de biens/services personnalisés à des clientèles particulières.
  • Un mécanisme de recouvrement des coûts est en place, s’il y a lieu.
  • L’élément de recouvrement des coûts sert les fins visées.
º
Nombre de répondants aux entrevues : 73

Nombre de répondants au sondage : N/D

Nombre de documents de recherche : 1

Constatations :

 

27. Questions d’évaluation : Rentabilité : Autres méthodes d’exécution Description de ce qui doit être observé Cote
Y a-t-il de meilleures façons d’atteindre les résultats?

A-t-on examiné d’autres approches qui pourraient permettre d’atteindre les objectifs ainsi que les répercussions et les effets escomptés?

  • Les autres méthodes d’exécution ont été analysées.
º
Nombre de répondants aux entrevues : 55

Nombre de répondants au sondage : N/D

Nombre de documents de recherche : 1

Constatations :

4.3.1 Sommaire des points pour la rentabilité

  1. Les principaux informateurs ont souligné la valeur du programme. En l'absence de compte rendu global sur les mesures de performance, on n'a pu déterminer objectivement un degré de rentabilité et d'optimisation des ressources.
  2. Les répondants sont unanimes à l'effet que le programme devrait comporter un élément de recouvrement des coûts. Par contre, on ne peut affirmer avec précision quels éléments du programme devraient faire l'objet d'un recouvrement des coûts par les fonds publics, et dans quelle mesure.
  3. On a évalué d'autres méthodes d’exécution, sans toutefois les examiner en profondeur.

4.4 Conception et exécution

La présente section se penche sur la conception et l’exécution, soit la clarté des activités, les responsabilités, les réalisations attendues et les résultats prévus du programme. On s’est également intéressé aux processus afférents à l’allocation des ressources, à la gestion des risques, à la surveillance et à la mise en valeur des partenariats ainsi qu'à la présentation de rapports sur ces derniers.

 

28. Questions d’évaluation : Conception et exécution : Définition et mesure de tous les résultats Description de ce qui doit être observé Cote
Jusqu’à quel point

les résultats du Programme des urgences environnementales ont-ils été adéquatement :

a) définis?
b) mesurés?

les résultats du Programme des urgences environnementales en matière de sécurité publique et d’antiterrorisme ont-ils été adéquatement :

a) définis?
b) mesurés?

  • Les résultats escomptés sont clairement définis.
  • Les résultats escomptés sont clairement compris par toutes les parties contribuant au programme.
  • Les stratégies de mesure et de déclaration du rendement surveillent les résultats du Programme des urgences environnementales
  • Les résultats escomptés sont clairement définis.
  • Les stratégies de mesure et de déclaration du rendement surveillent les résultats en matière de sécurité publique et d’antiterrorisme.

×
Nombre de répondants aux entrevues : 7, soit des exécutants et des gestionnaires supérieurs du programme d'Environnement Canada ainsi que le coordonnateur de la sécurité publique et d’antiterrorisme pour le Conseil du Trésor.

Nombre de répondants au sondage : N/D

Nombre de documents de recherche : 1

Constatations :

a) Résultats sur le Programme des urgences environnementales

b) Résultats sur la sécurité publique et l’antiterrorisme

 

29. Questions d’évaluation : Conception et exécution : Conception et exécution générales Description de ce qui doit être observé Cote
Le programme est-il conçu de façon conforme à son mandat? Les activités et les extrants du programme sont-ils conformes à son mandat et liés de façon plausible aux résultats, sur le plan de la clarté et de l’attribution?

Le programme (ou l’activité) est-il fidèle à sa propre approche (le programme a-t-il été exécuté comme il avait été conçu)?

A-t-on mis en place des processus décisionnels assurant que la répartition des ressources tient compte des secteurs les plus importants (priorités)?

Y a-t-il une structure établie qui assure une gestion souple et qui soutient logiquement l’atteinte des buts et des objectifs?

Qui rend des comptes au sujet du programme?

Est-ce que les rôles et responsabilités de tous les groupes concernés sont clairs?

  • Les activités et les extrants sont liés au mandat et aux résultats.
  • L’attribution de résultats au programme est plausible.
  • Le programme respecte et observe l’approche/la méthodologie qui avait été définie.
  • Il existe des processus décisionnels assurant la prise en compte des secteurs les plus importants dans la répartition des ressources.
  • Les ressources sont basées sur l’importance relative et sont réparties selon les priorités.
  • Les structures de gestion de programme sont alignées sur l’exécution du programme et visent à la soutenir.
  • Les rôles, les responsabilités et les obligations redditionnelles sont clairement définis dans la structure de gestion du programme.
º
Nombre de répondants aux entrevues : 85

Nombre de répondants au sondage : N/D

Nombre de documents de recherche : 7

Constatations :

Le programme est-il conçu conformément à son mandat? Les activités et les extrants du programme sont-ils conformes à son mandat et liés de façon plausible aux résultats, sur le plan de la clarté et de l’attribution?

Le programme est-il fidèle à sa propre approche (le programme a-t-il été exécuté comme il avait été conçu)?

A-t-on mis en place des processus décisionnels assurant que la répartition des ressources tient compte des secteurs les plus importants (priorités)?

Y a-t-il une structure établie qui assure une gestion souple et qui soutient logiquement l’atteinte des buts et des objectifs? Qui rend des comptes au sujet du programme? Est-ce que les rôles et responsabilités de tous les groupes concernés sont clairs?

 

30. Questions d’évaluation : Conception et exécution : tient compte des risques Description de ce qui doit être observé Cote
Comment a-t-on tenu compte des risques? A-t-on élaboré une stratégie de gestion des risques? Est-elle adéquate?
  • Les risques sont adéquatement pris en compte et gérés
º
Nombre de répondants aux entrevues : 2, soit des gestionnaires supérieurs du programme d’Environnement Canada

Nombre de répondants au sondage : N/D

Nombre de documents de recherche : N/D

Constatations :

 

31. Questions d’évaluation : Conception et exécution : exigences en matière de capacité Description de ce qui doit être observé Cote
A-t-on fait une analyse claire et convaincante des exigences en matière de capacité?

Si oui, les résultats de l’analyse servent-ils à répartir les ressources au sein du programme?

Si oui, est-ce que l’analyse est incluse dans les propositions d’accroissement des capacités?

Les ressources humaines sont-elles adéquates pour atteindre les résultats/objectifs du programme?

  • Les exigences en matière de capacité sont clairement définies.
  • La répartition des ressources à l’intérieur du programme est basée sur les résultats de l’analyse des besoins en matière de capacité.
  • La proposition d’accroissement des d’accroissement des capacités?
  • Les ressources humaines sont-elles adéquates pour atteindre les résultats/objectifs du programme?
×
Nombre de répondants aux entrevues : 2, soit des gestionnaires supérieurs du programme d’Environnement Canada

Nombre de répondants au sondage : N/D

Nombre de documents de recherche : 1

Constatations :

 

32. Questions d’évaluation : Sécurité publique et antiterrorisme : Conformité du programme avec la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme Description de ce qui doit être observé Cote
Est-ce que le programme continue à cadrer avec la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme?
  • Le programme cadre avec les objectifs généraux de la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme
Nombre de répondants aux entrevues : 3, soit des gestionnaires supérieurs du programme et le coordonnateur de la sécurité publique et d’antiterrorisme pour le Conseil du Trésor.

Nombre de répondants au sondage : N/D

Nombre de documents de recherche : N/D

Constatations :

 

33. Questions d’évaluation : Sécurité publique et antiterrorisme : Utilisation adéquate du fonds pour la sécurité publique et l’antiterrorisme Description de ce qui doit être observé Cote
Est-ce que les ressources additionnelles que le Programme des urgences environnementales a reçues en provenance du « budget sécurité » de 2001 ont adéquatement servi à l’atteinte des résultats escomptés?

  • Les ressources sont corrélées aux activités, lesquelles s’arriment à des résultats particuliers du programme
º
Nombre de répondants aux entrevues : 8, soit des exécutants du programme d’Environnement Canada

Nombre de répondants au sondage : N/D

Nombre de documents de recherche : N/D

Constatations :

 

34. Questions d’évaluation : Recherche et développement : Obtention de ressources externes par effet de levier Description de ce qui doit être observé Cote
Dans quelle mesure le Programme des urgences environnementales a-t-il réussi à obtenir des ressources externes par effet levier ou à conclure des partenariats de recherche et développement pour atteindre les résultats?
  • Les possibilités de partenariat ont été explicitement et exhaustivement explorées.
  • Les possibilités de financement externe ont été explicitement et exhaustivement explorées.
Nombre de répondants aux entrevues : 11, soit des exécutants et des gestionnaires supérieurs du programme d’Environnement Canada

Nombre de répondants au sondage : N/D

Nombre de documents de recherche : 1

Constatations :

 

35. Questions d’évaluation : Recherche et développement : Utilisation des extrants par les intervenants Description de ce qui doit être observé Cote
Comment les extrants des activités de recherche et de développement (produits livrables) sont-ils utilisés par les intervenants concernés (y compris dans les autres domaines d’activité du programme)?
  • Utilisation des extrants de la recherche et du développement par les intervenants
~√
Nombre de répondants aux entrevues : 75

Nombre de répondants au sondage : N/D

Nombre de documents de recherche : 1

Constatations :

 

36. Questions d’évaluation : Partenaires : Complémentarité/double emploi/lacunes Description de ce qui doit être observé Cote
Quels sont les programmes actuels qui sont étroitement reliés et comment fait-on pour éviter le double emploi et assurer une complémentarité (y compris les programmes non fédéraux)?

Quelle serait la conséquence d’une annulation du Programme des urgences environnementales sur le système de gestion des urgences au Canada?
  • L’exécution du programme ne fait pas double emploi avec d’autres programmes.
  • L’exécution du programme est complémentaire à d’autres programmes.
  • L’annulation du programme créerait des lacunes dans le système canadien de gestion des urgences.
º
Nombre de répondants aux entrevues : 60

Nombre de répondants au sondage : N/D

Nombre de documents de recherche : 5

Constatations :

a) Complémentarité en regard du double emploi du programme et d'autres programmes

b) Répercussions d'une disparition du programme

 

37. Questions d’évaluation : Partenaires : Relations fructueuses Description de ce qui doit être observé Cote
Dans quelle mesure le Programme des urgences environnementales a-t-il réussi à collaborer avec les partenaires et intervenants pertinents?

Quel a été le degré de participation des partenaires et des intervenants?

Est-ce qu’on a pris en considération les possibilités de partenariats avec les collectivités, le secteur bénévole et le secteur privé?

Partenariat - Quelles activités ou quels programmes pourrait-on transférer en tout ou en partie au secteur privé ou bénévole ou aux provinces/municipalités?

 

  • Il existe des structures permettant de forger et de maintenir des partenariats.
  • Existence de bonnes relations de travail avec les partenaires et les intervenants
  • Les partenaires et les intervenants contribuent de façon significative au programme.
  • On a explicitement et exhaustivement exploré les possibilités de partenariat et de transfert complet ou partiel.
º
Nombre de répondants aux entrevues : 83

Nombre de répondants au sondage : 344

Nombre de documents de recherche : N/D

Constatations :

Dans quelle mesure le programme a-t-il réussi à collaborer avec les partenaires?

Quelles améliorations pourrait-on apporter au programme en ce qui concerne le travail avec les partenaires?

Dans quelle mesure pourrait-on confier certaines activités du programme à des partenaires?

4.4.1 Sommaire des points pour la conception et l’exécution

  1. Dans certains cas, quand on n’atteint pas les résultats, étant donné l’absence d’un système de mesure de performance adéquat, on ne sait pas avec certitude quelles activités contribuent réellement à atteindre les résultats prévus. Le manque de conception et de prestation est également illustré dans le modèle logique. On note également un manque d'intégration dans le modèle logique du programme et dans la stratégie de mesure de performance (particulièrement dans les éléments de préparation et de prévention du programme) des activités et des résultats dans le cadre de la stratégie sur la Sécurité publique et l’antiterrorisme.
  2. Il manque une stratégie exhaustive et solide d'information pour garantir l'impact prévu sur la sensibilisation du client; plus expressément, dans les secteurs de la prévention et de la préparation.
  3. La sensibilisation du programme à savoir qui est la collectivité réglementée n’est pas complète (quels secteurs de l’industrie doit-on inclure, avec les renseignements pertinents les concernant?).
  4. Une procédure exhaustive pour vérifier les renseignements fournis par le client sur sa conformité au Règlement sur les urgences environnementales n’était pas mis en œuvre.
  5. Bien que certains éléments de l’analyse de la capacité aient été entrepris, il manque une évaluation complète et exhaustive de la capacité du programme.
  6. Le système de mesure du rendement du programme est inapproprié. Plus particulièrement, on note des problèmes de collecte et d’intégrité des données; il manque des indicateurs des extrants en matière de sécurité publique et d’antiterrorisme; et les données de référence sur les résultats sont trop limitées.
  7. Les rôles et responsabilités, au sein d'Environnement Canada, à l'égard de la promotion et de l'application de la conformité ne sont pas clairs, bien compris ou correctement documentés.

4.5 Points de vue des intervenants concernés sur les forces, les faiblesses et les secteurs à améliorer

La présente section offre un survol des différents points de vue des intervenants concernés sur les forces, les faibles et les secteurs à améliorer, d’après les entrevues avec les intervenants clés et le sondage auprès des entités réglementées.

38. Questions d'évaluation : Forces, faiblesses et secteurs à améliorer Description de ce qui doit être observé Cote
À votre avis, quelles sont les principales forces et faiblesses du Programme des urgences environnementales?

a. Avez-vous des suggestions à faire pour améliorer le Programme des urgences environnementales?


  • Forces, faiblesses et éléments à améliorer
S.O.
Nombre de répondants aux entrevues : 99

Nombre de répondants au sondage : 294 (forces : programme); 236 (faiblesses : Règlement sur les urgences environnementales); 259 (faiblesses : programme); 185 (faiblesses : Règlement sur les urgences environnementales); 176 (secteurs à améliorer : programme et Règlement sur les urgences environnementales)

Nombre de documents de recherche : N/D

Constatations :

5.0 CONCLUSIONS

Il s’agit de la première évaluation du Programme des urgences environnementales, un des domaines de programme les plus anciens d’Environnement Canada. En général, l'évaluation du programme est positive, dans la mesure où celui-ci livre un bien public reconnu, remplit le mandat du Ministère et qu’aucun problème grave n’est recensé. Les principales conclusions de l’évaluation sont présentées ci-dessous.

  1. Le Programme continue d'être pertinent, dans la mesure où il sert l'intérêt public et comporte un rôle bien défini pour le gouvernement; néanmoins, il est possible de définir plus précisément les rôles de chaque niveau de gouvernement, tout en tenant compte des responsabilités législatives du gouvernement fédéral.
  2. Le Programme produit généralement les résultats escomptés. Cependant, certains éléments de sa conception et de son exécution restreignent la mesure quantitative de son niveau de réussite.
  3. Bien que des preuves qualitatives semblent indiquer que le Programme est rentable, ceci n’a pu être corroboré par des données quantitatives.
  4. Au niveau de la conception et de l’exécution du Programme, un certain nombre de secteurs devront être améliorés. Cela comprend la nécessité de mettre en œuvre un système de mesure du rendement; une évaluation détaillée de la capacité du Programme; l’intégration des résultats et des activités de la stratégie sur la Sécurité publique et l’antiterrorisme (SPAT) au modèle logique et à la stratégie de mesure du rendement du Programme dans les domaines d'activité liées à la prévention et à la préparation; et la mise en œuvre d’une stratégie de sensibilisation détaillée.
  5. Les rôles et responsabilités dans le contexte du Programme doivent être clarifiés à l'interne à Environnement Canada, en ce qui concerne la promotion de la conformité et la mise en application de la loi.

6.0 RECOMMANDATIONS

Bien que des domaines de préoccupation aient été mentionnés au cours de l’évaluation en ce qui concerne la pertinence, le succès et la rentabilité, ces inquiétudes sont associées aux aspects de conception et d’exécution; il est donc possible de les régler en modifiant la conception et l’exécution du Programme.

Fondamentalement, la pertinence du Programme et le fait qu’EC devrait continuer à s’acquitter de cette fonction ne sont pas mis en doute et donnent au Programme des bases fermes sur lesquelles il peut s’appuyer pour ses activités.

Compte tenu des pressions actuelles sur le Programme, des questions connues en matière de capacité, y compris la relève, ainsi que des pressions financières constantes au gouvernement fédéral, il est urgent d’apporter une réponse aux recommandations12. Les recommandations sont présentées de façon séquentielle, en fonction de la structure logique et des délais dans lesquels elles devraient être appliquées.

1re recommandation :

À présent, il y a au Ministère des groupes précis chargés de l’application de la loi, et des activités de promotion de la conformité. Le Programme des urgences environnementales a en même temps la responsabilité fonctionnelle de ces deux activités dans le contexte des urgences environnementales, ce qui entraîne une certaine confusion à l’interne, car on ne sait pas où ces responsabilités fonctionnelles commencent et finissent pour ces deux activités. Plusieurs groupes d’entrevue auprès des principaux informateurs à l’interne et à l’externe ont soulevé cette inquiétude.

L’évaluation conclut que la conception et l’exécution du Programme doivent être améliorées dans un certain nombre de domaines :

Le Conseil de protection de l’environnement devrait aborder les recommandations suivantes selon l’ordre qui suit:

  1. en collaboration avec le Responsable de la mise en application de la loi, clarifier et modifier au besoin les rôles et les responsabilités dans le contexte du Programme, notamment en ce qui a trait à la promotion de la conformité et à la mise en application de la loi.
  2. mener des recherches approfondies sur les activités liées à la sensibilisation aux secteurs du Programme liées à la prévention et la préparation afin de déterminer lesquelles ne contribuent pas à l’atteint des résultats de prévention et de préparation.
  3. effectuer une évaluation détaillée de la capacité du Programme (c.-à-d. nécessaires vs réelles); lorsqu'il y a des lacunes qui émergent, déterminer les risques et mettre en œuvre les stratégies d'atténuation.
  4. achever et mettre en œuvre un système de mesure et de rapport sur le rendement.
  5. combler les lacunes du Programme en ce qui a trait à la surveillance de la conformité.

Auparavant, les activités de planification et de gestion des urgences environnementales, d’application de la loi, et de promotion de la conformité associées à la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999) [LCPE (1999)] et à la Loi sur les pêches se trouvaient dans le même Regroupement de projets axés sur les résultats (RPAR) relevant du Conseil de la protection de l’environnement (PE). Il y avait donc des communications régulières entre le Programme des urgences environnementales, promotion de la conformité et mise en application de la loi, et tous étaient au courant des activités de chacun des groupes. Il a été décidé en avril 2006 de regrouper toutes les activités d’application de la loi du Ministère sous la responsabilité du Conseil des services de gestion du Ministère. À présent, compte tenu de ce que ces activités ne sont plus regroupées dans une même structure de gouvernance, la confusion qui règne autour de la question de savoir où commencent et où finissent les responsabilités fonctionnelles pour ces deux activités est exacerbée.

Les activités et les résultats attendus du Programme des urgences environnementales doivent être associés à des rôles et à des responsabilités clairement définis. Il faudra peut-être pour cela réviser le modèle logique du Programme. Ce qui fournirait aussi l’occasion d’intégrer les activités et les résultats de la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT) au modèle logique et à la stratégie de mesure du rendement du Programme dans les domaines d’activité liées à la prévention et à la préparation. Le mandat de cette évaluation consistait à examiner les quatre enjeux de l’évaluation (pertinence, succès, rentabilité, et conception et exécution) dans les cinq domaines d’activité du Programme. Compte tenu de ce qu’il n’y a pas de système adéquat de mesure du rendement, l’évaluation n’a pu examiner plus en profondeur quelles activités précisément sont des réussites et quelles activités n’en sont pas, dans les domaines du Programme où les résultats ne sont pas complètement atteints (p. ex., la sensibilisation). Prenant appui sur les constatations de cette évaluation, d’autres recherches visant à déterminer quelles activités ont contribué à l’atteint de ces résultats sont par conséquent nécessaires afin d’établir quels secteurs du Programme il faut améliorer, ce qui augmente l’efficacité et l’efficience du Programme. Une partie de cette tâche pourrait consister à recueillir des données sur les activités en question afin d’établir dans quelle mesure elles sont une réussite. Lorsque le Programme a identifié quelles activités liées a la sensibilisation sont réussites, le Programme devrait ensuite élaborer et mettre en œuvre une stratégie de sensibilisation détaillée.

Il faut effectuer une évaluation complète de la capacité du Programme afin de déterminer les écarts, s’il y en a, entre la capacité disponible et la capacité nécessaire. Lorsque des écarts sont cernés, les risques associés devraient être identifiés et des stratégies d’atténuation devraient être mise en place pour faire face à ces risques.

Le Programme doit achever et mettre en œuvre un système de production de rapports et de mesure du rendement cernant les principaux indicateurs et les données nécessaires pour établir à quel point le Programme réussit à atteindre les objectifs énoncés.

Le Programme a des insuffisances précises en surveillance dans le domaine de conformité qu’il faut examiner et auxquelles il faut remédier pour assurer l’existence de bons liens avec la population sur laquelle il a le plus d’incidences.

7.0 RÉPONSE DE LA DIRECTION

Recommandation nº 1a :

Le Conseil de protection de l’environnement devrait, en collaboration avec le Responsable de la mise en application de la loi, clarifier et modifier au besoin les rôles et les responsabilités dans le contexte du Programme, notamment en ce qui a trait à la promotion de la conformité et à la mise en application.

Réponse de la direction :

Le Conseil de protection de l’environnement est d’accord avec cette recommandation. La mise en application, la promotion de la conformité aux règlements et la fourniture d’information et de conseils scientifiques et techniques constituent trois fonctions ministérielles distinctes au sein d’Environnement Canada. Pour des raisons juridiques ainsi qu’administratives, il est essentiel que les rôles et les responsabilités du personnel soient clairement définis et compris, aussi bien à l’interne dans les ministères que par les intervenants externes avec qui le personnel interagit.

Le représentant délégué du Conseil de protection de l’environnement et le Responsable de la mise en application de la loi se sont entendus pour collaborer à l'élaboration (d'ici mars 2008) d’un document de gouvernance pour clarifier les liens entre les activités d’urgence, de promotion de la conformité et de mise en application. Ce document sera élaboré conformément à la méthodologie du système de gestion de la qualité (SGQ).

Recommandation nº 1b :

Le Conseil de protection de l’environnement devrait mener des recherches plus poussées sur les activités de sensibilisation aux secteurs du Programme liés à la prévention et à la préparation afin de déterminer lesquelles ne contribuent pas à l’atteinte des résultats visés.

Réponse de la direction :

Le Conseil de protection de l’environnement est d’accord avec cette recommandation. À l’exception de la promotion de la conformité aux règlements en matière d’urgence environnementale en vertu de la partie 8 de la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999) [LCPE (1999)], le ministère a généralement préconisé comme approche pour sensibiliser les intervenants externes de profiter des initiatives régionales et locales entreprises par les autres gouvernements, les autres ministères fédéraux ou les intervenants du secteur privé. Cette approche a fonctionné à des degrés divers.

Le Conseil de protection de l’environnement s’engage à effectuer une étude pour identifier les principaux publics visés et évaluer les forces, les faiblesses et les coûts de divers mécanismes de livraison pour améliorer la prévention des situations d’urgence et la préparation à de telles situations. Cette étude sera complétée d’ici juin 2008.

Recommandation nº 1c :

Le Conseil de protection de l’environnement devrait effectuer une évaluation détaillée de la capacité du Programme (capacité nécessaire vs réelle); lorsqu'il y a des lacunes qui émergent, il devrait déterminer les risques et mettre en œuvre des stratégies d'atténuation.

Réponse de la direction :

Le Conseil de protection de l’environnement est d’accord avec cette recommandation. Des travaux importants ont été effectués par le passé pour déterminer les ressources nécessaires pour assumer de façon adéquate les responsabilités mandatées du Programme des urgences environnementales. Le Conseil de protection de l’environnement s’inspirera de ces travaux pour effectuer une évaluation détaillée des exigences en matière de capacité du Programme, des lacunes, des risques et des stratégies d’atténuation relevant des rôles et responsabilités a rendu obligatoire d’Environnement Canada. Cette évaluation tiendra également compte des résultats de l’étude sur les activités de sensibilisation qui doit être entreprise en réponse à la Recommandations nº 2 ci-dessus et proposera diverses options à la direction. Ce travail sera complété d’ici janvier 2009 et sera donc disponible pour le processus de planification de l’exercice financier 2009-2010.

Recommandation nº 1d

Le Conseil de protection de l’environnement devrait achever et mettre en œuvre un système de mesure et de rapport sur le rendement.

Réponse de la direction :

Le Conseil de protection de l’environnement est d’accord avec cette recommandation. Des travaux importants ont été effectués au cours des dernières années pour identifier un ensemble complet d’indicateurs pour les volets de prévention, de préparation, de réponse, de récupération et de R-D du Programme des urgences environnementales. Il faut maintenant consacrer des efforts à l’analyse et au choix d’un sous-ensemble plus représentatif d’indicateurs qui permettront de mesurer efficacement les résultats et l’efficacité du Programme et qui pourront être mis en œuvre de façon cohérente et à des coûts abordables à l’échelle nationale. Ce travail sera effectué en parallèle avec l’évaluation détaillée de la capacité du Programme présentée ci-dessus en réponse à la Recommandation nº 3 et devrait donc être complété d’ici janvier 2009.

Recommandation nº 1e :

Le Conseil de protection de l’environnement devrait combler les lacunes du Programme en ce qui a trait à la surveillance de la conformité (vérification, connaissances des clients et stratégies de sensibilisation).

Réponse de la direction :

Le Conseil de protection de l’environnement est d’accord avec cette recommandation et considère l’élaboration d’une stratégie efficace mais abordable de mesure de la performance, présentée ci-dessus en réponse à la Recommandation nº 4, comme essentielle pour répondre aux préoccupations identifiées dans le cadre de l’évaluation du Programme.

Annexe 1
Enjeux et questions d’évaluation

Questions d’évaluation
(Les questions en gras sont les sept questions posées dans le cadre de l’Examen des dépenses.)
Description de ce qui doit être observé
(La réponse aux énoncés soulignés ne proviendra que des opinions
formulées par les principaux informateurs)
Indicateurs
Pertinence
1. Est-ce que le programme continue :

a) de servir l’intérêt public?

(La définition du programme est-elle axée sur le citoyen? Le programme est-il pertinent (point de vue des intervenants)?)

  • Le programme est lié à des besoins sociétaux.
  • Démonstration du besoin sociétal
  • La portée est analysée et ciblée, et reliée à des exigences sociétales.
  • Opinions des principaux informateurs
b) d’être justifié au regard du CCED?
  • La mission/raison d’être s’arrime aux résultats finaux (CCED)
  • Démonstration de l’arrimage du programme avec le CCDE
  • Opinions des principaux informateurs
c) de contribuer à la concrétisation des résultats ministériels (PPAR, RPAR et Conseil) et des priorités du Conseil?
  • Le programme cadre avec les résultats ministériels et les priorités du Conseil.
  • Démonstration de l’arrimage direct des résultats avec les résultats/priorités du Conseil et du Ministère
  • Opinions des principaux informateurs
d) de cadrer avec l’initiative SPAT?
  • Le programme cadre avec les objectifs généraux de l’initiative SPAT.
  • Démonstration de l’arrimage du programme avec l’initiative SPAT
  • Opinions des principaux informateurs
2.
Rôle du gouvernement – Y a-t-il un rôle légitime et nécessaire pour le gouvernement dans ce domaine ou cette activité du programme?
  • Existence d’une défaillance du marché privé ou nécessité de protéger un bien considéré public
  • Démonstration d’un mandat clair d’amélioration de la qualité de l’environnement, considéré comme un bien public
  • Opinions des principaux informateurs
3.
a) Le rôle actuel du gouvernement fédéral est-il approprié ou faut-il songer à transférer le programme aux provinces/territoires?

b) Comment cette activité ou ce programme fait-il l’équilibre entre la nécessité d’une action pancanadienne coordonnée et celle de tenir compte des besoins et des circonstances des provinces/territoires et des régions

 

  • Le programme est situé au bon ordre de gouvernement, et il n’est pas nécessaire de le reconsidérer.
  • Le programme répond aux divers besoins et aux diverses situations des provinces/territoires et des régions, dans le contexte des objectifs globaux du programme.
  • Démonstration de l’arrimage du programme aux priorités du gouvernement fédéral
  • Le gouvernement fédéral a compétence constitutionnelle.
  • Démonstration de l’arrimage du programme avec les priorités provinciales/territoriales
  • Les provinces ont compétence constitutionnelle.
  • Les gouvernements territoriaux ont compétence.
  • Démonstration de consultations avec les provinces/territoires.
  • Démonstration d’une prise en compte des besoins et des particularités des provinces/territoires
  • Opinions des principaux informateurs
4.
a) Quels sont les programmes actuels qui sont étroitement reliés et comment fait-on pour éviter le double emploi et assurer une complémentarité (y compris les programmes non fédéraux)?
  • L’exécution du programme ne fait pas double emploi avec d’autres programmes.
  • L’exécution du programme est complémentaire à d’autres programmes.
  • Analyse du double emploi /de la complémentarité des activités de programmes comparables (aux niveaux fédéral, provincial, territorial et non gouvernemental)
  • Opinions des principaux informateurs
b) Quelle serait la conséquence d’une annulation du PUE sur le système de gestion des urgences au Canada?
  • L’annulation du programme créerait des lacunes dans le système canadien de gestion des urgences.
  • Détermination des lacunes qui existeraient dans le système canadien de gestion des urgences si le programme n’existait pas
  • Opinions des principaux informateurs
Succès
5. Jusqu’à quel point :

a) les résultats du PUE ont-ils été adéquatement
i) définis?

  • 6. Jusqu’à quel point :

    a) les résultats du PUE ont-ils été adéquatement
    i) définis?

  • Description des résultats escomptés du PUE
  • Liens logiques clairs entre les résultats (immédiats, intermédiaires et à long terme)
  • Opinions des principaux informateurs
(ii) measurés?
  • Les stratégies de mesure et de déclaration du rendement surveillent les résultats du PUE.
  • Description des stratégies de mesure et de déclaration
  • Démonstration d’un arrimage entre les résultats et les stratégies de mesure et de déclaration du rendement
  • Existence de données de mesure et de déclaration
  • Opinions des principaux informateurs
iii) réalisés?
  • Voir les énoncés, les indicateurs et les sources mentionnés pour chacun des résultats ci-dessous.

 

Questions d’évaluation
(Les questions en gras sont les sept questions posées dans le cadre de l’Examen des dépenses.)
Description de ce qui doit être observé
(La réponse aux énoncés soulignés ne proviendra que des opinions
formulées par les principaux informateurs)
Indicateurs
Prévention 1.
Résultats immédiats
a) Sensibilisation accrue des intervenants ciblés à la nature et à l’étendue des risques associés aux urgences environnementales, et aux mesures d’atténuation appropriées
  • Sensibilisation accrue des intervenants ciblés aux questions reliées à la nature et à l’étendue des risques des urgences environnementales
  • Sensibilisation accrue des intervenants ciblés aux questions reliées aux mesures d’atténuation appropriées
  • Opinions des principaux informateurs
b) Application de stratégies claires et concises de conformité et d’exécution pour l’art. 200 de la LCPE (1999) [et la Loi sur les pêches]
  • Le programme prévoit l’application de stratégies de conformité et d’exécution pour l’art. 200 de la LCPE (1999) et pour la Loi sur les pêches.
  • Existence de stratégies de conformité reliées à l’art. 200 de la LCPE (1999) et à la Loi sur les pêches
  • Existence de stratégies d’exécution reliées à l’art. 200 de la LCPE (1999) et à la Loi sur les pêches
  • Opinions des principaux informateurs
2.
Résultats intermédiaires
a) Mise en œuvre par le client des plans et des pratiques de prévention, d’intervention et de rétablissement
  • Gestion améliorée (prévention) des urgences environnementales aux installations et aux infrastructures
  • Conformité accrue à la réglementation
  • Démonstration de l’existence et de l’exécution de plans d’urgence environnementale (prévention) aux installations et aux infrastructures
  • Tendances dans la conformité
  • Opinions des principaux informateurs
Préparation
3.
Résultats immédiats
a) État de préparation du Ministère à offrir des conseils et un soutien scientifiques et techniques opportuns et pertinents, conformes aux responsabilités mandatées
  • Les rôles et responsabilités du Ministère sont clairs et compris par tous, en regard des rôles et responsabilités dévolus à toutes les parties contribuant aux interventions.
  • Les plans et procédures du Ministère sur les urgences environnementales sont clairs et compris par tous.
  • Le programme ministériel d’urgences environnementales dispose des compétences et des ressources nécessaires pour fournir des conseils et un soutien scientifiques et techniques opportuns et pertinents.
  • Le Ministère tient des exercices (ou y participe) sur les urgences environnementales.
  • Existence de documentation sur les rôles et responsabilités
  • Existence de documentation sur les plans et procédures
  • Démonstration d’une participation à des exercices sur les urgences environnementales
  • Démonstration d’une corrélation entre les capacités du programme et sa conception et son exécution
  • Opinions des principaux informateurs
b) Meilleure sensibilisation et préparation du client à la gestion des urgences environnementales
  • Sensibilisation accrue du client à la gestion des urgences environnementales
  • Les rôles et responsabilités du client sont clairs et compris par tous, en regard des rôles et responsabilités dévolus à toutes les parties contribuant aux interventions
  • Les plans et procédures du client sont clairs et compris par tous.
  • Le client dispose des compétences et des capacités nécessaires pour gérer les urgences environnementales.
  • Le client tient des exercices (ou y participe) sur les urgences environnementales.
  • Existence de documentation sur les rôles et responsabilités
  • Existence de documentation sur les plans et procédures
  • Démonstration d’une participation du client à des exercices sur les urgences environnementales
  • Démonstration d’une corrélation entre les capacités du client et ses rôles et responsabilités
  • Opinions des principaux informateurs
4.
Résultats intermédiaires
a) Mise en œuvre par le client des plans et des pratiques de prévention, d’intervention et de rétablissement
  • Gestion améliorée des UE (préparation) aux installations et aux infrastructures
    • Participation accrue aux exercices d’urgence environnementale
    • Capacités et préparation accrues
  • Démonstration de l’existence et de l’exécution de plans d’urgence environnementale (préparation) aux installations
  • Démonstration d’une participation à des exercices d’urgence environnementale
  • Opinions des principaux informateurs
Intervention 5.
Résultats immédiats
a) Conseils et soutien scientifiques et techniques opportuns et pertinents, reliés au mandat ministériel relatif aux urgences environnementales
  • Le Ministère offre des conseils et un soutien scientifiques et techniques opportuns et pertinents en ce qui touche son mandat sur les UE.
  • Le Ministère coordonne les conseils et le soutien scientifiques et techniques avec les partenaires internes et externes.
  • Preuve de la prestation de conseils et d’un soutien
  • Taux de réponse (en temps)
  • Démonstration de la présentation de demandes et de la réception de conseils et d’un soutien S-T, entre EC et des partenaires internes et externes
  • Opinions des principaux informateurs
b) Les urgences environnementales où EC est le principal responsable sont gérées adéquatement
  • Lorsqu’il est responsable, le Ministère applique avec succès les mesures à prendre en cas d’urgence environnementale.
  • Démonstration que les mesures suivantes ont été prises :
    • Orientation, contrôle, coordination
    • Application du système de commandement/gestion des interventions
    • Création d’ERIU
    • Tenue d’évaluations/inspections pour déterminer le niveau d’intervention requis
    • Application de procédures d’exploitation normalisées
    • Exécution d’analyses postérieures aux incidents
    • Application de mesures d’intervention/ assainissement
  • Opinions des principaux informateurs
6.
Résultats intermédiaires
a) Mise en œuvre par le client des plans et des pratiques de prévention, d’intervention et de rétablissement
  • Mise en œuvre améliorée des mesures d’intervention prises par les premiers intervenants, les organismes directeurs et les parties responsables (pollueurs et entreprises d’assainissement) quant à la rapidité et à l’adéquation des procédures et des technologies
  • Autonomie croissante des interventions effectuées par les entités réglementées et les ministères fédéraux touchés par le programme
  • Tendances dans la rapidité et l’adéquation des mesures d’intervention entreprises, du point de vue procédures et technologies
  • Démonstration d’un besoin d’amélioration concernant l’exécution des mesures d’intervention
  • Démonstration de l’application des recommandations concernant les mesures d’intervention
  • Démonstration de l’exécution du plan d’intervention
  • Opinions des principaux informateurs
Rétablissement
7. Résultats immédiats a) Sensibilisation accrue des intervenants ciblés à l’évaluation et à la réparation des dégâts causés par les urgences environnementales
  • Sensibilisation accrue des intervenants ciblés aux enjeux entourant l’évaluation et la réparation des dégâts causés par les urgences environnementales
  • Opinions des principaux informateurs
8.
Résultats intermé-diaires
a) Mise en œuvre par le client des plans et des pratiques de prévention, d’intervention et de rétablissement
  • Mise en œuvre améliorée des mesures d’évaluation et de réparation des dégâts environnementaux
  • Tendances dans la mise en œuvre des mesures d’évaluation et de réparation des dégâts environnementaux
  • Analyse de la rapidité des mesures de réparation mises en œuvre
  • Opinions des principaux informateurs
Recherche et développement
9. Résultats immédiats a) Amélioration (élaboration) des connaissances, des technologies, des outils et des méthodes scientifiques touchant les étapes de prévention, de préparation, d’intervention et de rétablissement en cas d’urgence environnementale
  • Sensibilisation de tous les intervenants à la contribution du Ministère aux connaissances, aux technologies, aux outils et aux méthodes scientifiques touchant les mesures de prévention, de préparation, d’intervention et de rétablissement en cas d’UE
  • Reconnaissance des capacités d’EC à élaborer des technologies, des approches et des outils nouveaux et novateurs
  • Nombre de publications scientifiques
  • Récompenses du milieu de la R-D
  • Invitation comme orateurs à des conférences
  • Opinions des principaux informateurs
10.
Résultats intermédiaires
a)Investissement accru [R-D] dans les mesures de prévention et de préparation par l’industrie et les gouvernements
  • L’industrie et le gouvernement relèvent leurs investissements en R-D dans les mesures de prévention et de préparation en cas d’UE. .
  • Les plans et les procédures de prévention et de préparation de l’industrie et du gouvernement en matière d’UE font appel aux connaissances, aux technologies, aux outils et aux méthodes scientifiques découlant des activités de R-D du PUE d’EC.
  • Tendances dans le niveau de financement et les investisseurs
  • Partenariats et entreprises
  • Présence des connaissances, des technologies, des outils et des méthodes scientifiques découlant des activités de R-D du PUE d’EC dans les plans et procédures de prévention et de préparation en cas d’UE de l’industrie et du gouvernement
  • Opinions des principaux informateurs
PUE
11.
Résultats à long terme
Réduction de la fréquence, de la gravité et des conséquences des urgences environnementales touchant le Canada
  • Diminution de la fréquence des urgences environnementales touchant le Canada
  • Diminution de la gravité des urgences environnementales touchant le Canada
  • Atténuation des conséquences des urgences environnementales touchant le Canada
  • Tendances dans la fréquence des UE
  • Tendances dans la gravité des UE
  • Tendances dans les conséquences des UE
  • Opinions des principaux informateurs
5.

b) les résultats du PUE en matière de SPAT ont-ils été adéquatement

i) définis?
  • Les résultats escomptés sont clairement définis
  • Description des résultats escomptés en matière de SPAT
  • Liens logiques clairs entre les résultats (immédiats et intermédiaires)
  • Opinions des principaux informateurs
(ii) measurés?
  • Les activités de mesure et de déclaration du rendement permettent de surveiller les résultats en matière de SPAT.
  • Description des stratégies de mesure et de déclaration
  • Liens clairs entre les résultats et les stratégies de mesure et de déclaration du rendement
  • Existence de données de mesure et de déclaration
  • Opinions des principaux informateurs
iii) réalisés?
  • Voir les énoncés, les indicateurs et les sources mentionnés pour chacun des résultats ci-dessous.

 

Questions d’évaluation
(Les questions en gras sont les sept questions posées dans le cadre de l’Examen des dépenses.)
Description de ce qui doit être observé
(La réponse aux énoncés soulignés ne proviendra que des opinions
formulées par les principaux informateurs)
Indicateurs
SPAT 1)
Résultats immédiats
a) Meilleure connaissance du Règlement sur les UE
  • Meilleure connaissance du Règlement sur les UE
  • Opinions des principaux informateurs
b) Meilleure connaissance par EC des entités réglementées
  • Meilleure connaissance par EC des entités réglementées
  • Opinions des principaux informateurs
c) Meilleure connaissance par la collectivité du Règlement sur les UE et des risques des UE
  • Meilleure connaissance par la collectivité du Règlement sur les UE et des risques des UE
  • Opinions des principaux informateurs
d) Meilleure participation communautaire à la préparation des plans d'urgence environnementale
  • Les installations mettent à contribution les collectivités locales dans la préparation des plans d'urgence environnementale.
  • Démonstration de la mise à contribution des collectivités locales
  • Opinions des principaux informateurs
e) Accroissement des partenariats/ relations entre le gouvernement et l'industrie
  • Il existe des structures permettant de créer et de maintenir des partenariats avec l'industrie concernant le Règlement sur les UE
  • Intensification des relations de travail avec l'industrie concernant le Règlement sur les UE
  • Existence de mécanismes permettant de forger et de maintenir des partenariats avec l’industrie
  • Tendances dans les relations de travail avec l’industrie
f) Meilleure conformité au Règlement sur les UE
  • Conformité accrue des intervenants au Règlement sur les UE
  • Tendances dans la conformité
2) Résultats intermédiaires Meilleure gestion des UE dans les installations et les collectivités, notamment grâce à la substitution de substances moins dangereuses – prévention, préparation, intervention et rétablissement
  • Meilleure gestion des UE aux installations
  • Meilleure gestion des UE dans les collectivités
  • Démonstration de l’existence et de l’exécution de plans d’UE aux installations
  • Tendances dans la conformité
  • Opinions des principaux informateurs
6.
Y a-t-il des facteurs externes au programme qui influencent (positivement et négativement) son succès?
  • L’atteinte des résultats du programme est influencée par des facteurs externes à ce dernier.
  • Détermination des facteurs externes et de leur incidence sur le programme
  • Opinions des principaux informateurs
7.
a) Y a-t-il eu des résultats inattendus, positifs ou négatifs, que l’on peut attribuer au programme?

b) Si oui, comment ont-ils été traités?

  • Il y a des résultats inattendus que l’on peut attribuer au programme.
  • Des mesures sont prises pour traiter les résultats inattendus.
  • Conséquences qui dépassent celles exposées dans les résultats escomptés du programme
  • Démonstration des mesures prises par la direction pour faire face aux effets inattendus
  • Opinions des principaux informateurs

 

Questions d’évaluation
(Les questions en gras sont les sept questions posées dans le cadre de l’Examen des dépenses.)
Description de ce qui doit être observé
(La réponse aux énoncés soulignés ne proviendra que des opinions
formulées par les principaux informateurs)
Indicateurs
Rentabilité
8.
Optimisation des ressources – Les contribuables canadiens obtiennent-ils le maximum de valeur de leurs impôts? Le programme est-il rentable?
  • Le programme montre qu’il optimise les ressources en prouvant sa rentabilité
  • Démonstration de la rentabilité par une analyse de la pertinence, des incidences et des coûts du programme
  • Analyse comparative avec le budget et les objectifs de l’US EPA
  • Opinions des principaux informateurs
9.
a) Capacité financière – Avons-nous les moyens de payer pour l’ensemble des programmes ou des activités?

b) Dans la négative, quels programmes ou activités devrait-on laisser tomber?

  • Le programme montre qu’il optimise les ressources en prouvant sa rentabilité
  • Démonstration de la capacité financière par une analyse des enjeux d’évaluation concernant les solutions de rechange
  • Opinions des principaux informateurs
10.
a) Y a-t-il de meilleures façons d’atteindre les résultats?

b) A-t-on examiné d’autres approches qui pourraient permettre d’atteindre les objectifs ainsi que les répercussions et les effets escomptés?

  • Les autres méthodes d’exécution ont été analysées.
  • Démonstration de l’analyse de diverses options/possibilités (stratégie de communication, réseaux internes officiels, etc.)
  • Opinions des principaux informateurs
11.
Est-ce que les ressources additionnelles que le PUE a reçues en provenance du « budget sécurité » de 2001 ont adéquatement servi à l’atteinte des résultats escomptés?
  • Les ressources sont corrélées aux activités, lesquelles s’arriment à des résultats particuliers du programme
  • Démonstration d’un arrimage des ressources avec les activités
  • Démonstration d’un arrimage des activités avec des résultats particuliers
  • Opinions des principaux informateurs
12.
Dans quelle mesure le PUE a-t-il réussi à obtenir des ressources externes par effet levier ou à conclure des partenariats de R-D pour atteindre les résultats?
  • Les possibilités de partenariat ont été explicitement et exhaustivement explorées.
  • Les possibilités de financement externe ont été explicitement et exhaustivement explorées
  • Effort dans l’exercice de l’effet levier
  • Ratio d’effet levier
  • Ratio d’effet levier dans des programmes comparables de R-D
  • Ententes/relations professionnelles avec des partenaires et intervenants pertinents
  • Appartenance à des comités
  • Opinions des principaux informateurs

13.
a) Le programme devrait-il comporter un élément de recouvrement des coûts?

b) Si oui, cet élément est-il compris?

c) Si oui, quel en est le but?

  • Fourniture de biens/services personnalisés à des clientèles particulières
  • Un mécanisme de recouvrement des coûts est en place, s’il y a lieu.
  • L’élément de recouvrement des coûts sert les fins visées.
  • Description de la portée/des extrants
  • Analyses/rapports financiers sur le recouvrement des coûts
  • Description des éléments de recouvrement des coûts
  • Opinions des principaux informateurs

 

Questions d’évaluation
(Les questions en gras sont les sept questions posées dans le cadre de l’Examen des dépenses.)
Description de ce qui doit être observé
(La réponse aux énoncés soulignés ne proviendra que des opinions
formulées par les principaux informateurs)
Indicateurs
Conception et exécution
14.
Le programme est-il conçu de façon conforme à son mandat? Les activités et les extrants du programme sont-ils conformes à son mandat et liés de façon plausible aux résultats, sur le plan de la clarté et de l’attribution?
  • Les activités et les extrants sont liés au mandat et aux résultats
  • L’attribution de résultats au programme est plausible
  • La documentation décrit les liens entre le mandat, les activités, les extrants et les résultats du progarmme
  • Les documents sur la conception du programme décrivent la causalité du modèle logique
15.
Le programme (ou l’activité) est-il fidèle à sa propre approche (le programme a-t-il été exécuté comme il avait été conçu)?
  • Le programme respecte et observe l’approche/la méthodologie qui avait été définie.
  • Degré de corrélation entre la conception du programme et son exécution
  • Démonstration d’écarts
  • Opinions des principaux informateurs
16.
A-t-on mis en place des processus décisionnels assurant que la répartition des ressources tient compte des secteurs les plus importants (priorités)?
  • Il existe des processus décisionnels assurant la prise en compte des secteurs les plus importants dans la répartition des ressources.
  • Les ressources sont basées sur l’importance relative et sont réparties selon les priorités.
  • Description des processus décisionnels
  • Application de processus de sélection pour les domaines d’importance.
  • Existence et application de critères servant à évaluer les propositions par rapport aux priorités et à répartir les ressources en conséquence
  • Opinions des principaux informateurs
17.
Comment a-t-on tenu compte des risques13? A-t-on élaboré une stratégie de gestion des risques? Est-elle adéquate?
  • Les risques sont adéquatement pris en compte et gérés
  • Détermination des risques
  • Démonstration de stratégies d’atténuation
  • Existence d’une stratégie de gestion du risque
  • Opinions des principaux informateurs
18.
a) A-t-on fait une analyse claire et convaincante des exigences en matière de capacité?

b) Si oui, les résultats de l’analyse servent-ils à répartir les ressources au sein du programme?

c) Si oui, est-ce que l’analyse est incluse dans les propositions d’accroissement des capacités?

d) Les ressources humaines sont-elles adéquates pour atteindre les résultats/objectifs du programme?

  • Les exigences en matière de capacité sont clairement définies.
  • La répartition des ressources à l’intérieur du programme est basée sur les résultats de l’analyse des besoins en matière de capacité.
  • La proposition d’accroissement des capacités comprend une analyse des besoins en capacité.
  • Les ressources humaines reflètent les besoins en capacité.
  • Démonstration d’une corrélation
  • Démonstration que les résultats de l’analyse ont servi à la répartition des ressources au sein du programme
  • Démonstration d’une analyse des besoins en capacités dans les propositions
  • Opinions des principaux informateurs
19.
Existe-t-il un lien clair entre la conception du programme et les piliers du CCDE (prise de décisions, information, sciences et technologie, promotion de la performance et de l’application, et éducation et engagement)?
  • La conception du programme prévoit des stratégies appropriées aux piliers du CCDE
  • Démonstration de l’application des piliers du CCDE à la conception du programme
  • Opinions des principaux informateurs
20.
a) Dans quelle mesure le PUE a-t-il réussi à collaborer avec les partenaires et intervenants pertinents?

b) Quel a été le degré de participation des partenaires et des intervenants?

c) Est-ce qu’on a pris en considération les possibilités de partenariats avec les collectivités, le secteur bénévole et le secteur privé?

d) Partenariat – Quelles activités ou quels programmes pourrait-on transférer en tout ou en partie au secteur privé ou bénévole ou aux provinces/municipalités?

  • Il existe des structures permettant de forger et de maintenir des partenariats
  • Existence de bonnes relations de travail avec les partenaires et les intervenants
  • Les partenaires et les intervenants contribuent de façon significative au programme
  • On a explicitement et exhaustivement exploré les possibilités de partenariat et de transfert complet ou partiel.
  • Existence de structures pour forger et maintenir les partenariats
  • Existence d’accords/relations professionnelles avec les partenaires et les intervenants pertinents
  • Démonstration que les partenaires et les intervenants participent, sont mis à contribution, offrent des ressources au besoin, participent à la planification conjointe.
  • Démonstration qu’il y a eu analyse des possibilités de partenariat et de transfert du programme ou de ses composantes
  • Opinions des principaux informateurs
21.
a) Y a-t-il une structure établie qui assure une gestion souple et qui soutient logiquement l’atteinte des buts et des objectifs?

b) Qui rend des comptes au sujet du programme?

c) Est-ce que les rôles et responsabilités de tous les groupes concernés sont clairs?

  • Les structures de gestion de programme sont alignées sur l’exécution du programme et visent à la soutenir.
  • Les rôles, les responsabilités et les obligations redditionnelles sont clairement définis dans la structure de gestion du programme.
  • Niveau de connaissance des rôles, des responsabilités et des obligations redditionnelles
  • Démonstration d’une application des processus décisionnels et opérationnels
  • Les rôles, les responsabilités et les obligations redditionnelles sont compris et appliqués par tous.
  • Il existe des cadres de responsabilisation et des accords multipartites.e
  • Opinions des principaux informateurs
22.
Comment les extrants des activités de R-D (produits livrables) sont-ils utilisés par les intervenants concernés (y compris dans les autres domaines d’activité du programme)?
  • Utilisation des extrants de la R-D par les intervenants
  • Utilisation identifiée et documentée des extrants de R-D par les intervenants
  • Opinions des principaux informateurs

 

Annexe 2
Liste de l’information de base et des documents à l’appui

Titre du document Date
(si connue)
Présentation
(e.g. copie imprimée, électronique,
site Web)
La politique canadienne de sécurité nationale 2004 Copie électronique
Documentation d’EPAR/PPAR/RPAR/ Copie imprimée et électronique
Requête au Conseil du Trésor – examen opérationnel de la LCPE 2003 Copie imprimée
Requête au Conseil du Trésor – Résumé de l’étude d’impact de la réglementation (REIR) du Règlement des urgences environnementales 2002 Copie imprimée
Compte Rendu de la décision du cabinet de 1973 1973 Copie électronique
Loi sur la protection civile (1985) 1985 Copie électronique
Loi sur les pêches (1985) 1985 Copie électronique
Loi sur le ministère de l'Environnement (1985) 1985 Copie électronique
Loi de 1994 sur la convention concernant les oiseaux migrateurs 1994 Copie électronique
Politique en cas d’urgences, 1995 1995 Copie électronique
Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999)[LCPE (1999)] 1999 Copie électronique
Protocole d’entente du Conseil canadien des ministres de l’environnement sur les urgences 2001 Copie imprimée
Rapport de l’examen indépendant de la documentation d’Environnement Canada sur la planification 2005 Copie imprimée et électronique
Documentation sur les priorités du Conseil (Conseils de la protection de l’environnement, des services météorologiques et environnementaux et de la durabilit é des écosystèmes) Copie électronique
Cadre de gestion et de responsabilisation axé sur les résultats du Programme des urgences environnementales 2004 Copie imprimée et électronique
Rapports annuels de la stratégie de Sécurité publique et d ’antiterrorisme (SPAT) d’Environnement Canada 2003-2004 à 2005-2006 Copie imprimée
Discours sur le budget fédéral 2001, 2003 Copie électronique
Protocoles d'entente avec les provinces Copie électronique
Ententes fédéraux-provinciaux :
-- Entente administrative Canada-Saskatchewan concernant la Loi canadienne sur la protection de l'environnement
-- Entente administrative Canada-Saskatchewan sur la réglementation des rejets de substances nocives conclue en vertu de la Loi sur les pêches
-- Entente administrative Canada-Alberta sur la réglementation des rejets de substances nocives conclue en vertu de la Loi sur les pêches
Copie électronique
Discours du Trône du gouvernement fédéral Copie électronique
Documentation de la Commission canadienne de sûreté nucléaire Copie électronique
Documentation de l'Office national de l'énergie Copie électronique
Documentation de la Loi sur le transport des marchandises dangereuses (1992) Copie électronique
Documentation de la Loi sur la marine marchande du Canada (2001) Copie électronique
Règlement sur les urgences environnementales et des documents reliés:
-- Guide pour le cadre d'estimation du risque - articles 199 et 200 de la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999) [LCPE (1999)]
-- Lignes Directrices pour la mise en application de la partie 8 de la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999)[LCPE (1999)] - Plans d'urgence environnementale
-- Règlement sur les urgences environnementales pris en vertu de la partie 8 de la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999) [LCPE (1999)]
-- Exposé raisonné concernant la préparation d'une liste de substances réglementées en vertu de l'article 200 de la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999) [LCPE (1999)], et la d étermination de leurs quantités seuils
Copie électronique
Plan national d’intervention en cas d’urgence environnementale (PNIUE) 1999 Copie électronique
Plans des Équipes des Interventions D'Urgence (ERIU) Copie électronique
Données de mesure et de déclaration (Système national de renseignements sur l’application de la loi reliée à l’environnement (NEMESIS), Système national des urgences environnementales (SNUE), base de données sur les urgences environnementales, rapports annuels sur la Loi sur les pêches et la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999) [LCPE (1999)]) Copie électronique
Lignes directrices sur les évaluations postérieures aux incidents 2002 Copie électronique
Alerte du Centre national des urgences environnementales 2005 Copie électronique
Évaluation des participants aux ateliers tenus en Ontario et dans l ’Atlantique sur la prévention des déversements Copie électronique
Projet de plan interministériel de la prévention de la pollution marine causée par les navires 2005 Copie électronique
Stratégies de conformité et d’exécution pour l’art. 200 de la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999) [LCPE (1999)] et pour la Loi sur les pêches Copie électronique
Plans de conformité et d’exécution pour l’art. 200 de la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999) [LCPE (1999)] Copie électronique
Plan national et régional d’inspection 2005-2006 Copie électronique
Avis de renseignements sur les substances et les lieux où elles se trouvent Copie électronique
Avis confirmant l’élaboration Copie électronique
Avis d’exécution et de mise à l’essai Copie électronique
Plans d’urgence des régions Copie électronique
Procédures opératoires normalisées (PONs) Copie électronique
Procédures d’intervention en cas d’urgences environnementales (administration centrale et régions) Copie électronique
Données du Système national des urgences environnementales (NEMESIS, SNUE) Copie électronique
Protocole d’entente avec l’Office Canada-N.-É. des hydrocarbures extracôtiers (OCNEHE) Copie électronique
Protocole d’entente avec l’Office Canada-Terre-Neuve des hydrocarbures extracôtiers (OCTNHE) 1988 Copie électronique
Ententes administratives avec l’Alberta et la Saskatchewan concernant la Loi sur les pêches et la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999) [LCPE (1999)] 1992, 1994 Copie électronique
Ententes administratives avec l’Alberta et la Saskatchewan concernant la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999) [LCPE (1999)] Copie électronique
Plans bilatéraux sur la pollution terrestre Copie électronique
Plans bilatéraux sur la pollution maritime Copie électronique
Plan de soutien national (Ministère de la Sécurité publique et de la Protection civile du Canada) 2001 Copie électronique
Plan national de lutte contre le terrorisme (PNLCT) 2000 Copie électronique
Plan de travail du Programme des urgences environnementales 2006 Copie électronique
Documentation d’une participation à des exercices (p. ex. rapports) 2004, 2005, 2006 Copie électronique
Plan d’urgence provincial Copie électronique
Rapports d’examen sur les plans d’urgences environnementales (faits par le programme) Copie électronique
Dossiers d’évaluation postérieure aux incidents Copie électronique
Rapports sur les incidents de pollution 2004, 2005, 2006 Copie électronique
Documents du Centre des sciences et technologies environnementales : rapports sommaires; aperçus Copie électronique
Documentation financière sur la recherche et développement 2002-2006 Copie électronique
Documentation sur les nouveaux partenariats de R-D (p. ex. accords) 2006-2007 Copie électronique
Documentation sur le financement annuel de la R-D 2002-2006 Copie électronique
Sommaire des déversements survenus au Canada 1974-1983 et 1984-1995 Copie électronique
Rapports sur les plans et les priorités 2004, 2005, 2006 Copie électronique
Rapports ministériels dur le rendement 2004, 2005, 2006 Copie électronique
Accords financiers de recherche et développement avec des partenaires externes Copie électronique
Document du Conseil du Trésor (sur le recouvrement des coûts) 2004 Copie électronique
Analyse des répercussions sur les opérations, parties I et II 2006 Copie électronique
Analyse de la capacité du Programme des urgences environnementales 2003, 2005 Copie électronique
Plan national de formation 2005 Copie électronique
Examen opérationnel de la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999) [LCPE (1999)] 2002 Copie électronique
Documentation prouvant l’existence de structures pour bâtir et maintenir les partenariats 2006 Copie électronique
Contributions financières des partenaires au Programme des urgences environnementales Copie électronique
Plan bilatéral sur la pollution terrestre et maritime Copie électronique
Plan fédéral en cas d'urgence nucléaire (PFUN) Copie électronique
Évaluation de la menace menée au Canada et aux États-Unis 2006 Copie électronique
Modifications proposées au Règlement sur les urgences environnementales en vertu de l'article 200 de la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999) [LCPE (1999)] 2005 Copie électronique
Protocole d’entente entre Environnement Canada et le Ministère de la Défense Nationale 2005 Copie électronique
Entente officieuse régionale entre Environnement Canada et Pêches et Océans Canada 2005 Copie électronique
Section 200 Project: A Research Project Identifying the Potential Regulated Community in Prairie and Northern Region for the Environmental Emergency Regulations (en anglais seulement) 2003 Copie électronique
Plan de projets axés sur les résultats : Promotion de la conformité; Plan de projets axés sur les résultats : Application de la loi 2004, 2005, 2006 Copie électronique
Rapports après-exercice (après 2004) 2004, 2005, 2006 Copie électronique
Comment on choisit les projets de recherche et développement Courriel
Rapports de l’application de la loi; avertissements par écrit (apr ès 2004) 2004, 2005, 2006 Copie électronique
Une liste des exercices qui ont eux lieu après 2004 2004, 2005, 2006 Copie électronique
Documentation des extrants de la recherche et développement/ Exemples des extrants de la recherche et développement (après 2004) 2004, 2005, 2006 Copie électronique
Rapports de formation; matériaux des cours de formation; commentaires sur la formation (après 2004) 2004, 2005, 2006 Copie électronique
Compte rendu de situation des Équipes des Interventions D'Urgence (ERIU) 2004, 2005, 2006 Copie électronique

 

Annexe 3
Liste des personnes interrogées et des guides d’entrevue

Entrevues
Groupe d'entrevue Population Échantillon Nbre de refus Nbre pas de réponses Nbre complétées
I1 -- Éxecutant du programme 18 12 0 0 12
I2 -- Gestionnaires supérieurs du programme 8 4 1 0 3
I3 -- Partenaires internes (au sein d'EC) 27 15 0 1 14
I4 -- Partenaires externes (fédéraux) 63 36 2 11 23
I5 -- Partenaires externes (non fédéraux) 67 34 0 12 33
I6 -- Entitées réglementées 13 14 3 2 9
I7 -- Organisations de recherche et développement 18 18 4 4 10
I8 -- Ministères fédéraux concernés 5 5 2 0 3
I9 -- Coordinateur SPAT du CT 3 2 1 0 1
I10 -- Conseil consultatifs externes 2 3 0 1 2
TOTAL 224 143 13 31 99

Répertoire des questions d’entrevues

Introduction :

La Direction générale de la vérification et de l’évaluation d’Environnement Canada effectue actuellement une évaluation du Programme des urgences environnementales (PUE). Le but de cette évaluation est de déterminer si le programme est conforme aux priorités organisationnelles, s’il répond à un besoin sociétal actuel, s’il atteint les résultats escomptés, s’il utilise les moyens les plus pertinents et les plus efficaces pour atteindre ces résultats et si sa prestation est effectuée de la meilleure façon possible. Tous les domaines d’activités du PUE (prévention, préparation, intervention, rétablissement, recherche et développement) sont abordés dans l’évaluation.

Conformément aux pratiques exemplaires, la démarche de cette évaluation fait appel à des sources de données multiples et à des méthodes de recherche complémentaires. À cette fin, des entrevues avec des informateurs clés ont été planifiées. Les questions ci-dessous permettent d’orienter le processus d’entrevue.

Questions d’ensemble :

1. Veuillez décrire votre rôle et votre expérience en rapport avec le PUE. Quelles domaines d’activités du PUE connaissez-vous le mieux ou auxquels de ces domaines d’activités avez-vous participé ? Note : ces domaines d’activités comprennent la prévention, la préparation, l’intervention, le rétablissement, la recherche et le développement.

Partenaires et intervenants seulement
2. Veuillez décrire la relation de travail entre le PUE et votre organisme.

Questions spécifiques :

3. La plupart des programmes du gouvernement sont habituellement conçus pour répondre aux préoccupations et aux priorités de la société.

À votre avis, dans quelle mesure le PUE répond-t-il aux besoins de la société ? Prière de préciser.
[REF:1a]

4. Dans quelle mesure le PUE contribue-t-il au résultat du Cadre pour la compétitivité et la durabilité de l'environnement (CCDE) ? [atteindre le niveau supérieur en matière de qualité de l’environnement en vue d’accroître le bien-être des Canadiens, de préserver l’environnement naturel du Canada et d’accroître sa compétitivité à long terme] ? Prière de préciser. [REF: 1b]

5. Dans quelle mesure le PUE contribue-t-il à produire les résultats ministériels et les priorités des Conseils ? Prière de préciser. [REF: 1c]

6. Dans quelle mesure le PUE est-il aligné aux objectifs en matière de Sécurité publique et d’antiterrorisme ? [Soit : améliorer la sécurité aérienne, améliorer le contrôle à la frontière, resserrer la sécurité à la frontière et faciliter les mouvements transfrontaliers, améliorer l’efficacité du renseignement et du maintien de l’ordre, améliorer la planification d’urgence et le soutien offert aux militaires, mettre à profit l’infrastructure frontalière et les moyens dont dispose la communauté internationale] ? Prière de préciser. [REF: 1d]

7. Historiquement, le gouvernement a joué un rôle dans le domaine des urgences environnementales.
Dans quelle mesure diriez-vous que le rôle du gouvernement dans ce domaine est nécessaire ? Prière de préciser. [REF: 2]

8. Estimez-vous que le programme de financement et d’activités du gouvernement fédéral en matière d’urgences environnementales devrait être poursuivi ou qu’il devrait être réaffecté en partie ou en totalité aux provinces et aux territoires, ou encore à d’autres programmes ? Veuillez préciser. [REF: 3]

9. De quelle façon le PUE tient-il compte des divers besoins et situations des provinces, des territoires et des régions dans le contexte d’un programme coordonné à l’échelle nationale ? [REF: 3]

10. Y a-t-il des programmes [y compris des programmes gouvernementaux autres que fédéraux] dont les objectifs et les activités sont similaires à ceux du PUE ? [Question incitative : y a-t-il d’autres programmes qui font double emploi avec les objectifs et les activités du PUE, ou qui les complètent ?] [REF: 4a]

  1. Si oui, veuillez décrire les aspects des programmes qui sont similaires ainsi que ceux qui se complètent.

11. Quelles lacunes pourraient apparaître dans le système de gestion d’urgence canadien si le PUE n’existait pas ? [REF:4b]

  1. Quelles en seraient les répercussions ?
  2. Devrait-on et pourrait-on faire intervenir d’autres programmes pour combler ces lacunes ?

12. Un cadre de gestion axée sur les résultats et de responsabilisation (CGRR) a été élaboré en 2004 pour le PUE. Il comporte des modèles logiques qui donnent un aperçu des résultats spécifiques que le PUE doit atteindre.

Dans quelle mesure les résultats du PUE (immédiats, intermédiaires et à long terme) sont-ils raisonnables, compte tenu de la portée de ses activités ? [REF: 5a(i)]

  1. Les résultats du PUE devraient-ils être révisés

13. Dans quelle mesure les résultats du PUE sont-ils communément compris et acceptés par toutes les parties engagées dans le PUE ? [REF: 5a(i)]

14. Quelles stratégies de mesures de rendement et de présentation des rapports sont en place pour mesurer les résultats du PUE ? [REF: 5a(ii)]

  1. Quelles données ont été saisies jusqu’à présent?
  2. Comment ces données sont-elles utilisées ?

15. Dans quelle mesure les résultats immédiats du PUE suivants ont-ils été atteints ? Prière de préciser. [Question incitative : Pourriez-vous fournir des exemples et/ou des documents à l’appui ?] [REF: 5a1a, 5a1b, 5a3a, 5a3b, 5a5a, 5a5b, 5a7a, 5a9a]

  1. Sensibilisation accrue des intervenants ciblés à la nature et à l’étendue des risques associés aux urgences environnementales, et aux mesures d’atténuation appropriées (Prévention)
  2. Application de stratégies claires et concises de conformité et d’exécution pour l’art. 200 de la LCPE (1999) (Prévention)
  3. État de préparation du Ministère à offrir des conseils et un soutien scientifiques et techniques opportuns et pertinents, conformes aux responsabilités mandatées (Préparation)
  4. Meilleure sensibilisation et préparation du client à la gestion des urgences environnementales (Préparation)
  5. Conseils et soutien scientifiques et techniques opportuns et pertinents, reliés au mandat ministériel relatif aux urgences environnementales (Intervention)
  6. Les urgences environnementales où EC est le principal responsable sont gérées adéquatement (Intervention)
  7. Sensibilisation accrue des intervenants ciblés à l’évaluation et à la réparation des dégâts causés par les urgences environnementales (Rétablissement)
  8. Amélioration des connaissances, des technologies, des outils et des méthodes scientifiques touchant les étapes de prévention, de préparation, d’intervention et de rétablissement en cas d’urgence environnementale (Recherche et développement)

16. Dans quelle mesure les résultats intermédiaires du PUE suivants ont-ils été atteints ? Prière de préciser. [Question incitative : Pourriez-vous fournir des exemples et/ou des documents à l’appui ?] [REF: 5a2a, 5a4a, 5a6a, 5a8a, 5a10a]

  1. Mise en œuvre par le client des plans et des pratiques de prévention, d’intervention et de rétablissement.
  2. Investissement accru [R&D] dans les mesures de prévention et de préparation par l’industrie et les gouvernements.

17. Dans quelle mesure le résultat à long terme du PUE a-t-il été atteint ? Prière de préciser. [Question incitative : Pourriez-vous fournir des exemples et/ou des documents à l’appui ?] [REF: 5a11]

  1. Réduction de la fréquence, de la gravité et des conséquences des urgences environnementales touchant le Canada.

18. En 2001, les responsabilités du PUE se sont accrues en raison de la création de la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT) du gouvernement canadien, qui a financé l’amélioration et la mise en place de mesures de sécurité pour protéger la santé et la sécurité des Canadiens. Le PUE a identifié des résultats relevant du Règlement sur les urgences environnementales, précisés dans les rapports annuels SPAT soumis au Conseil du Trésor.

Dans quelle mesure les résultats (immédiats et intermédiaires) du PUE relatifs au SPAT sont-ils raisonnables compte tenu de la portée du PUE et des objectifs de la stratégie fédérale SPAT ? [REF: 5b(i)]

  1. Les résultats devraient-ils être révisés ?

Note : Les objectifs de la stratégie SPAT sont les suivants:

19. Quelles stratégies de mesures de rendement et de présentation des rapports sont en place pour mesurer les résultats du PUE relatifs au SPAT ? [REF: 5b(ii)]

  1. Quelles données ont été saisies jusqu’à présent ?
  2. Comment ces données sont-elles utilisées ?

20. Dans quelle mesure les résultats immédiats du PUE relatifs au SPAT suivants ont-ils été atteints ? Prière de préciser. [Question incitative : Pourriez-vous fournir des exemples et/ou des documents à l’appui ?] [REF: 5b1a, 5b1b, 5b1c, 5b1d, 5b1e, 5b1f]

  1. Meilleure connaissance du Règlement sur les UE
  2. Meilleure connaissance par EC des entités réglementées
  3. Meilleure connaissance par la collectivité du Règlement sur les UE et des risques des UE
  4. Meilleure participation communautaire à la préparation des plans d’urgence environnementale
  5. Accroissement des partenariats/relations entre le gouvernement et l’industrie
  6. Meilleure conformité au Règlement sur les UE

21. Dans quelle mesure le résultat intermédiaire du PUE relatif au SPAT a-t-il été atteint ? Prière de préciser. [Question incitative : Pourriez-vous fournir des exemples et/ou des documents à l’appui ?] [REF: 5b2]

  1. Meilleure gestion des UE dans les installations et les collectivités, notamment grâce à la substitution de substances moins dangereuses – prévention, préparation, intervention et rétablissement.

22. Quels facteurs extérieurs au PUE, qu’ils soient positifs ou négatifs, ont facilité ou nuit à la réalisation des résultats du PUE ? [REF: 6]

  1. Quelles ont été les répercussions des facteurs extérieurs ?

Gestionnaires supérieurs uniquement
   a. De quelle façon ces facteurs ont-ils été pris en compte ?

23. Le PUE a-t-il produit des résultats imprévus, qu’ils soient positifs ou négatifs ? [Question incitative : y a-t-il eu des résultats, positifs ou négatifs, qui n’étaient pas prévus ?] [REF: 7]

  1. Si oui, quels étaient ces résultats imprévus et de quelle façon ont-ils été pris en compte ?

24. Il est important que les programmes du gouvernement soient efficaces et contribuent au bien de la population.

À votre avis, dans quelle mesure les Canadiens obtiennent-ils le maximum de valeur de leurs impôts en ce qui concerne le PUE ? [Message d’incitation : le concept englobe les aspects relatifs à la pertinence, aux répercussions et aux coûts.] [REF: 8]

Agents d’exécution du programme et gestionnaires supérieurs uniquement
25. À votre avis, dans quelle mesure le PUE utilise-t-il les approches les plus efficaces pour atteindre les résultats visés ? [REF: 10]

  1. Y aurait-il des alternatives aux approches de prestations adoptées qui pourraient rendre le PUE plus efficace ? Prière de préciser.

26. Quelles alternatives aux approches adoptées, s’il y en a, ont été examinées afin d’atteindre de manière plus efficace les résultats visés du PUE ? [REF: 10]

Partenaires
27. À votre avis, dans quelle mesure le PUE utilise-t-il les approches les plus efficaces pour atteindre les résultats visés ? [REF: 10]

  1. Y aurait-il des alternatives aux approches de prestations adoptées qui pourraient rendre le PUE plus efficace ? Prière de préciser.

28. Quelles activités ont été financées par les ressources supplémentaires affectées au PUE dans le cadre du budget de « sécurité » de 2001 ? [REF: 11]

29. Dans quelle mesure le PUE a-t-il exploré :

  1. les partenariats dans le domaine R&D ?
  2. les possibilités de financement externe pour R&D ?

[Question incitative : quels sont les types d’approches utilisées pour explorer les possibilités de partenariat et de financement externe ?] [REF: 12]

30. À votre avis, quel a été le succès du PUE en matière d’optimisation des ressources provenant de l’extérieur ? [Question incitative : dans quelle mesure le PUE a-t-il réussi à établir des partenariats et/ou à recevoir du financement pour R&D ?] [REF: 12]

Agents d’exécution du programme et partenaires (int. et ext.)
31
. À votre avis, le PUE devrait-il fixer des frais d’utilisateur pour couvrir certains des coûts occasionnés par la prestation de ses services ? [REF: 13]

32. Y a-t-il des barèmes de frais en place pour couvrir certains des coûts occasionnés par le PUE? [REF: 13]

  1. Si oui, quels sont leurs objectifs ? [Question incitative : quels coûts sont couverts ?]
  2. Sont-ils efficaces ?

Collectivités réglementées et ministères fédéraux
33
. Des services spécifiques fournis par le PUE vous sont-ils facturés ? [REF: 13]

  1. Si oui, que pensez-vous du fait de payer pour ces services ?

34. Le mandat et les résultats du PUE sont liés à la réduction de la fréquence, de la gravité et des conséquences des urgences environnementales en encourageant la mise sur pied de mesures de prévention et de préparation, en fournissant des conseils sur les mesures d’intervention et de rétablissement et en contribuant à l’avancement scientifique et technologique du domaine des urgences.

Pensez-vous que les activités et les extrants du PUE contribuent à ce mandat ? Prière de préciser. [REF: 14]

  1. Croyez-vous que certaines activités et/ou extrants ne sont pas nécessaires ?
  2. Manque-t-il des activités et/ou des extrants ?

35. Le mandat du PUE a été déterminé d’après un ensemble de lois et politiques fédérales telles que la Directive du Cabinet de 1973 qui établit les rôles et les responsabilités d’Environnement Canada quant aux urgences environnementales, la Loi sur la protection civile de 1985 et la Loi canadienne sur la protection de l’environnement de 1999.

Dans quelle mesure le PUE a-t-il été mis en œuvre conformément à ces politiques et à ces lois ? [REF: 15]

36. Comment sont prises les décisions relatives à :

  1. la détermination des priorités ?
  2. l’affectation des ressources ?

[Question incitative : prière de préciser et fournir des documents à l’appui.] [REF: 16]

37. Quels types d’approches ont été utilisés pour déterminer et gérer les risques associés à la réalisation des objectifs du PUE ? Prière de préciser. [Message d’incitation : p. ex., risques financiers, opérationnels, politiques, technologiques, sanitaires et sécuritaires, environnementaux. Des stratégies pertinentes ont-elles été élaborées ?] [REF: 17]

38. À votre avis, dans quelle mesure les ressources humaines et financières actuelles sont-elles appropriées pour la réalisation des résultats du PUE ? Prière de préciser. [REF: 18]

39. Une analyse des exigences en matière de capacité (humaine et financière) a-t-elle été effectuée pour le PUE ? [REF: 18]

  1. Si oui, comment les résultats de l’analyse sont-ils utilisés à des fins d’affectation de ressources au PUE ?
  2. Si oui, des propositions pour accroître la capacité ont-elles été complétées?
    1. Si oui, comment cette analyse des exigences en matière de capacité est-elle comprise dans la proposition visant à accroître la capacité ?

40. Le CCDE, qui a été élaboré en 2004, vise à maximiser le plus haut niveau de qualité environnementale pour améliorer la qualité de vie des Canadiens. Les cinq piliers du CCDE sont : processus décisionnel, information, science et technologie, promotion du rendement et de l’application de la loi, éducation et mobilisation.

À votre avis, dans quelle mesure les piliers du CCDE sont-ils pris en compte par la structure actuelle du PUE ? [REF: 19]

Agents d’exécution du programme et gestionnaires supérieurs
41.
Quels types d’approches ont été utilisés pour rejoindre des partenaires éventuels ? [REF: 20]

  1. À votre avis, dans quelle mesure le PUE a-t-il réussi à travailler avec les partenaires et les intervenants pertinents ? [Question incitative : quelles structures ont été créées ?]
    1. Prière de préciser la nature de ces partenariats.
  2. Dans quelle mesure les partenaires et les intervenants ont-ils participé ?
    1. Prière de préciser la relation de travail entre le PUE et les partenaires et les intervenants.

42. À votre avis, quelles sont les possibilités, s’il y en a, de transférer certaines des activités ou des éléments du PUE au secteur privé ou bénévole ou aux provinces ou municipalités? [Question incitative : y a-t-il d’autres programmes qui font double emploi avec les objectifs et les activités du PUE, ou les complètent ?] [REF: 20]

Partenaires et intervenants
43
. À votre avis, dans quelle mesure le PUE a-t-il réussi à travailler avec votre organisme ?

  1. Qu’est-ce qui fonctionne bien ?
  2. Que pourrait-on améliorer ?

44. À votre avis, quelles sont les possibilités, s’il y en a, de transférer certaines des activités ou des éléments du PUE au secteur privé ou bénévole ou aux provinces ou municipalités ? [Question incitative : y a-t-il d’autres programmes qui font double emploi avec les objectifs et les activités du PUE, ou les complètent ?] [REF: 20]

Agents d’exécution du programme et gestionnaires supérieurs
45
. Comment vos rôles et responsabilités par rapport au PUE ont-ils été établis ? [REF: 21]

46. À votre avis, dans quelle mesure les rôles et les responsabilités de toutes les parties impliquées dans le PUE sont-ils exposés clairement et communément compris ? Veuillez préciser. [REF: 21]

47. Dans quelle mesure les rapports de responsabilisation au sein du PUE sont-elles exposées clairement et communément comprises ? Veuillez préciser. [REF: 21]

  1. À qui rendez-vous des comptes ?

Partenaires
48.
Comment vos rôles et responsabilités par rapport au PUE ont-ils été établis ? [REF: 21]

49. À votre avis, dans quelle mesure les rôles et les responsabilités de toutes les parties impliquées dans le PUE sont-ils exposés clairement et communément compris ? Veuillez préciser. [REF: 21]

Tous, sauf les agents d’exécution de programme R&D
50.
Dans quelle mesure avez-vous utilisé les extrants et les livrables développés par le domaine d’activités R&D du PUE ? [REF: 22]

  1. Quel était le but des extrants et livrables exploités ?

Agents d’exécution de programme R&D uniquement
51.
De quelle façon les extrants et livrables développés par le domaine d’activités R&D du PUE sont-ils exploités par les intervenants, y compris les autres domaines d’activités du PUE ? [REF: 22]

Questions de conclusion:

52. À votre avis, quelles sont les principales forces et faiblesses du PUE ?

  1. Avez-vous des suggestions à faire pour améliorer le PUE ?

53. Avez-vous quelque chose à ajouter ?


Annexe 4
Liste sommaire des cotes par question

On trouvera ci-dessous un tableau indiquant les cotes individuelles pour chaque enjeu d’évaluation données quant à la question de savoir si les constatations révèlent l’absence de problème (√), l’absence de problème, mais qui découlent de preuves subjectives (~√), la présence d’un problème mineur (º), la présence d’un problème majeur (×) ou un cote ne s’appliquait pas.

Cotes de constations
Pas de Problème Aucun problème n’a été identifié à l’égard du sujet donné au cours de l’évaluation
~√ Bien que la preuve subjective éloquente existe qui démontre que le Programme réussi bien à l’égard du sujet donné, une évaluation complète ne peut pas être menée à cause d’un manque de données suffisantes
Problème mineur º Bien que le Programme réussi bien en général à l’égard du sujet identifié, il existe un élément manquant (où des éléments manquants) qui mérite que le Programme s’y attarde
Problème majeur × Le Programme ne réussi pas bien à l’égard du sujet donné ou il y a un élément majeur qui manque
Ne s’applique pas S.O. Une cote ne s’applique pas à l’enjeu donné

Sur les 39 aspects abordés originalement par le cadre d'évaluation14 , l’évaluation du Programmes des urgences environnementales a produit les Constatations suivantes :

Sujets identifiés Problème
  Non Mineur Majeur
Pertinence
1. Rend service à l’intérêt public    
2. Contribue aux résultats ministériels    
3. La nécessité du rôle du gouvernement    
4. L’opportunité du rôle actuel du gouvernement fédéral (Environnement Canada)    
Succès – Résultats immédiats du Programme des urgences environnementales
5. Prévention : Sensibilisation accrue des intervenants ciblés   º  
6. Prévention : Stratégies de conformité et d’exécution    
7. Préparation : État de préparation du Ministère   º  
8. Préparation : Sensibilisation et préparation du client     ×
9. Intervention : Conseils et soutien scientifiques et techniques    
10. Intervention : Les urgences environnementales ou Environnement Canada est le principal responsable S.O. S.O. S.O.
11. Rétablissement : Sensibilisation accrue des intervenants ciblés ~√    
12. Recherche et développement : Élaboration des connaissances de recherche et développement    
Succès – Résultats intermédiaires du Programme des urgences environnementales
13. Mise en œuvre par le client des plans et des pratiques   º  
14. Investissement accru [recherche et développement] par l’industrie et les gouvernements   º  
Succès – Résultats à longe terme du Programme des urgences environnementales
15. Réduction de la fréquence, de la gravite et des conséquences des urgences environnementales touchant le Canada Impossible à évaluer Impossible à évaluer Impossible à évaluer
Succès – Résultats immédiats de la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme
16. Connaissance du Règlement sur les urgences environnementales    
17. Connaissance par Environnement Canada des entités réglementées   º  
18. Connaissance par la collectivité du Règlement sur les urgences environnementales   º  
19. Participation communautaire à la préparation des plans   º  
20. Partenariats/relations entre l’industrie et le gouvernement ~√    
21. Meilleure conformité au Règlement sur les urgences environnementales ~√    
Succès – Résultats intermédiaires de la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme
22. Meilleure gestion des urgences environnementales   º  
Succès – autres
23. Facteurs externes   º  
24. Résultats inattendus    
Rentabilité
25. Optimisation des ressources Impossible à évaluer Impossible à évaluer Impossible à évaluer
26. Recouvrement des coûts   º  
27. Autres méthodes d’exécution   º  
Conception et exécution
28. Définition et mesures des résultats     ×
29. L’ensemble de conception et exécution   º  
30. Pris en compte des risques   º  
31. Pris en compte des exigences en matière de capacité     ×
Stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme
32. Cadre avec la stratégie de Sécurité publique et d ’antiterrorisme    
33. Utilisation adéquat des fonds de la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme   º  
Recherche et Développement
34. Obtient des ressources externes    
35. Utilisation des extrants par les intervenants concernés ~√    
Partenaires
36. Complémentarité/double emploi/lacunes   º  
37. Bonnes relations   º  
Forces/Faiblesses/Secteurs à améliorer
38. Forces/faiblesses/secteurs à améliorer S.O. S.O. S.O.
TOTAL 15 16 3

 


1 Le plan ministériel de vérification et d’évaluation pour 2005-2006 a été approuvé le 15 juin 2005 par le Comité ministériel de vérification et d’évaluation.

2 Au sens de la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999) [LCPE (1999)], « substance » consiste en toute matière organique ou inorganique, animée ou inanimée, distinguable et qui peut être rejetée dans l’environnement canadien sous la forme d’une substance unique, d’un effluent, d’une émission, d’un déchet ou d’un mélange.

3 La Directive du Cabinet de 1973 est une décision du Cabinet qui définit les rôles et les responsabilités du Ministère de l’environnement lors des urgences.

4 Ces résultats ne sont pas inclus dans le Cadre de gestion et de responsabilisation axé sur les résultats (CGRR) du 2004.

5 Fonds externes reçus pour des projets recherche et développement (p. ex. Initiative de recherche et de technologie chimique, biologique, radiologique et nucléaire, autres ministères)

6 Pas inclut dans le budget pour AF 2003-2004; affectation actuelle du 2 million de dollars du financement pour l’examen opérationnel de la LCPE aux régions et à la Division des urgences - Science et technologie (DUST) n’est pas disponible pour AF 2003-2004; les montants prévus pour les AF 2004-2005 et 2005-2006 englobe le financement pour l’examen opérationnel de la LCPE.

7 Les résultats ont été tirés de Cadre de gestion et de responsabilisation axé sur les résultats du Programme des urgences environnementales. Les résultats relatifs au à la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT) ont été tirés des rapports annuels de la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT).

8 REMARQUE : On attribue une cote à savoir si les résultats révèlent l’absence de problème (√), l’absence de problème, mais qui découlent de preuves subjectives (~√), la présence d’un problème mineur (º) ou la présence d’un problème majeur (×). L'annexe 4 présente une liste résumant ces cotes pour chacune des questions d’évaluation.

9 Il est important de souligner que le pollueur est responsable des frais même si le déversement est accidentel; le principe du pollueur-payeur ne suppose en rien des obligations, mais bien une responsabilité.

10 Il est important de souligner que le fonds pour dommages à l’environnement ne prévoit aucune modalité de recouvrement des coûts.

11 Pour faire face à la sous-capacité dans certains secteurs, on enprunte des agents de l’environnement à d'autres secteurs.

12 L’objet du panel d’experts était d’examiner l’ébauche de rapport d'évaluation axé particulièrement sur les recommandations et les conclusions. Dans l’ensemble, le panel était en accord avec les conclusions et les recommandations du rapport.

13 Le Cadre de gestion intégrée du risque du Secrétariat du Conseil du Trésor définit ainsi le risque : « Le risque se rapporte à l'incertitude qui entoure des événements et des résultats futurs. Il est l'expression de la probabilité et de l'incidence d'un événement susceptible d'influencer l'atteinte des objectifs de l'organisation. »

14 Une des questions initiales du cadre d’évaluation (Q19 dans l’annexe 1) relatives au sujet des piliers du Cadre pour la compétitivité et la durabilité de l’environnement a été supprimée.