Achèvement de l’étape de planificationJuin
2006
Communication du rapport pour réponse
de la directionOctobre 2007
Réception de la réponse de la directionDécembre
2007
Achèvement du rapportJanvier 2008
Approbation du rapport par le Comité ministériel de
vérification et d’évaluation (CMVE)Mars
2008
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L’équipe du projet d’évaluation, composée de Shelley Tice, Janet King, Lindsay Fitzpatrick, Karine Kisilenko et Michelle Guertin et dirigée par Robert Tkaczyk et V. Neimanis sous la gouverne de Shelley Borys, Directrice, aimerait remercier toutes les personnes qui ont contribué à ce projet, et plus particulièrement toutes les personnes interviewées qui nous ont fait part de leurs précieuses idées et observations.
Préparé par la Division de l’évaluation, Direction générale de la vérification et de l’évaluation.
La Direction générale de la vérification et de l’évaluation d’Environnement Canada (EC) a terminé l’évaluation du Programme des urgences environnementales (PUE) en août 2007.
L’évaluation du Programme des urgences environnementales (PUE) a été incorporée pour les raisons suivantes au plan de vérification et d’évaluation 2005-2006 d’Environnement Canada (EC)1:
L'objet de l'évaluation du Programme des urgences environnementales était d'examiner si ce dernier
L’évaluation de ce Programme a été choisie comme projet pilote de mise à l’essai d’un cadre d’évaluation générique, approuvé par le Comité ministériel de vérification et d’évaluation (CMVE), composé de questions ainsi que d’indicateurs connexes et de sources de données pour chacun des secteurs d’intérêt de l’évaluation : la pertinence, le succès, la rentabilité, et la conception et l’exécution. L’évaluation a répondu aux 30 questions de ce cadre d’évaluation générique et a recouru aux sources de données multiples suivantes :
La période visée par l’évaluation s’étendait de juillet 2004 (élaboration du Cadre de gestion et de responsabilisation axé sur les résultats (CGRR)) à décembre 2006. L’évaluation a examiné les cinq domaines d’activité du Programme des urgences environnementales (prévention, préparation, réponse, rétablissement et recherche-développement).
Vous trouverez ci-après une vue d’ensemble des résultats issus des quatre enjeux principaux relatifs à la pertinence, au succès, à la rentabilité ainsi qu’à la conception et exécution.
Pertinence : Le Programme est–il encore conforme aux priorités du gouvernement fédéral, contribue–t’il à ces priorités et répond–il à des besoins réels?
Succès : Le Programme a–t–il atteint les résultats prévus?
Rentabilité : Le Programme utilise-t-il les moyens les plus appropriés, les plus efficaces par rapport au coût et les plus efficients qui soient pour atteindre les résultats?
Conception et exécution : Le Programme est-il conçu et exécuté de la meilleure façon possible?
Il s’agit de la première évaluation du Programme des urgences environnementales, un des domaines de programme les plus anciens d’Environnement Canada. En général, l'évaluation du programme est positive, dans la mesure où celui-ci livre un bien public reconnu, remplit le mandat du Ministère et qu’aucun problème grave n’est recensé. Les principales conclusions de l’évaluation sont présentées ci-dessous.
Bien que des domaines de préoccupation aient été mentionnés au cours de l’évaluation en ce qui concerne la pertinence, le succès et la rentabilité, ces inquiétudes sont associées aux aspects de conception et d’exécution; il est donc possible de les régler en modifiant la conception et l’exécution du Programme.
Fondamentalement, la pertinence du Programme et le fait qu’EC devrait continuer à s’acquitter de cette fonction ne sont pas mis en doute et donnent au Programme des bases fermes sur lesquelles il peut s’appuyer pour ses activités.
Compte tenu des pressions actuelles sur le Programme, des questions connues en matière de capacité, y compris la relève, ainsi que des pressions financières constantes au gouvernement fédéral, il est urgent d’apporter une réponse aux recommandations. Les recommandations sont présentées de façon séquentielle, en fonction de la structure logique et des délais dans lesquels elles devraient être appliquées.
À présent, il y a au Ministère des groupes précis chargés de l’application de la loi, et des activités de promotion de la conformité. Le Programme des urgences environnementales a en même temps la responsabilité fonctionnelle de ces deux activités dans le contexte des urgences environnementales, ce qui entraîne une certaine confusion à l’interne, car on ne sait pas où ces responsabilités fonctionnelles commencent et finissent pour ces deux activités. Plusieurs groupes d’entrevue auprès des principaux informateurs à l’interne et à l’externe ont soulevé cette inquiétude.
L’évaluation conclut que la conception et l’exécution du Programme doivent être améliorées dans un certain nombre de domaines :
Le Conseil de protection de l’environnement devrait aborder les recommandations suivantes selon l’ordre qui suit :
Auparavant, les activités de planification et de gestion des urgences environnementales, d’application de la loi, et de promotion de la conformité associées à la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999) [LCPE (1999)] et à la Loi sur les pêches se trouvaient dans le même Regroupement de projets axés sur les résultats (RPAR) relevant du Conseil de la protection de l’environnement (PE). Il y avait donc des communications régulières entre le Programme des urgences environnementales, promotion de la conformité et mise en application de la loi, et tous étaient au courant des activités de chacun des groupes. Il a été décidé en avril 2006 de regrouper toutes les activités d’application de la loi du Ministère sous la responsabilité du Conseil des services de gestion du Ministère. À présent, compte tenu de ce que ces activités ne sont plus regroupées dans une même structure de gouvernance, la confusion qui règne autour de la question de savoir où commencent et où finissent les responsabilités fonctionnelles pour ces deux activités est exacerbée.
Les activités et les résultats attendus du Programme des urgences environnementales doivent être associés à des rôles et à des responsabilités clairement définis. Il faudra peut-être pour cela réviser le modèle logique du Programme. Ce qui fournirait aussi l’occasion d’intégrer les activités et les résultats de la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT) au modèle logique et à la stratégie de mesure du rendement du Programme dans les domaines d’activité liées à la prévention et à la préparation. Le mandat de cette évaluation consistait à examiner les quatre enjeux de l’évaluation (pertinence, succès, rentabilité, et conception et exécution) dans les cinq domaines d’activité du Programme. Compte tenu de ce qu’il n’y a pas de système adéquat de mesure du rendement, l’évaluation n’a pu examiner plus en profondeur quelles activités précisément sont des réussites et quelles activités n’en sont pas, dans les domaines du Programme où les résultats ne sont pas complètement atteints (p. ex., la sensibilisation). Prenant appui sur les constatations de cette évaluation, d’autres recherches visant à déterminer quelles activités ont contribué à l’atteint de ces résultats sont par conséquent nécessaires afin d’établir quels secteurs du Programme il faut améliorer, ce qui augmente l’efficacité et l’efficience du Programme. Une partie de cette tâche pourrait consister à recueillir des données sur les activités en question afin d’établir dans quelle mesure elles sont une réussite. Lorsque le Programme a identifié quelles activités liées à la sensibilisation sont réussites, le Programme devrait ensuite élaborer et mettre en œuvre une stratégie de sensibilisation détaillée.
Il faut effectuer une évaluation complète de la capacité du Programme afin de déterminer les écarts, s’il y en a, entre la capacité disponible et la capacité nécessaire. Lorsque des écarts sont cernés, les risques associés devraient être identifiés et des stratégies d’atténuation devraient être mise en place pour faire face à ces risques.
Le Programme doit achever et mettre en œuvre un système de production de rapports et de mesure du rendement cernant les principaux indicateurs et les données nécessaires pour établir à quel point le Programme réussit à atteindre les objectifs énoncés.
Le Programme a des insuffisances précises en surveillance dans le domaine de conformité qu’il faut examiner et auxquelles il faut remédier pour assurer l’existence de bons liens avec la population sur laquelle il a le plus d’incidences.
Recommandation nº 1a :
Le Conseil de protection de l’environnement est d’accord avec cette
recommandation. La mise en application, la promotion de la conformité aux
règlements et la fourniture d’information et de conseils scientifiques
et techniques constituent trois fonctions ministérielles distinctes
au sein d’Environnement Canada. Pour des raisons juridiques ainsi qu’administratives,
il est essentiel que les rôles et les responsabilités du personnel
soient clairement définis et compris, aussi bien à l’interne
dans les ministères que par les intervenants externes avec qui le personnel
interagit.
Le représentant délégué du Conseil de protection de l’environnement et le Responsable de la mise en application de la loi se sont entendus pour collaborer à l'élaboration (d'ici mars 2008) d’un document de gouvernance pour clarifier les liens entre les activités d’urgence, de promotion de la conformité et de mise en application. Ce document sera élaboré conformément à la méthodologie du système de gestion de la qualité (SGQ).
Recommandation nº 1b :
Le Conseil de protection de l’environnement est d’accord avec cette
recommandation. À l’exception de la promotion de la conformité aux
règlements en matière d’urgence environnementale en vertu
de la partie 8 de la Loi canadienne sur la protection de l'environnement
(1999) [LCPE (1999)], le ministère a généralement
préconisé comme approche pour sensibiliser les intervenants externes
de profiter des initiatives régionales et locales entreprises par les
autres gouvernements, les autres ministères fédéraux ou
les intervenants du secteur privé. Cette approche a fonctionné à des
degrés divers. Le Conseil de protection de l’environnement s’engage à effectuer
une étude pour identifier les principaux publics visés et évaluer
les forces, les faiblesses et les coûts de divers mécanismes de
livraison pour améliorer la prévention des situations d’urgence
et la préparation à de telles situations. Cette étude
sera complétée d’ici juin 2008.
Recommandation nº 1c :
Le Conseil de protection de l’environnement est d’accord avec cette
recommandation. Des travaux importants ont été effectués
par le passé pour déterminer les ressources nécessaires
pour assumer de façon adéquate les responsabilités mandatées
du Programme des urgences environnementales. Le Conseil de protection de l’environnement
s’inspirera de ces travaux pour effectuer une évaluation détaillée
des exigences en matière de capacité du Programme, des lacunes,
des risques et des stratégies d’atténuation relevant des
rôles et responsabilités a rendu obligatoire d’Environnement
Canada. Cette évaluation tiendra également compte des résultats
de l’étude sur les activités de sensibilisation qui doit être
entreprise en réponse à la Recommandations nº 2 ci-dessus
et proposera diverses options à la direction. Ce travail sera complété d’ici
janvier 2009 et sera donc disponible pour le processus de planification de
l’exercice financier 2009-2010.
Recommandation nº 1d :
Le Conseil de protection de l’environnement est d’accord avec cette
recommandation. Des travaux importants ont été effectués
au cours des dernières années pour identifier un ensemble complet
d’indicateurs pour les volets de prévention, de préparation,
de réponse, de récupération et de R-D du Programme des
urgences environnementales. Il faut maintenant consacrer des efforts à l’analyse
et au choix d’un sous-ensemble plus représentatif d’indicateurs
qui permettront de mesurer efficacement les résultats et l’efficacité du
Programme et qui pourront être mis en œuvre de façon cohérente
et à des coûts abordables à l’échelle nationale.
Ce travail sera effectué en parallèle avec l’évaluation
détaillée de la capacité du Programme présentée
ci-dessus en réponse à la Recommandation nº 3 et devrait
donc être complété d’ici janvier 2009.
Recommandation nº 1e :
Le Conseil de protection de l’environnement est d’accord avec cette
recommandation et considère l’élaboration d’une stratégie
efficace mais abordable de mesure de la performance, présentée
ci-dessus en réponse à la Recommandation nº 4, comme essentielle
pour répondre aux préoccupations identifiées dans le cadre
de l’évaluation du Programme.
La Direction générale de la vérification et de l’évaluation d’Environnement Canada (EC) a terminé l’évaluation du Programme des urgences environnementales (PUE) en août 2007.
L’évaluation du Programme des urgences environnementales (PUE) a été incorporée pour les raisons suivantes au plan de vérification et d’évaluation 2005-2006 d’Environnement Canada (EC)1 :
Créé en 1973 en vertu d’une directive du Cabinet, le Programme des urgences environnementales est l’un des programmes les plus anciens d’Environnement Canada. Le Programme est structuré selon cinq domaines d’activité : prévention, préparation, intervention, rétablissement, recherche-développement. Le Programme des urgences environnementales a pour mission de réduire la fréquence, la gravité et les conséquences des urgences environnementales en encourageant la mise sur pied de mesures de prévention et de préparation, en fournissant des conseils sur les mesures d’intervention et de rétablissement et en contribuant à l’avancement scientifique et technologique du domaine des urgences.
L’évaluation de ce Programme a aussi été choisie comme projet pilote de mise à l’essai d’un cadre d’évaluation générique.
Un comité d'évaluation a été créé, avec pour mandat de faciliter et d'orienter, du début à la fin, le processus d'évaluation au niveau de l'exécution. Ce comité était composé de représentants de la Direction générale de la vérification et d l’évaluation et du Programme des urgences environnementales.
Ce document, qui présente les constatations et recommandations issues de l’évaluation du Programme des urgences environnementales, est ainsi structuré :
Créé en 1973 en vertu d’une directive du Cabinet, le Programme des urgences environnementales est l’un des programmes les plus anciens d’Environnement Canada. Depuis sa création, le programme a connu le parcours habituel des programmes dirigés par les événements, c’est à dire qu’il suscite beaucoup d’intérêt et de visibilité lors d'une situation d'urgence ou d’une catastrophe et qu'il est mis de côté en période d'accalmie.
Au début des années 1970, à la suite d’une série de catastrophes, dont celles causées par le naufrage des navires Torrey Canyon (Angleterre, 1967) et Arrow (Canada, 1970), le Programme des urgences environnementales s’est surtout concentré sur les déversements accidentels de pétrole. Par la suite, d’autres déversements comme celui de l’Amoco Cadiz (France, 1978), du Kurdistan (Canada, 1979) et de l‘Exxon Valdez (USA, 1989) ont confirmé le besoin d’instaurer des mesures de prévention et de gestion de ce type d’accidents.
Au cours des années 1980, des catastrophes comme celles de Bhopal, en Inde, et celle de Mexico, au Mexique, survenues toutes deux en décembre 1984 et entraînant la mort de milliers de personnes, ont également mis en évidence l’importance de se concentrer sur le déversement des produits chimiques et des matières dangereuses. Mis à part le bien-fondé du programme, on a surtout réalisé que ce genre d’événements avait des conséquences sérieuses non seulement sur l'environnement, mais aussi sur la santé et sur la vie des personnes. Certains événements, comme le déversement de PBC survenu en 1986 le long de la route 17 à Kenora, en Ontario, l’incendie d’un entrepôt de PBC à Saint-Basile-le-Grand, au Québec, qui s’est produit en 1988, ainsi que les incendies de Hagersville, en Ontario, et de Saint-Amable, au Québec, survenus tous deux au début des années 1990, ont prouvé qu’il fallait améliorer le système canadien de gestion des mesures d'urgence pour mieux gérer ce genre de situations.
Depuis le début des années 1990, le programme a fait l’objet de plusieurs modifications importantes. À la fin de 1991, le gouvernement annonçait le lancement du Plan vert du Canada, qui s’accompagnait d’un financement de 165 millions de dollars échelonné sur cinq ans. De cette somme, 40 millions étaient destinés aux services de prévisions et d’avertissements environnementaux, 100 millions à la stratégie d'intervention en cas de catastrophe écologique en mer et 25 millions au programme de prévention et de gestion des déversements dangereux. Même si seulement une partie de ces fonds était destinée à Environnement Canada, le programme a connu une croissance marquée, doublant pratiquement de taille et d’envergure au cours des deux ou trois années qui ont suivi. En 1994, le gouvernement a procédé à un examen du programme et décidé de couper de 40 p. cent le budget qu’il lui accordait. De 10 millions de dollars, le budget passait ainsi à 6,25 millions de dollars. La situation a amené certains gestionnaires supérieurs à prendre leur retraite et d’autres employés, à changer d’organismes. Au début de 1997, la direction du Programmes des urgences environnementales a entrepris de revoir ses responsabilités et ses compétences.
En 1999, le programme a commencé à ressentir les effets des travaux en prévision du passage à l'an 2000. On engageait du personnel pour évaluer la sécurité dans les secteurs et pour préparer les employés à gérer les répercussions possibles des défaillances informatiques. Les attaques du 11 septembre sur le World Trade Centre et le Pentagone ont, par la suite, renforcé ce besoin. Environnement Canada a participé de près aux activités qui ont donné lieu au budget de décembre 2001 consacré à la sécurité. De nouvelles initiatives, notamment la création de la partie 8 de la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999) [LCPE (1999)] afin de faire face aux questions d’ordre environnemental en matière d’urgences, la rédaction et la mise en œuvre du Règlement sur les urgences environnementales établi en vertu de l’article 200 de la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999) [LCPE (1999)] ainsi que l’initiative de recherche et de technologie CBRN (chimique, biologique, radiologique et nucléaire), ont également permis d'orienter le programme vers le secteur de la sécurité publique.
Le concept de gestion des urgences au Canada est un principe clé pour bien comprendre les rôles et les responsabilités du programme. La responsabilité de gérer les urgences environnementales incombe surtout à la partie qui est à l’origine du risque ou au pollueur potentiel et, par la suite, à l’ordre de gouvernement (municipal, provincial ou fédéral) qui a le pouvoir législatif approprié en matière d'urgences environnementales.
Ce mode de fonctionnement hiérarchique est inhérent à l’approche tous risques de gestion des urgences adoptée au Canada. Plusieurs services et organismes provinciaux et fédéraux ont le mandat prescrit par la loi et les fonctions essentielles pour gérer les urgences. Il est donc important de reconnaître et de respecter leur rôle respectif. À titre de pollueur potentiel, l’industrie a également un rôle important à jouer à chacune des étapes de la gestion des urgences. Toutes les parties doivent veiller à mettre en œuvre les ententes et les mesures nécessaires pour assurer la collaboration et la coordination quand besoin est, ce qui est en soi un enjeu de taille.
La partie 8 de la Loi canadienne sur la protection de l’environnement (1999) définit ainsi ce qu’est une urgence environnementale : « Situation liée au rejet - effectif ou probable - d'une substance2 dans l'environnement, soit de manière accidentelle, soit en violation des règlements ou arrêtés d'urgence pris en application de la présente partie », et dont les aspects « ont ou pourraient avoir, immédiatement ou à long terme, un effet nocif sur l'environnement; mettent ou pourraient mettre en danger l'environnement essentiel pour la vie humaine; constituent ou pourraient constituer un danger au Canada pour la vie ou la santé humaines. » En sa qualité de principal organisme environnemental au gouvernement fédéral, Environnement Canada a la responsabilité de fournir les services essentiels pour prévenir les rejets de polluants, s’y préparer, intervenir le cas échéant ou réparer les dommages, de façon à protéger l’environnement et la santé publique contre les menaces de pollution résultant des urgences environnementales.
La fourniture de ces services essentiels se fait par l’entremise du Programme des urgences environnementales, dont le mandat découle de diverses lois et politiques fédérales :
Le Programme des urgences environnementales a pour mission de réduire la fréquence, la gravité et les conséquences des urgences environnementales en encourageant la mise sur pied de mesures de prévention et de préparation, en fournissant des conseils sur les mesures d’intervention et de rétablissement et en contribuant à l’avancement scientifique et technologique du domaine des urgences.
En 2001, les responsabilités conférées au Programme ont été rehaussées par la mise en place de la Stratégie du gouvernement du Canada en matière de la stratégie de sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT), qui allouait 7,8 milliards de dollars sur six ans à divers ministères fédéraux afin d’intensifier les mesures de sécurité visant à protéger la santé et la sécurité de la population canadienne. Le Programme des urgences environnementales a reçu des fonds devant servir à mettre en œuvre des mesures (Règlement sur les urgences environnementales) pour améliorer les activités de prévention, de préparation, d’intervention et de rétablissement au titre des urgences environnementales, dans les installations où se trouvent des substances dont le rejet accidentel ou délibéré dans l’environnement menacerait la santé humaine ou la qualité de l’environnement.
Le Programme des urgences environnementales est structuré selon cinq domaines d’activité : prévention, préparation, intervention, rétablissement, recherche-développement.
Les activités associées à la prévention sont les suivantes : administrer, examiner et gérer la préparation et l’actualisation des plans d’urgences environnementales; cerner les dangers et évaluer les risques en vue d’élaborer et d’appliquer des stratégies réduisant les possibilités que survienne une urgence; faciliter et donner une formation sur la prévention des déversements, à l’intention des intéressés. Aux termes du Règlement sur les urgences environnementales (2003), qui découle de la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999) [LCPE (1999)], quiconque entrepose ou utilise certaines substances toxiques et dangereuses, à partir de certains seuils précis, doit préparer et appliquer un plan d’urgences environnementales. Ce plan doit contenir de l’information sur les types d’urgences que pourraient causer les substances toxiques ou d’autres substances dangereuses, avec les renseignements pertinents sur les mesures de prévention, de préparation, d’intervention et de rétablissement.
La prévention des urgences environnementales associées au transport de substances toxiques ou d’autres matières dangereuses incombe à Transports Canada dans le cas du transport routier, ferroviaire ou maritime, et à l’Office national de l’énergie dans le cas du transport interprovincial ou international par pipeline. Dans ces cas-là, Environnement Canada a pour rôle de promouvoir une meilleure protection de l’environnement.
Dans le domaine d’activité « préparation », Environnement Canada a la responsabilité de coordonner à l’échelle nationale et régionale les mesures de préparation en cas d’urgence environnementale. Pour ce faire, le Ministère doit : élaborer des plans d’urgence tels que le Plan national d’intervention en cas d’urgence environnementale, qui délimite les responsabilités des ministères fédéraux; établir les procédures d’intervention à suivre en cas d’urgence environnementale; fixer des normes de formation pour les agents d’intervention d’urgence du Ministère.
Sur le plan régional, Environnement Canada coordonne les équipes régionales d’intervention d’urgence (ERIU), qui regroupent les instances fédérales, provinciales et municipales responsables de la protection de l’environnement, des représentants autochtones et des experts de l’industrie et d’organisations non gouvernementales. Les équipes régionales d’intervention d’urgence (ERIU) représentent une source centralisée de conseils d’experts durant les urgences environnementales.
En outre, le Ministère offre un leadership et une orientation aux ministères, aux provinces, aux organismes et à l’industrie dans l’élaboration des plans d’urgence, des plans de préparation des interventions en cas de déversement et des systèmes de signalement et d’intervention; il participe à des exercices d’intervention et il collabore à des réseaux avec l’industrie, d’autres ministères fédéraux et des organismes d’intervention.
Au cours d’une urgence environnementale, Environnement Canada a la responsabilité de superviser au nom du gouvernement fédéral les mesures d’intervention prises par la partie ou les parties responsables; de fournir des conseils scientifiques et techniques sur la météorologie et l’état de la mer et sur le devenir; le comportement et les effets des produits chimiques; de prélever et d’analyser des échantillons; de prendre des contre-mesures; de cartographier les zones vulnérables et de modéliser la trajectoire des polluants pour certaines interventions sur place, afin de réduire les dégâts à l’environnement. En outre, Environnement Canada dirige le Centre national des urgences environnementales (CNUE), en activité 24 heures par jour et sept jours par semaine, qui, selon la nature et la gravité de l’urgence, aide à coordonner les besoins en informations et en ressources, suit les progrès de l’intervention et fait le point de la situation pour la haute direction d’Environnement Canada.
Après une urgence environnementale, Environnement Canada a la responsabilité de s’assurer que les parties responsables évaluent adéquatement et, dans toute la mesure du possible, réparent les dégâts environnementaux causés par l’incident, en entreprenant ou en coordonnant les travaux de restauration nécessaires et en en recouvrant le coût auprès des pollueurs. À cette fin, Environnement Canada élabore et utilise des outils et des techniques d’évaluation et de réparation des dégâts et contribue à la gestion du Fonds pour dommage à l’environnement, qui sert de compte de fiducie fédéral pour la gestion et le versement des paiements d’indemnisation en matière d’environnement.
Le domaine d’activité recherche-développement (R-D), qui relève surtout du Centre des sciences et technologies environnementales (CSTE), comprend la conception des modèles de déversement, des méthodes d’analyse, des algorithmes sur le devenir et le comportement des polluants, des méthodes de mesure et de télédétection, des protocoles et des contre-mesures de décontamination qui sont utilisés lors des incidents. Le Service météorologique du Canada (SMC) collabore en préparant et en diffusant des prévisions météorologiques ainsi que les résultats de modélisation.
Ce domaine englobe également l’élaboration courante de technologies de prévention, de nouveaux outils et de nouvelles méthodes de prévention.
Le Cadre de gestion et de responsabilisation axé sur les résultats (CGRR) établi en juillet 2004 est assorti d’un modèle logique sommaire du Programme (figure 1) qui illustre les liens entre les activités du Programme des urgences environnementales et l’atteinte de ses résultats.
Cependant, le modèle logique ne comprend pas les fonctions du Programme relatifs à la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT). En 2001, les responsabilités du Programme se sont accrues en raison de la création de la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT) du gouvernement canadien, qui a financé l’amélioration et la mise en place de mesures de sécurité pour protéger la santé et la sécurité des Canadiens. Le Programme a identifié des résultats4 précis relatifs au Règlement sur les urgences environnementales, tels documentés dans les rapports annuels de la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT) envoyés au Conseil du Trésor.
Le résultat intermédiaire de la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT) suivant était identifié :
Les résultats immédiats de stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT) suivants étaient identifiés :
Le tableau 1 ci-dessous présente un sommaire de l’affectation budgétaire des salaires et de fonctionnement et entretien (F et E) du Programme des urgences environnementales par région (incluant une colonne distincte pour la Division des urgences – Science et technologie (DUST) et par année, pour les années fiscales de 2002-2003 à 2005-2006. Ces données comprennent les fonds alloués au Programme des urgences environnementales relatifs aux responsabilités du Programme en ce qui concerne la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT).
DUE |
Atlantique |
Québec |
Ontario |
PTNO |
PY |
DUST |
Total |
|
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
AF 2002-2003 | ||||||||
Salaires | $999,900 | $573,800 | $445,800 | $138,200 | $191,200 | $512,900 | $940,700 | $3,802,500 |
F et E | $503,200 | $376,700 | $222,000 | $142,100 | $115,100 | $100,400 | $952,700 | $2,412,200 |
Total | $1,503,100 | $950,500 | $667,800 | $280,300 | $306,300 | $613,300 | $1,893,400 | $6,214,700 |
Financement : R-D5 | $893,186 | $893,186 | ||||||
AF 2003-2004 | ||||||||
Salaires | $1,279,500 | $582,500 | $476,000 | $54,000 | $391,900 | $521,300 | $980,100 | $4,285,300 |
F et E | $950,500 | $399,700 | $225,600 | $123,500 | $278,000 | $100,400 | $938,900 | $3,016,600 |
Total | $2,230,000 | $982,200 | $701,600 | $177,500 | $669,900 | $621,700 | $1,919,000 | $7,301,900 |
Financement : examen opérationnel de la LCPE6 | $2,000,000 | |||||||
Financement : R-D | $734,724 | $734,724 | ||||||
AF 2004-2005 | ||||||||
Salaires | $1,306,900 | $669,500 | $643,000 | $224,000 | $501,900 | $463,400 | $1,082,500 | $4,891,200 |
F et E | $681,900 | $540,600 | $236,700 | $262,000 | $443,100 | $262,300 | $1,312,900 | $3,739,500 |
Total | $1,988,800 | $1,210,100 | $879,700 | $486,000 | $945,000 | $725,700 | $2,395,400 | $8,630,700 |
Financement : R-D | $944,253 | $944,253 | ||||||
AF 2005-2006 | ||||||||
Salaires | $1,373,300 | $749,400 | $674,000 | $421,400 | $473,800 | $463,600 | $1,132,600 | $5,288,100 |
F et E | $681,900 | $524,400 | $236,700 | $256,200 | $291,900 | $413,600 | $1,319,200 | $3,723,900 |
Total | $2,055,200 | $1,273,800 | $910,700 | $677,600 | $765,700 | $877,200 | $2,451,800 | $9,012,000 |
Financement : R-D | $443,047 | $443,047 |
L'objet de l'évaluation du Programme des urgences environnementales était d'examiner si ce dernier :
Le tableau suivant (tableau 2) présente les résultats escomptés précis du Programme qui sont liés à l’axe d’évaluation de succès. Les résultats immédiats sont liés à chacun des cinq domaines d’activités du Programme ainsi que les activités relatifs à la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT). Les résultats intermédiaires sont liés à l’ensemble du Programme ainsi que les activités relatifs à la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT). Finalement, le résultat à long terme est lié à l’ensemble du Programme.
Type de résultat | Domaine d’activité du Programme | Résultats escomptés |
---|---|---|
Résultats immédiats | Prévention |
|
Préparation |
|
|
Intervention |
|
|
Rétablissement |
|
|
Recherche et développement |
|
|
Stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT) |
|
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Résultats inter-médiaires | Programme des urgences environnementales |
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Stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT) |
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Résultat à long terme | Programme des urgences environnementales |
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Les cinq domaines d'activité du Programme des urgences environnementales (prévention, préparation, intervention, rétablissement et recherche-développement) étaient compris dans l'évaluation.
L’évaluation traite de la période allant de juillet 2004 (l’élaboration du Cadre de gestion et de responsabilisation axé sur les résultats (CGRR)) et décembre 2006.
Le Comité ministériel de vérification et d'évaluation (CMVE) d'Environnement Canada a approuvé un cadre d'évaluation, constitué de questions assorties d'indicateurs et de sources de données connexes. L’évaluation a appliqué rigoureusement les 30 questions d'évaluation énumérées dans le cadre d'évaluation générique et a examiné les quatre enjeux exposés ci-dessus.
Le cadre repose sur un modèle logique classique, supposant que l'on utilise des ressources (Intrants) et que l'on fait des choses (Activités) qui résultent en des produits (Extrants) qui s'adressent à certains intervenants (Portée) afin d'atteindre certains résultats, des aboutissements souhaités ou des conditions modifiées (Résultats). Subséquemment, on a formulé une série de questions d'évaluation génériques (avec les indicateurs et les sources de données qui s'y rattachent) pouvant s'appliquer à tout programme, que l'on a examinées en regard du modèle logique établi. Les questions portent sur les quatre grands axes d'évaluation : pertinence, succès, rentabilité, conception et prestation. Ces questions génériques (qui comprennent les sept questions de l'examen sur les dépenses) étaient regroupées à quelques questions d'évaluation supplémentaires concernant expressément le programme évalué, lesquelles questions étaient déterminées dans le cadre de l'exécution de cette évaluation. Le cadre d'évaluation figure à l'annexe 1.
L’évaluation a recouru à des sources de données multiples, au moyen des techniques exposées dans le tableau suivant.
Méthodologie | Description |
---|---|
Examen de la documentation | Un examen interne et analyse des documents concernant
le Programme (p. ex. politiques, lois, documents ministériels et documents de planification
et opérationnels) ont été menés, identifiés « composantes
de recherches ciblées » dans la section des Constatations.
Certains thèmes ont été examinés en profondeur
s’il y avait lieu, et sont désignés composantes de
recherches ciblées dans la section des Constatations. Une liste de l’information de base et des documents à l’appui examinés est présentée à l'annexe 2. |
Examen des dossiers | Un examen et analyse d’un échantillon de dossiers sur les activités du Programme (p. ex. rapports d’incident de pollution) a été mené à l’interne. |
Entrevue | En total, quatre-vingt dix-neuf entrevues ont été menées à l’interne
avec des intervenants clés appartenant aux catégories suivantes
:
Un tableau qui présente le nombre d’entrevues complétées par chaque groupe interrogé ainsi qu’un répertoire des questions d’entrevues se trouve dans l’annexe 3. |
Sondage téléphonique | Un consultant a été embauché pour administrer un sondage auprès des entités touchés par le Règlement dans le but d’obtenir la rétroaction des représentants des entités réglementées par le Règlement sur les urgences environnementales. En total, 350 entrevues téléphoniques ont été menées. |
Panel d'experts | Un examen indépendant a été effectué par
chacun des quatre experts afin de :
|
Un nombre de limitations s’est présentées au cours de l’évaluation. Les limitations suivantes représentent les plus notables :
Vous trouverez ci-après, sous quatre catégories distinctes, les résultats de cette évaluation, soit : la pertinence, le succès, la rentabilité ainsi que la conception et exécution, et ce, à partir des questions préparées pour le cadre d'évaluation général présenté à l'annexe 1. Pour chacun des résultats présentés, le nombre d'entrevues et de sondages menés auprès des répondants ainsi que le nombre de documents de recherche pour chacun de ces résultats sont fournis.
La présente section traite de la pertinence du programme, c’est-à-dire son niveau d’harmonisation avec les directives et les priorités d’Environnement Canada de même que la transparence de l’intention du programme. On aborde en outre la justification soutenue de celui-ci compte tenu des besoins sectoriels dominants et des chevauchements possibles avec d'autres initiatives.
1. Questions d’évaluation : Pertinence : Servir l’intérêt public | Description de ce qui doit être observé | Cote8 |
---|---|---|
Le programme continue-t-il de servir l’intérêt
du public? La définition du programme est-elle axée sur le citoyen? Le programme est-il pertinent (du point de vue des intervenants?) |
|
√ |
Nombre
de répondants
aux entrevues : 69 Nombre de répondants au sondage : 333 Nombre de documents de recherche : N/D |
Constatations :
2. Questions
d’évaluation :
Pertinence : Contribuer à la concrétisation des résultats ministériels |
Description de ce qui doit être observé | Cote |
---|---|---|
Est-ce que le programme continue d’être justifié au regard du Cadre pour la compétitivité et la durabilité de l'environnement (CCDE) [résultats stratégiques ministériels] (contribue à la concrétisation des résultats ministériels (plans de projets axés sur les résultats, regroupement de projets axés sur les résultats et conseils) et des priorités du Conseil)? |
|
√ |
Nombre de répondants aux entrevues
: 17,
soit des partenaires internes et des gestionnaires supérieurs du
programme d’Environnement Canada Nombre de répondants au sondage : N/D Nombre de documents de recherche : 2 |
Constatations :
3. Questions
d’évaluation :
Pertinence : Nécessité du rôle du gouvernement |
Description de ce qui doit être observé | Cote |
---|---|---|
Rôle du gouvernement – Y a-t-il un rôle légitime et nécessaire pour le gouvernement dans ce domaine ou cette activité de programme? |
|
√ |
Nombre de répondants aux entrevues :
31 Nombre de répondants au sondage : 349 Nombre de documents de recherche : 2 |
Constatations :
4. Questions d’évaluation : Pertinence : Pertinence du rôle fédéral (Environnement Canada) | Description de ce qui doit être observé | Cote |
---|---|---|
Fédéralisme – Le rôle actuel du gouvernement fédéral est-il approprié ou faut-il songer à transférer le programme aux provinces/territoires? |
|
√ |
Nombre de répondants aux entrevues :
20 Nombre de répondants au sondage : N/D Nombre de documents de recherche : 3 |
Constatations :
4.1.1 Sommaire des points pour la pertinence
La présente section se penche sur les résultats du programme, prévus ou non, dans les secteurs connexes au mandat de celui-ci.
5. Questions d’évaluation : Succès : Résultats immédiats du Programme des urgences environnementales : Prévention 1 du Programme des urgences environnementales) | Description de ce qui doit être observé | Cote |
---|---|---|
Jusqu’à quel point les résultats suivants
ont-ils été adéquatement réalisés : intervenants ciblés à la nature et à l’étendue des risques associés aux urgences environnementales, et aux mesures d’atténuation appropriées |
|
º |
Nombre de répondants aux entrevues :
46 Nombre de répondants au sondage : 329 Nombre de documents de recherche : 2 |
Constatations :
6. Questions d’évaluation : Succès : Résultats immédiats du Programme des urgences environnementales : Prévention 2 du Programme des urgences environnementales | Description de ce qui doit être observé | Cote |
---|---|---|
Jusqu’à quel point les résultats suivants
ont-ils été adéquatement réalisés : Application de stratégies claires et concises de conformité et d’exécution pour l’art. 200 de la LCPE (1999) [et la Loi sur les pêches] |
|
√ |
Nombre de répondants aux entrevues :
30 Nombre de répondants au sondage : 333 (en ce qui touche le Règlement sur les urgences environnementales); 260 (en ce qui concerne la Loi sur les pêches) Nombre de documents de recherche : 1 |
Constatations :
7. Questions d’évaluation : Succès : Résultats immédiats du Programme des urgences environnementales : Préparation Programme des urgences environnementales 1 | Description de ce qui doit être observé | Cote |
---|---|---|
Jusqu’à quel point les résultats suivants
ont-ils été adéquatement réalisés? : État de préparation du Ministère à offrir des conseils et un soutien scientifiques et techniques opportuns et pertinents, conformes aux responsabilités mandatées |
|
º |
Nombre de répondants aux entrevues :
59 Nombre de répondants au sondage : N/D Nombre de documents de recherche : 1 |
Constatations :
8. Questions d’évaluation : Succès : Résultats immédiats du Programme des urgences environnementales : Préparation Programme des urgences environnementales 2 | Description de ce qui doit être observé | Cote |
---|---|---|
Jusqu’à quel point les résultats suivants
ont-ils été adéquatement réalisés : Meilleure sensibilisation et préparation du client à la gestion des urgences environnementales |
|
× |
Nombre de répondants aux entrevues :
45 Nombre de répondants au sondage : 337 Nombre de documents de recherche : 3 |
Constatations :
9. Questions d’évaluation : Succès : Résultats immédiats du Programmes des urgences environnementales : Intervention Programme des urgences environnementales 1 | Description de ce qui doit être observé | Cote |
---|---|---|
Jusqu’à quel point les résultats suivants
ont-ils été adéquatement réalisés : Conseils et soutien scientifiques et techniques opportuns et pertinents, reliés au mandat ministériel relatif aux urgences environnementales |
|
√ |
Nombre de répondants aux entrevues :
59 Nombre de répondants au sondage : N/D Nombre de documents de recherche : 3 |
Constatations :
10. Questions d’évaluation : Succès : Résultats immédiats du Programme des urgences environnementales : Intervention Programme des urgences environnementales 2 | Description de ce qui doit être observé | Cote |
---|---|---|
Jusqu’à quel point les résultats suivants
ont-ils été adéquatement réalisés : Les urgences environnementales où Environnement Canada est le principal responsable sont gérées adéquatement. |
|
S.O. |
Nombre de répondants aux entrevues :
53 Nombre de répondants au sondage : N/D Nombre de documents de recherche : 4 |
Constatations :
11. Questions d’évaluation : Succès : Résultats immédiats du Programme des urgences environnementales : Rétablissement Programme des urgences environnementales 1 | Description de ce qui doit être observé | Cote |
---|---|---|
Jusqu’à quel point les résultats suivants
ont-ils été adéquatement réalisés : Sensibilisation accrue des intervenants ciblés à l’évaluation et à la réparation des dégâts causés par les urgences environnementales? |
|
~√ |
Nombre de répondants aux entrevues :
34 Nombre de répondants au sondage : 330 Nombre de documents de recherche : 2 |
Constatations :
12. Questions d’évaluation : Succès : Résultats immédiats du Programme des urgences environnementales : Recherche et développement Programme des urgences environnementales 1 | Description de ce qui doit être observé | Cote |
---|---|---|
Jusqu’à quel point les résultats suivants
ont-ils été adéquatement réalisés : Amélioration (élaboration) des connaissances, des technologies, des outils et des méthodes scientifiques touchant les étapes de prévention, de préparation, d’intervention et de rétablissement en cas d’urgence environnementale |
|
√ |
Nombre de répondants aux entrevues :
62 Nombre de répondants au sondage : N/D Nombre de documents de recherche : 2 |
Constatations :
13. Questions d’évaluation : Résultats intermédiaires du Programme des urgences environnementales : Intermédiaire Programme des urgences environnementales 1 | Description de ce qui doit être observé | Cote |
---|---|---|
Jusqu’à quel point les résultats suivants
ont-ils été adéquatement réalisés : Mise en œuvre par le client des plans et des pratiques de prévention, d’intervention et de rétablissement |
|
º |
Nombre de répondants aux entrevues :
55 Nombre de répondants au sondage : 338 Nombre de documents de recherche : 1 |
Constatations :
14. Questions d’évaluation : Résultats intermédiaires du Plan des urgences environnementales : Intermédiaire Programme des urgences environnementales 2 | Description de ce qui doit être observé | Cote |
---|---|---|
Jusqu’à quel point les résultats suivants
ont-ils été adéquatement réalisés : Investissement accru (recherche et développement) dans les mesures de prévention et de préparation par l’industrie et les gouvernements |
|
º |
Nombre de répondants aux entrevues :
37 Nombre de répondants au sondage : N/D Nombre de documents de recherche : 1 |
Constatations :
15. Questions d’évaluation : Résultats à long terme du Programme des urgences environnementales : Résultats à long terme du Programme des urgences environnementales 1 | Description de ce qui doit être observé | Cote |
---|---|---|
Jusqu’à quel point les résultats suivants
ont-ils été adéquatement réalisés : Réduction de la fréquence, de la gravité et des conséquences des urgences environnementales touchant le Canada |
|
Impossible à évaluer |
Nombre de répondants aux entrevues :
64 Nombre de répondants au sondage : 350 Nombre de documents de recherche : 1 |
Constatations :
16. Questions d’évaluation : Résultats immédiats de la sécurité publique et l’antiterrorisme : Résultats immédiats de la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT) 1 | Description de ce qui doit être observé | Cote |
---|---|---|
Les résultats suivants ont-ils été adéquatement
réalisés : Meilleure connaissance du Règlement sur les urgences environnementales |
|
√ |
Nombre de répondants aux entrevues :
24 Nombre de répondants au sondage : 344 Nombre de documents de recherche : 3 |
Constatations :
17. Questions d’évaluation : Résultats immédiats de la sécurité publique et l’antiterrorisme : Résultats immédiats de la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT) 2 | Description de ce qui doit être observé | Cote |
---|---|---|
Les résultats suivants ont-ils été adéquatement
réalisés : Meilleure connaissance d’Environnement Canada relativement aux entités réglementées |
|
º |
Nombre de répondants aux entrevues :
22 Nombre de répondants au sondage : N/D Nombre de documents de recherche : 1 |
Constatations :
18. Questions d’évaluation : Résultats immédiats de la sécurité publique et l’antiterrorisme : Résultats immédiats de la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT) 3 | Description de ce qui doit être observé | Cote |
---|---|---|
Les résultats suivants ont-ils été adéquatement
réalisés : Meilleure connaissance par la collectivité du Règlement sur les urgences environnementales et des risques de ces dernières |
|
º |
Nombre de répondants aux entrevues :
5, soit les entités réglementées Nombre de répondants au sondage : 325 Nombre de documents de recherche : 3 |
Constatations :
19. Questions d’évaluation : Résultats immédiats de la sécurité publique et l’antiterrorisme : Résultats immédiats de la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT) 4 | Description de ce qui doit être observé | Cote |
---|---|---|
Les résultats suivants ont-ils été adéquatement
réalisés : Meilleure participation communautaire à la préparation des plans d’urgence environnementale |
|
º |
Nombre de répondants aux entrevues :
7, soit les entités réglementées Nombre de répondants au sondage : 330 Nombre de documents de recherche : 1 |
Constatations :
20. Questions d’évaluation : Résultats immédiats de la sécurité publique et l’antiterrorisme : Résultats immédiats de la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT) 5 | Description de ce qui doit être observé | Cote |
---|---|---|
Les résultats suivants ont-ils été adéquatement
réalisés : Accroissement des partenariats / relations entre le gouvernement et l’industrie |
|
~√ |
Nombre de répondants aux entrevues :
20 Nombre de répondants au sondage : 345 Nombre de documents de recherche : 4 |
Constatations :
21. Questions d’évaluation : Résultats immédiats de la sécurité publique et l’antiterrorisme : Résultats immédiats de la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT) 6 | Description de ce qui doit être observé | Cote |
---|---|---|
Les résultats suivants ont-ils été adéquatement
réalisés : Meilleure conformité au Règlement sur les urgences environnementales |
|
~√ |
Nombre de répondants aux entrevues :
N/D Nombre de répondants au sondage : 345 Nombre de documents de recherche : 1 |
Constatations :
22. Questions d’évaluation : Résultats immédiats de la sécurité publique et l’antiterrorisme : Résultats intermédiaires de la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT) 1 | Description de ce qui doit être observé | Cote |
---|---|---|
Les résultats suivants ont-ils été adéquatement
réalisés : Meilleure gestion des urgences environnementales dans les installations et les collectivités, notamment grâce à la substitution de substances moins dangereuses – prévention, préparation, intervention et rétablissement |
|
º |
Nombre de répondants aux entrevues :
20 Nombre de répondants au sondage : 350 Nombre de documents de recherche : 1 |
Constatations :
23. Questions d’évaluation : Autre : Influences externes | Description de ce qui doit être observé | Cote |
---|---|---|
Y a-t-il des facteurs externes au programme qui influencent (positivement et n égativement) son succès? |
|
º |
Nombre de répondants aux entrevues :
14, soit des exécutants et des gestionnaires supérieurs du
programme d’Environnement Canada Nombre de répondants au sondage : N/D Nombre de documents de recherche : N/D |
Constatations :
24. Questions d’évaluation : Autre : Résultats inattendus | Description de ce qui doit être observé | Cote |
---|---|---|
Y a-t-il eu des résultats inattendus, positifs ou
négatifs, que l’on peut attribuer au programme? Le cas échéant, comment ont-ils été traités? |
|
√ |
Nombre de répondants aux entrevues :
63 Nombre de répondants au sondage : N/D Nombre de documents de recherche : N/D |
Constatations :
La présente section s'intéresse à la rentabilité, notamment à l’optimisation des ressources, au recouvrement des coûts et à d'autres méthodes d’exécution. Elle se veut un guide pour déterminer comment rehausser l’efficacité du programme dans l’utilisation de ses ressources et la poursuite de son mandat.
25. Questions d’évaluation : Rentabilité – Optimisation des ressources | Description de ce qui doit être observé | Cote |
---|---|---|
Optimisation des ressources – Les contribuables canadiens obtiennent-ils le maximum de valeur de leurs impôts? Le programme est-il rentable? |
|
Impossible à évaluer |
Nombre de répondants aux entrevues :
78 Nombre de répondants au sondage : 311 Nombre de documents de recherche : N/D |
Constatations :
26. Questions d’évaluation : Rentabilité : Recouvrement des coûts | Description de ce qui doit être observé | Cote |
---|---|---|
Le programme devrait-il comporter un élément
de recouvrement des coûts? Le cas échéant, cet élément est-il compris? Le cas échéant, quel en est le but? |
|
º |
Nombre de répondants aux entrevues :
73 Nombre de répondants au sondage : N/D Nombre de documents de recherche : 1 |
Constatations :
27. Questions d’évaluation : Rentabilité : Autres méthodes d’exécution | Description de ce qui doit être observé | Cote |
---|---|---|
Y a-t-il de meilleures façons d’atteindre les
résultats? A-t-on examiné d’autres approches qui pourraient permettre d’atteindre les objectifs ainsi que les répercussions et les effets escomptés? |
|
º |
Nombre de répondants aux entrevues :
55 Nombre de répondants au sondage : N/D Nombre de documents de recherche : 1 |
Constatations :
La présente section se penche sur la conception et l’exécution, soit la clarté des activités, les responsabilités, les réalisations attendues et les résultats prévus du programme. On s’est également intéressé aux processus afférents à l’allocation des ressources, à la gestion des risques, à la surveillance et à la mise en valeur des partenariats ainsi qu'à la présentation de rapports sur ces derniers.
28. Questions d’évaluation : Conception et exécution : Définition et mesure de tous les résultats | Description de ce qui doit être observé | Cote |
---|---|---|
Jusqu’à quel point les résultats du Programme des urgences environnementales ont-ils été adéquatement : a) définis? b) mesurés? les résultats du Programme des urgences environnementales en
matière de sécurité publique et d’antiterrorisme
ont-ils été adéquatement : |
|
× |
Nombre de répondants aux entrevues : 7, soit des exécutants et des gestionnaires supérieurs du programme d'Environnement Canada ainsi que le coordonnateur de la sécurité publique et d’antiterrorisme pour le Conseil du Trésor. Nombre de répondants au sondage : N/D Nombre de documents de recherche : 1 |
Constatations :
a) Résultats sur le Programme des urgences environnementales
b) Résultats sur la sécurité publique et l’antiterrorisme
29. Questions d’évaluation : Conception et exécution : Conception et exécution générales | Description de ce qui doit être observé | Cote |
---|---|---|
Le programme est-il conçu de façon conforme à son
mandat? Les activités et les extrants du programme sont-ils conformes à son
mandat et liés de façon plausible aux résultats, sur
le plan de la clarté et de l’attribution? Le programme (ou l’activité) est-il fidèle à sa propre approche (le programme a-t-il été exécuté comme il avait été conçu)? A-t-on mis en place des processus décisionnels assurant que la répartition des ressources tient compte des secteurs les plus importants (priorités)? Y a-t-il une structure établie qui assure une gestion souple et qui soutient logiquement l’atteinte des buts et des objectifs? Qui rend des comptes au sujet du programme? Est-ce que les rôles et responsabilités de tous les groupes concernés sont clairs? |
|
º |
Nombre de répondants aux entrevues :
85 Nombre de répondants au sondage : N/D Nombre de documents de recherche : 7 |
Constatations :
Le programme est-il conçu conformément à son mandat? Les
activités et les extrants du programme sont-ils conformes à son
mandat et liés de façon plausible aux résultats, sur le
plan de la clarté et de l’attribution?
Le programme est-il fidèle à sa propre approche (le programme a-t-il été exécuté comme il avait été conçu)?
A-t-on mis en place des processus décisionnels assurant que la répartition des ressources tient compte des secteurs les plus importants (priorités)?
Y a-t-il une structure établie qui assure une gestion souple et qui soutient logiquement l’atteinte des buts et des objectifs? Qui rend des comptes au sujet du programme? Est-ce que les rôles et responsabilités de tous les groupes concernés sont clairs?
30. Questions d’évaluation : Conception et exécution : tient compte des risques | Description de ce qui doit être observé | Cote |
---|---|---|
Comment a-t-on tenu compte des risques?
A-t-on élaboré une
stratégie de gestion des risques? Est-elle adéquate? |
|
º |
Nombre de répondants aux entrevues :
2, soit des gestionnaires supérieurs du programme d’Environnement
Canada Nombre de répondants au sondage : N/D Nombre de documents de recherche : N/D |
Constatations :
31. Questions d’évaluation : Conception et exécution : exigences en matière de capacité | Description de ce qui doit être observé | Cote |
---|---|---|
A-t-on fait une analyse claire et convaincante
des exigences en matière de capacité? Si oui, les résultats de l’analyse servent-ils à répartir les ressources au sein du programme? Si oui, est-ce que l’analyse est incluse dans les propositions d’accroissement des capacités? Les ressources humaines sont-elles adéquates pour atteindre
les résultats/objectifs du programme? |
|
× |
Nombre de répondants aux entrevues :
2, soit des gestionnaires supérieurs du programme d’Environnement
Canada Nombre de répondants au sondage : N/D Nombre de documents de recherche : 1 |
Constatations :
32. Questions d’évaluation : Sécurité publique et antiterrorisme : Conformité du programme avec la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme | Description de ce qui doit être observé | Cote |
---|---|---|
Est-ce que le programme continue à cadrer avec la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme? |
|
√ |
Nombre de répondants aux entrevues :
3, soit des gestionnaires supérieurs du programme et le coordonnateur
de la sécurité publique et d’antiterrorisme pour le
Conseil du Trésor. Nombre de répondants au sondage : N/D Nombre de documents de recherche : N/D |
Constatations :
33. Questions d’évaluation : Sécurité publique et antiterrorisme : Utilisation adéquate du fonds pour la sécurité publique et l’antiterrorisme | Description de ce qui doit être observé | Cote |
---|---|---|
Est-ce que les ressources additionnelles
que le Programme des urgences environnementales a reçues en provenance du « budget
sécurité » de 2001 ont adéquatement servi à l’atteinte
des résultats escomptés? |
|
º |
Nombre de répondants aux entrevues :
8, soit des exécutants du programme d’Environnement Canada Nombre de répondants au sondage : N/D Nombre de documents de recherche : N/D |
Constatations :
34. Questions d’évaluation : Recherche et développement : Obtention de ressources externes par effet de levier | Description de ce qui doit être observé | Cote |
---|---|---|
Dans quelle mesure le Programme des urgences
environnementales a-t-il réussi à obtenir des ressources externes par effet
levier ou à conclure des partenariats de recherche et développement
pour atteindre les résultats? |
|
√ |
Nombre de répondants aux entrevues :
11, soit des exécutants et des gestionnaires supérieurs du
programme d’Environnement Canada Nombre de répondants au sondage : N/D Nombre de documents de recherche : 1 |
Constatations :
35. Questions d’évaluation : Recherche et développement : Utilisation des extrants par les intervenants | Description de ce qui doit être observé | Cote |
---|---|---|
Comment les extrants des activités de recherche et
de développement (produits livrables) sont-ils utilisés par
les intervenants concernés (y compris dans les autres domaines d’activité du
programme)? |
|
~√ |
Nombre de répondants aux entrevues :
75 Nombre de répondants au sondage : N/D Nombre de documents de recherche : 1 |
Constatations :
36. Questions d’évaluation : Partenaires : Complémentarité/double emploi/lacunes | Description de ce qui doit être observé | Cote |
---|---|---|
Quels sont les programmes actuels qui sont étroitement
reliés et comment fait-on pour éviter le double emploi et
assurer une complémentarité (y compris les programmes non
fédéraux)? Quelle serait la conséquence d’une annulation du Programme des urgences environnementales sur le système de gestion des urgences au Canada? |
|
º |
Nombre de répondants aux entrevues :
60 Nombre de répondants au sondage : N/D Nombre de documents de recherche : 5 |
Constatations :
a) Complémentarité en regard du double emploi du programme et
d'autres programmes
b) Répercussions d'une disparition du programme
37. Questions d’évaluation : Partenaires : Relations fructueuses | Description de ce qui doit être observé | Cote |
---|---|---|
Dans quelle mesure le Programme des urgences
environnementales a-t-il réussi à collaborer avec les partenaires
et intervenants pertinents? Quel a été le degré de participation des partenaires et des intervenants? Est-ce qu’on a pris en considération les possibilités de partenariats avec les collectivités, le secteur bénévole et le secteur privé? Partenariat - Quelles activités ou quels programmes pourrait-on transférer en tout ou en partie au secteur privé ou bénévole ou aux provinces/municipalités?
|
|
º |
Nombre de répondants aux entrevues :
83 Nombre de répondants au sondage : 344 Nombre de documents de recherche : N/D |
Constatations :
Dans quelle mesure le programme a-t-il réussi à collaborer avec
les partenaires?
Quelles améliorations pourrait-on apporter au programme en ce qui concerne le travail avec les partenaires?
Dans quelle mesure pourrait-on confier certaines activités du programme à des partenaires?
La présente section offre un survol des différents points de vue des intervenants concernés sur les forces, les faibles et les secteurs à améliorer, d’après les entrevues avec les intervenants clés et le sondage auprès des entités réglementées.
38. Questions d'évaluation : Forces, faiblesses et secteurs à améliorer | Description de ce qui doit être observé | Cote |
---|---|---|
À votre avis, quelles sont les principales
forces et faiblesses du Programme des urgences environnementales? a. Avez-vous des suggestions à faire pour améliorer le Programme des urgences environnementales?
|
|
S.O. |
Nombre de répondants aux entrevues :
99 Nombre de répondants au sondage : 294 (forces : programme); 236 (faiblesses : Règlement sur les urgences environnementales); 259 (faiblesses : programme); 185 (faiblesses : Règlement sur les urgences environnementales); 176 (secteurs à améliorer : programme et Règlement sur les urgences environnementales) Nombre de documents de recherche : N/D |
Constatations :
Il s’agit de la première évaluation du Programme des urgences environnementales, un des domaines de programme les plus anciens d’Environnement Canada. En général, l'évaluation du programme est positive, dans la mesure où celui-ci livre un bien public reconnu, remplit le mandat du Ministère et qu’aucun problème grave n’est recensé. Les principales conclusions de l’évaluation sont présentées ci-dessous.
Bien que des domaines de préoccupation aient été mentionnés au cours de l’évaluation en ce qui concerne la pertinence, le succès et la rentabilité, ces inquiétudes sont associées aux aspects de conception et d’exécution; il est donc possible de les régler en modifiant la conception et l’exécution du Programme.
Fondamentalement, la pertinence du Programme et le fait qu’EC devrait continuer à s’acquitter de cette fonction ne sont pas mis en doute et donnent au Programme des bases fermes sur lesquelles il peut s’appuyer pour ses activités.
Compte tenu des pressions actuelles sur le Programme, des questions connues en matière de capacité, y compris la relève, ainsi que des pressions financières constantes au gouvernement fédéral, il est urgent d’apporter une réponse aux recommandations12. Les recommandations sont présentées de façon séquentielle, en fonction de la structure logique et des délais dans lesquels elles devraient être appliquées.
À présent, il y a au Ministère des groupes précis chargés de l’application de la loi, et des activités de promotion de la conformité. Le Programme des urgences environnementales a en même temps la responsabilité fonctionnelle de ces deux activités dans le contexte des urgences environnementales, ce qui entraîne une certaine confusion à l’interne, car on ne sait pas où ces responsabilités fonctionnelles commencent et finissent pour ces deux activités. Plusieurs groupes d’entrevue auprès des principaux informateurs à l’interne et à l’externe ont soulevé cette inquiétude.
L’évaluation conclut que la conception et l’exécution du Programme doivent être améliorées dans un certain nombre de domaines :
Le Conseil de protection de l’environnement devrait aborder les recommandations suivantes selon l’ordre qui suit:
Auparavant, les activités de planification et de gestion des urgences environnementales, d’application de la loi, et de promotion de la conformité associées à la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999) [LCPE (1999)] et à la Loi sur les pêches se trouvaient dans le même Regroupement de projets axés sur les résultats (RPAR) relevant du Conseil de la protection de l’environnement (PE). Il y avait donc des communications régulières entre le Programme des urgences environnementales, promotion de la conformité et mise en application de la loi, et tous étaient au courant des activités de chacun des groupes. Il a été décidé en avril 2006 de regrouper toutes les activités d’application de la loi du Ministère sous la responsabilité du Conseil des services de gestion du Ministère. À présent, compte tenu de ce que ces activités ne sont plus regroupées dans une même structure de gouvernance, la confusion qui règne autour de la question de savoir où commencent et où finissent les responsabilités fonctionnelles pour ces deux activités est exacerbée.
Les activités et les résultats attendus du Programme des urgences environnementales doivent être associés à des rôles et à des responsabilités clairement définis. Il faudra peut-être pour cela réviser le modèle logique du Programme. Ce qui fournirait aussi l’occasion d’intégrer les activités et les résultats de la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT) au modèle logique et à la stratégie de mesure du rendement du Programme dans les domaines d’activité liées à la prévention et à la préparation. Le mandat de cette évaluation consistait à examiner les quatre enjeux de l’évaluation (pertinence, succès, rentabilité, et conception et exécution) dans les cinq domaines d’activité du Programme. Compte tenu de ce qu’il n’y a pas de système adéquat de mesure du rendement, l’évaluation n’a pu examiner plus en profondeur quelles activités précisément sont des réussites et quelles activités n’en sont pas, dans les domaines du Programme où les résultats ne sont pas complètement atteints (p. ex., la sensibilisation). Prenant appui sur les constatations de cette évaluation, d’autres recherches visant à déterminer quelles activités ont contribué à l’atteint de ces résultats sont par conséquent nécessaires afin d’établir quels secteurs du Programme il faut améliorer, ce qui augmente l’efficacité et l’efficience du Programme. Une partie de cette tâche pourrait consister à recueillir des données sur les activités en question afin d’établir dans quelle mesure elles sont une réussite. Lorsque le Programme a identifié quelles activités liées a la sensibilisation sont réussites, le Programme devrait ensuite élaborer et mettre en œuvre une stratégie de sensibilisation détaillée.
Il faut effectuer une évaluation complète de la capacité du Programme afin de déterminer les écarts, s’il y en a, entre la capacité disponible et la capacité nécessaire. Lorsque des écarts sont cernés, les risques associés devraient être identifiés et des stratégies d’atténuation devraient être mise en place pour faire face à ces risques.
Le Programme doit achever et mettre en œuvre un système de production de rapports et de mesure du rendement cernant les principaux indicateurs et les données nécessaires pour établir à quel point le Programme réussit à atteindre les objectifs énoncés.
Le Programme a des insuffisances précises en surveillance dans le domaine de conformité qu’il faut examiner et auxquelles il faut remédier pour assurer l’existence de bons liens avec la population sur laquelle il a le plus d’incidences.
Le Conseil de protection de l’environnement devrait, en collaboration avec le Responsable de la mise en application de la loi, clarifier et modifier au besoin les rôles et les responsabilités dans le contexte du Programme, notamment en ce qui a trait à la promotion de la conformité et à la mise en application.
Le Conseil de protection de l’environnement est d’accord avec cette recommandation. La mise en application, la promotion de la conformité aux règlements et la fourniture d’information et de conseils scientifiques et techniques constituent trois fonctions ministérielles distinctes au sein d’Environnement Canada. Pour des raisons juridiques ainsi qu’administratives, il est essentiel que les rôles et les responsabilités du personnel soient clairement définis et compris, aussi bien à l’interne dans les ministères que par les intervenants externes avec qui le personnel interagit.
Le représentant délégué du Conseil de protection de l’environnement et le Responsable de la mise en application de la loi se sont entendus pour collaborer à l'élaboration (d'ici mars 2008) d’un document de gouvernance pour clarifier les liens entre les activités d’urgence, de promotion de la conformité et de mise en application. Ce document sera élaboré conformément à la méthodologie du système de gestion de la qualité (SGQ).
Le Conseil de protection de l’environnement devrait mener des recherches plus poussées sur les activités de sensibilisation aux secteurs du Programme liés à la prévention et à la préparation afin de déterminer lesquelles ne contribuent pas à l’atteinte des résultats visés.
Le Conseil de protection de l’environnement est d’accord avec cette recommandation. À l’exception de la promotion de la conformité aux règlements en matière d’urgence environnementale en vertu de la partie 8 de la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999) [LCPE (1999)], le ministère a généralement préconisé comme approche pour sensibiliser les intervenants externes de profiter des initiatives régionales et locales entreprises par les autres gouvernements, les autres ministères fédéraux ou les intervenants du secteur privé. Cette approche a fonctionné à des degrés divers.
Le Conseil de protection de l’environnement s’engage à effectuer une étude pour identifier les principaux publics visés et évaluer les forces, les faiblesses et les coûts de divers mécanismes de livraison pour améliorer la prévention des situations d’urgence et la préparation à de telles situations. Cette étude sera complétée d’ici juin 2008.
Le Conseil de protection de l’environnement devrait effectuer une évaluation détaillée de la capacité du Programme (capacité nécessaire vs réelle); lorsqu'il y a des lacunes qui émergent, il devrait déterminer les risques et mettre en œuvre des stratégies d'atténuation.
Le Conseil de protection de l’environnement est d’accord avec cette recommandation. Des travaux importants ont été effectués par le passé pour déterminer les ressources nécessaires pour assumer de façon adéquate les responsabilités mandatées du Programme des urgences environnementales. Le Conseil de protection de l’environnement s’inspirera de ces travaux pour effectuer une évaluation détaillée des exigences en matière de capacité du Programme, des lacunes, des risques et des stratégies d’atténuation relevant des rôles et responsabilités a rendu obligatoire d’Environnement Canada. Cette évaluation tiendra également compte des résultats de l’étude sur les activités de sensibilisation qui doit être entreprise en réponse à la Recommandations nº 2 ci-dessus et proposera diverses options à la direction. Ce travail sera complété d’ici janvier 2009 et sera donc disponible pour le processus de planification de l’exercice financier 2009-2010.
Le Conseil de protection de l’environnement devrait achever et mettre en œuvre un système de mesure et de rapport sur le rendement.
Le Conseil de protection de l’environnement est d’accord avec cette recommandation. Des travaux importants ont été effectués au cours des dernières années pour identifier un ensemble complet d’indicateurs pour les volets de prévention, de préparation, de réponse, de récupération et de R-D du Programme des urgences environnementales. Il faut maintenant consacrer des efforts à l’analyse et au choix d’un sous-ensemble plus représentatif d’indicateurs qui permettront de mesurer efficacement les résultats et l’efficacité du Programme et qui pourront être mis en œuvre de façon cohérente et à des coûts abordables à l’échelle nationale. Ce travail sera effectué en parallèle avec l’évaluation détaillée de la capacité du Programme présentée ci-dessus en réponse à la Recommandation nº 3 et devrait donc être complété d’ici janvier 2009.
Le Conseil de protection de l’environnement devrait combler les lacunes du Programme en ce qui a trait à la surveillance de la conformité (vérification, connaissances des clients et stratégies de sensibilisation).
Le Conseil de protection de l’environnement est d’accord avec cette recommandation et considère l’élaboration d’une stratégie efficace mais abordable de mesure de la performance, présentée ci-dessus en réponse à la Recommandation nº 4, comme essentielle pour répondre aux préoccupations identifiées dans le cadre de l’évaluation du Programme.
Questions d’évaluation (Les questions en gras sont les sept questions posées dans le cadre de l’Examen des dépenses.) |
Description de ce qui doit être
observé (La réponse aux énoncés soulignés ne proviendra que des opinions formulées par les principaux informateurs) |
Indicateurs |
---|---|---|
Pertinence | ||
1. Est-ce que le programme continue
: a) de servir l’intérêt
public? |
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b) d’être justifié au regard du CCED? |
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c) de contribuer à la concrétisation des résultats ministériels (PPAR, RPAR et Conseil) et des priorités du Conseil? |
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d) de cadrer avec l’initiative SPAT? |
|
|
2. Rôle du gouvernement – Y a-t-il un rôle légitime et nécessaire pour le gouvernement dans ce domaine ou cette activité du programme? |
|
|
3. a) Le rôle actuel du gouvernement fédéral est-il approprié ou faut-il songer à transférer le programme aux provinces/territoires? b) Comment cette activité ou ce programme fait-il l’équilibre entre la nécessité d’une action pancanadienne coordonnée et celle de tenir compte des besoins et des circonstances des provinces/territoires et des régions
|
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|
4. a) Quels sont les programmes actuels qui sont étroitement reliés et comment fait-on pour éviter le double emploi et assurer une complémentarité (y compris les programmes non fédéraux)? |
|
|
b) Quelle serait la conséquence d’une annulation du PUE sur le système de gestion des urgences au Canada? |
|
|
Succès | ||
5. Jusqu’à quel
point : a) les résultats du PUE ont-ils été adéquatement |
|
|
(ii) measurés? |
|
|
iii) réalisés? |
|
Questions d’évaluation (Les questions en gras sont les sept questions posées dans le cadre de l’Examen des dépenses.) |
Description de ce qui doit être
observé (La réponse aux énoncés soulignés ne proviendra que des opinions formulées par les principaux informateurs) |
Indicateurs | ||
---|---|---|---|---|
Prévention | 1. Résultats immédiats |
a) Sensibilisation accrue des intervenants ciblés à la nature et à l’étendue des risques associés aux urgences environnementales, et aux mesures d’atténuation appropriées |
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b) Application de stratégies claires et concises de conformité et d’exécution pour l’art. 200 de la LCPE (1999) [et la Loi sur les pêches] |
|
|
||
2. Résultats intermédiaires |
a) Mise en œuvre par le client des plans et des pratiques de prévention, d’intervention et de rétablissement |
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|
|
Préparation | ||||
3. Résultats immédiats |
a) État de préparation du Ministère à offrir des conseils et un soutien scientifiques et techniques opportuns et pertinents, conformes aux responsabilités mandatées |
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b) Meilleure sensibilisation et préparation du client à la gestion des urgences environnementales |
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4. Résultats intermédiaires |
a) Mise en œuvre par le client des plans et des pratiques de prévention, d’intervention et de rétablissement |
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Intervention | 5. Résultats immédiats |
a) Conseils et soutien scientifiques et techniques opportuns et pertinents, reliés au mandat ministériel relatif aux urgences environnementales |
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b) Les urgences environnementales où EC est le principal responsable sont gérées adéquatement |
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6. Résultats intermédiaires |
a) Mise en œuvre par le client des plans et des pratiques de prévention, d’intervention et de rétablissement |
|
|
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Rétablissement | ||||
7. Résultats immédiats | a) Sensibilisation accrue des intervenants ciblés à l’évaluation et à la réparation des dégâts causés par les urgences environnementales |
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8. Résultats intermé-diaires |
a) Mise en œuvre par le client des plans et des pratiques de prévention, d’intervention et de rétablissement |
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Recherche et développement | ||||
9. Résultats immédiats | a) Amélioration (élaboration) des connaissances, des technologies, des outils et des méthodes scientifiques touchant les étapes de prévention, de préparation, d’intervention et de rétablissement en cas d’urgence environnementale |
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10. Résultats intermédiaires |
a)Investissement accru [R-D] dans les mesures de prévention et de préparation par l’industrie et les gouvernements |
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PUE | ||||
11. Résultats à long terme |
Réduction de la fréquence, de la gravité et des conséquences des urgences environnementales touchant le Canada |
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5. b) les résultats du PUE en matière de SPAT ont-ils été adéquatement i) définis? |
|
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(ii) measurés? |
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iii) réalisés? |
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Questions d’évaluation (Les questions en gras sont les sept questions posées dans le cadre de l’Examen des dépenses.) |
Description de ce qui doit être
observé (La réponse aux énoncés soulignés ne proviendra que des opinions formulées par les principaux informateurs) |
Indicateurs | ||
---|---|---|---|---|
SPAT | 1) Résultats immédiats |
a) Meilleure connaissance du Règlement sur les UE |
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b) Meilleure connaissance par EC des entités réglementées |
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c) Meilleure connaissance par la collectivité du Règlement sur les UE et des risques des UE |
|
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d) Meilleure participation communautaire à la préparation des plans d'urgence environnementale |
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|
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e) Accroissement des partenariats/ relations entre le gouvernement et l'industrie |
|
|
||
f) Meilleure conformité au Règlement sur les UE |
|
|
||
2) Résultats intermédiaires | Meilleure gestion des UE dans les installations et les collectivités, notamment grâce à la substitution de substances moins dangereuses – prévention, préparation, intervention et rétablissement |
|
|
|
6. Y a-t-il des facteurs externes au programme qui influencent (positivement et négativement) son succès? |
|
|
||
7. a) Y a-t-il eu des résultats inattendus, positifs ou négatifs, que l’on peut attribuer au programme? b) Si oui,
comment ont-ils été traités? |
|
|
Questions d’évaluation (Les questions en gras sont les sept questions posées dans le cadre de l’Examen des dépenses.) |
Description de ce qui doit être
observé (La réponse aux énoncés soulignés ne proviendra que des opinions formulées par les principaux informateurs) |
Indicateurs | |||
---|---|---|---|---|---|
Rentabilité | |||||
8. Optimisation des ressources – Les contribuables canadiens obtiennent-ils le maximum de valeur de leurs impôts? Le programme est-il rentable? |
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9. a) Capacité financière – Avons-nous les moyens de payer pour l’ensemble des programmes ou des activités? b) Dans la négative, quels programmes ou activités
devrait-on laisser tomber? |
|
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|||
10. a) Y a-t-il de meilleures façons d’atteindre les résultats? b)
A-t-on examiné d’autres approches qui pourraient permettre
d’atteindre les objectifs ainsi que les répercussions et
les effets escomptés? |
|
|
|||
11. Est-ce que les ressources additionnelles que le PUE a reçues en provenance du « budget sécurité » de 2001 ont adéquatement servi à l’atteinte des résultats escomptés? |
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|
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12. Dans quelle mesure le PUE a-t-il réussi à obtenir des ressources externes par effet levier ou à conclure des partenariats de R-D pour atteindre les résultats? |
|
|
|||
13. b) Si oui, cet élément est-il compris? c) Si oui, quel en est le but? |
|
|
Questions d’évaluation (Les questions en gras sont les sept questions posées dans le cadre de l’Examen des dépenses.) |
Description de ce qui doit être
observé (La réponse aux énoncés soulignés ne proviendra que des opinions formulées par les principaux informateurs) |
Indicateurs | |||
---|---|---|---|---|---|
Conception et exécution | |||||
14. Le programme est-il conçu de façon conforme à son mandat? Les activités et les extrants du programme sont-ils conformes à son mandat et liés de façon plausible aux résultats, sur le plan de la clarté et de l’attribution? |
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15. Le programme (ou l’activité) est-il fidèle à sa propre approche (le programme a-t-il été exécuté comme il avait été conçu)? |
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16. A-t-on mis en place des processus décisionnels assurant que la répartition des ressources tient compte des secteurs les plus importants (priorités)? |
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17. Comment a-t-on tenu compte des risques13? A-t-on élaboré une stratégie de gestion des risques? Est-elle adéquate? |
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18. a) A-t-on fait une analyse claire et convaincante des exigences en matière de capacité? b) Si oui, les résultats de l’analyse servent-ils à répartir les ressources au sein du programme? c) Si oui, est-ce que l’analyse est incluse dans les propositions d’accroissement des capacités? d) Les ressources humaines sont-elles adéquates pour atteindre
les résultats/objectifs du programme? |
|
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19. Existe-t-il un lien clair entre la conception du programme et les piliers du CCDE (prise de décisions, information, sciences et technologie, promotion de la performance et de l’application, et éducation et engagement)? |
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20. a) Dans quelle mesure le PUE a-t-il réussi à collaborer avec les partenaires et intervenants pertinents? b) Quel a été le degré de participation des partenaires et des intervenants? c) Est-ce qu’on a pris en considération les possibilités de partenariats avec les collectivités, le secteur bénévole et le secteur privé? d) Partenariat – Quelles activités ou quels programmes
pourrait-on transférer en tout ou en partie au secteur privé ou
bénévole ou aux provinces/municipalités? |
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21. a) Y a-t-il une structure établie qui assure une gestion souple et qui soutient logiquement l’atteinte des buts et des objectifs? b) Qui rend des comptes au sujet du programme? c) Est-ce que les rôles et responsabilités de tous
les groupes concernés sont clairs? |
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22. Comment les extrants des activités de R-D (produits livrables) sont-ils utilisés par les intervenants concernés (y compris dans les autres domaines d’activité du programme)? |
|
|
Titre du document | Date (si connue) |
Présentation (e.g. copie imprimée, électronique, site Web) |
---|---|---|
La politique canadienne de sécurité nationale | 2004 | Copie électronique |
Documentation d’EPAR/PPAR/RPAR/ | Copie imprimée et électronique | |
Requête au Conseil du Trésor – examen opérationnel de la LCPE | 2003 | Copie imprimée |
Requête au Conseil du Trésor – Résumé de l’étude d’impact de la réglementation (REIR) du Règlement des urgences environnementales | 2002 | Copie imprimée |
Compte Rendu de la décision du cabinet de 1973 | 1973 | Copie électronique |
Loi sur la protection civile (1985) | 1985 | Copie électronique |
Loi sur les pêches (1985) | 1985 | Copie électronique |
Loi sur le ministère de l'Environnement (1985) | 1985 | Copie électronique |
Loi de 1994 sur la convention concernant les oiseaux migrateurs | 1994 | Copie électronique |
Politique en cas d’urgences, 1995 | 1995 | Copie électronique |
Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999)[LCPE (1999)] | 1999 | Copie électronique |
Protocole d’entente du Conseil canadien des ministres de l’environnement sur les urgences | 2001 | Copie imprimée |
Rapport de l’examen indépendant de la documentation d’Environnement Canada sur la planification | 2005 | Copie imprimée et électronique |
Documentation sur les priorités du Conseil (Conseils de la protection de l’environnement, des services météorologiques et environnementaux et de la durabilit é des écosystèmes) | Copie électronique | |
Cadre de gestion et de responsabilisation axé sur les résultats du Programme des urgences environnementales | 2004 | Copie imprimée et électronique |
Rapports annuels de la stratégie de Sécurité publique et d ’antiterrorisme (SPAT) d’Environnement Canada | 2003-2004 à 2005-2006 | Copie imprimée |
Discours sur le budget fédéral | 2001, 2003 | Copie électronique |
Protocoles d'entente avec les provinces | Copie électronique | |
Ententes fédéraux-provinciaux : -- Entente administrative Canada-Saskatchewan concernant la Loi canadienne sur la protection de l'environnement -- Entente administrative Canada-Saskatchewan sur la réglementation des rejets de substances nocives conclue en vertu de la Loi sur les pêches -- Entente administrative Canada-Alberta sur la réglementation des rejets de substances nocives conclue en vertu de la Loi sur les pêches |
Copie électronique | |
Discours du Trône du gouvernement fédéral | Copie électronique | |
Documentation de la Commission canadienne de sûreté nucléaire | Copie électronique | |
Documentation de l'Office national de l'énergie | Copie électronique | |
Documentation de la Loi sur le transport des marchandises dangereuses (1992) | Copie électronique | |
Documentation de la Loi sur la marine marchande du Canada (2001) | Copie électronique | |
Règlement sur les urgences environnementales et
des documents reliés: -- Guide pour le cadre d'estimation du risque - articles 199 et 200 de la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999) [LCPE (1999)] -- Lignes Directrices pour la mise en application de la partie 8 de la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999)[LCPE (1999)] - Plans d'urgence environnementale -- Règlement sur les urgences environnementales pris en vertu de la partie 8 de la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999) [LCPE (1999)] -- Exposé raisonné concernant la préparation d'une liste de substances réglementées en vertu de l'article 200 de la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999) [LCPE (1999)], et la d étermination de leurs quantités seuils |
Copie électronique | |
Plan national d’intervention en cas d’urgence environnementale (PNIUE) | 1999 | Copie électronique |
Plans des Équipes des Interventions D'Urgence (ERIU) | Copie électronique | |
Données de mesure et de déclaration (Système national de renseignements sur l’application de la loi reliée à l’environnement (NEMESIS), Système national des urgences environnementales (SNUE), base de données sur les urgences environnementales, rapports annuels sur la Loi sur les pêches et la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999) [LCPE (1999)]) | Copie électronique | |
Lignes directrices sur les évaluations postérieures aux incidents | 2002 | Copie électronique |
Alerte du Centre national des urgences environnementales | 2005 | Copie électronique |
Évaluation des participants aux ateliers tenus en Ontario et dans l ’Atlantique sur la prévention des déversements | Copie électronique | |
Projet de plan interministériel de la prévention de la pollution marine causée par les navires | 2005 | Copie électronique |
Stratégies de conformité et d’exécution pour l’art. 200 de la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999) [LCPE (1999)] et pour la Loi sur les pêches | Copie électronique | |
Plans de conformité et d’exécution pour l’art. 200 de la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999) [LCPE (1999)] | Copie électronique | |
Plan national et régional d’inspection | 2005-2006 | Copie électronique |
Avis de renseignements sur les substances et les lieux où elles se trouvent | Copie électronique | |
Avis confirmant l’élaboration | Copie électronique | |
Avis d’exécution et de mise à l’essai | Copie électronique | |
Plans d’urgence des régions | Copie électronique | |
Procédures opératoires normalisées (PONs) | Copie électronique | |
Procédures d’intervention en cas d’urgences environnementales (administration centrale et régions) | Copie électronique | |
Données du Système national des urgences environnementales (NEMESIS, SNUE) | Copie électronique | |
Protocole d’entente avec l’Office Canada-N.-É. des hydrocarbures extracôtiers (OCNEHE) | Copie électronique | |
Protocole d’entente avec l’Office Canada-Terre-Neuve des hydrocarbures extracôtiers (OCTNHE) | 1988 | Copie électronique |
Ententes administratives avec l’Alberta et la Saskatchewan concernant la Loi sur les pêches et la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999) [LCPE (1999)] | 1992, 1994 | Copie électronique |
Ententes administratives avec l’Alberta et la Saskatchewan concernant la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999) [LCPE (1999)] | Copie électronique | |
Plans bilatéraux sur la pollution terrestre | Copie électronique | |
Plans bilatéraux sur la pollution maritime | Copie électronique | |
Plan de soutien national (Ministère de la Sécurité publique et de la Protection civile du Canada) | 2001 | Copie électronique |
Plan national de lutte contre le terrorisme (PNLCT) | 2000 | Copie électronique |
Plan de travail du Programme des urgences environnementales | 2006 | Copie électronique |
Documentation d’une participation à des exercices (p. ex. rapports) | 2004, 2005, 2006 | Copie électronique |
Plan d’urgence provincial | Copie électronique | |
Rapports d’examen sur les plans d’urgences environnementales (faits par le programme) | Copie électronique | |
Dossiers d’évaluation postérieure aux incidents | Copie électronique | |
Rapports sur les incidents de pollution | 2004, 2005, 2006 | Copie électronique |
Documents du Centre des sciences et technologies environnementales : rapports sommaires; aperçus | Copie électronique | |
Documentation financière sur la recherche et développement | 2002-2006 | Copie électronique |
Documentation sur les nouveaux partenariats de R-D (p. ex. accords) | 2006-2007 | Copie électronique |
Documentation sur le financement annuel de la R-D | 2002-2006 | Copie électronique |
Sommaire des déversements survenus au Canada | 1974-1983 et 1984-1995 | Copie électronique |
Rapports sur les plans et les priorités | 2004, 2005, 2006 | Copie électronique |
Rapports ministériels dur le rendement | 2004, 2005, 2006 | Copie électronique |
Accords financiers de recherche et développement avec des partenaires externes | Copie électronique | |
Document du Conseil du Trésor (sur le recouvrement des coûts) | 2004 | Copie électronique |
Analyse des répercussions sur les opérations, parties I et II | 2006 | Copie électronique |
Analyse de la capacité du Programme des urgences environnementales | 2003, 2005 | Copie électronique |
Plan national de formation | 2005 | Copie électronique |
Examen opérationnel de la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999) [LCPE (1999)] | 2002 | Copie électronique |
Documentation prouvant l’existence de structures pour bâtir et maintenir les partenariats | 2006 | Copie électronique |
Contributions financières des partenaires au Programme des urgences environnementales | Copie électronique | |
Plan bilatéral sur la pollution terrestre et maritime | Copie électronique | |
Plan fédéral en cas d'urgence nucléaire (PFUN) | Copie électronique | |
Évaluation de la menace menée au Canada et aux États-Unis | 2006 | Copie électronique |
Modifications proposées au Règlement sur les urgences environnementales en vertu de l'article 200 de la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999) [LCPE (1999)] | 2005 | Copie électronique |
Protocole d’entente entre Environnement Canada et le Ministère de la Défense Nationale | 2005 | Copie électronique |
Entente officieuse régionale entre Environnement Canada et Pêches et Océans Canada | 2005 | Copie électronique |
Section 200 Project: A Research Project Identifying the Potential Regulated Community in Prairie and Northern Region for the Environmental Emergency Regulations (en anglais seulement) | 2003 | Copie électronique |
Plan de projets axés sur les résultats : Promotion de la conformité; Plan de projets axés sur les résultats : Application de la loi | 2004, 2005, 2006 | Copie électronique |
Rapports après-exercice (après 2004) | 2004, 2005, 2006 | Copie électronique |
Comment on choisit les projets de recherche et développement | Courriel | |
Rapports de l’application de la loi; avertissements par écrit (apr ès 2004) | 2004, 2005, 2006 | Copie électronique |
Une liste des exercices qui ont eux lieu après 2004 | 2004, 2005, 2006 | Copie électronique |
Documentation des extrants de la recherche et développement/ Exemples des extrants de la recherche et développement (après 2004) | 2004, 2005, 2006 | Copie électronique |
Rapports de formation; matériaux des cours de formation; commentaires sur la formation (après 2004) | 2004, 2005, 2006 | Copie électronique |
Compte rendu de situation des Équipes des Interventions D'Urgence (ERIU) | 2004, 2005, 2006 | Copie électronique |
Entrevues | |||||
---|---|---|---|---|---|
Groupe d'entrevue | Population | Échantillon | Nbre de refus | Nbre pas de réponses | Nbre complétées |
I1 -- Éxecutant du programme | 18 | 12 | 0 | 0 | 12 |
I2 -- Gestionnaires supérieurs du programme | 8 | 4 | 1 | 0 | 3 |
I3 -- Partenaires internes (au sein d'EC) | 27 | 15 | 0 | 1 | 14 |
I4 -- Partenaires externes (fédéraux) | 63 | 36 | 2 | 11 | 23 |
I5 -- Partenaires externes (non fédéraux) | 67 | 34 | 0 | 12 | 33 |
I6 -- Entitées réglementées | 13 | 14 | 3 | 2 | 9 |
I7 -- Organisations de recherche et développement | 18 | 18 | 4 | 4 | 10 |
I8 -- Ministères fédéraux concernés | 5 | 5 | 2 | 0 | 3 |
I9 -- Coordinateur SPAT du CT | 3 | 2 | 1 | 0 | 1 |
I10 -- Conseil consultatifs externes | 2 | 3 | 0 | 1 | 2 |
TOTAL | 224 | 143 | 13 | 31 | 99 |
La Direction générale de la vérification et de l’évaluation d’Environnement Canada effectue actuellement une évaluation du Programme des urgences environnementales (PUE). Le but de cette évaluation est de déterminer si le programme est conforme aux priorités organisationnelles, s’il répond à un besoin sociétal actuel, s’il atteint les résultats escomptés, s’il utilise les moyens les plus pertinents et les plus efficaces pour atteindre ces résultats et si sa prestation est effectuée de la meilleure façon possible. Tous les domaines d’activités du PUE (prévention, préparation, intervention, rétablissement, recherche et développement) sont abordés dans l’évaluation.
Conformément aux pratiques exemplaires, la démarche de cette évaluation fait appel à des sources de données multiples et à des méthodes de recherche complémentaires. À cette fin, des entrevues avec des informateurs clés ont été planifiées. Les questions ci-dessous permettent d’orienter le processus d’entrevue.
1. Veuillez décrire votre rôle et votre expérience en rapport avec le PUE. Quelles domaines d’activités du PUE connaissez-vous le mieux ou auxquels de ces domaines d’activités avez-vous participé ? Note : ces domaines d’activités comprennent la prévention, la préparation, l’intervention, le rétablissement, la recherche et le développement.
Partenaires et intervenants seulement
2. Veuillez décrire la relation de travail entre
le PUE et
votre organisme.
À votre avis, dans quelle mesure le PUE répond-t-il
aux besoins de la société ? Prière de préciser.
[REF:1a]
4. Dans quelle mesure le PUE contribue-t-il au résultat du Cadre pour la compétitivité et la durabilité de l'environnement (CCDE) ? [atteindre le niveau supérieur en matière de qualité de l’environnement en vue d’accroître le bien-être des Canadiens, de préserver l’environnement naturel du Canada et d’accroître sa compétitivité à long terme] ? Prière de préciser. [REF: 1b]
5. Dans quelle mesure le PUE contribue-t-il à produire les résultats ministériels et les priorités des Conseils ? Prière de préciser. [REF: 1c]
6. Dans quelle mesure le PUE est-il aligné aux objectifs en matière de Sécurité publique et d’antiterrorisme ? [Soit : améliorer la sécurité aérienne, améliorer le contrôle à la frontière, resserrer la sécurité à la frontière et faciliter les mouvements transfrontaliers, améliorer l’efficacité du renseignement et du maintien de l’ordre, améliorer la planification d’urgence et le soutien offert aux militaires, mettre à profit l’infrastructure frontalière et les moyens dont dispose la communauté internationale] ? Prière de préciser. [REF: 1d]
7. Historiquement, le gouvernement a joué un rôle
dans le domaine des urgences environnementales.
Dans quelle mesure diriez-vous que le rôle du gouvernement dans ce domaine
est nécessaire ? Prière de préciser. [REF: 2]
8. Estimez-vous que le programme de financement et d’activités du gouvernement fédéral en matière d’urgences environnementales devrait être poursuivi ou qu’il devrait être réaffecté en partie ou en totalité aux provinces et aux territoires, ou encore à d’autres programmes ? Veuillez préciser. [REF: 3]
9. De quelle façon le PUE tient-il compte des divers besoins et situations des provinces, des territoires et des régions dans le contexte d’un programme coordonné à l’échelle nationale ? [REF: 3]
10. Y a-t-il des programmes [y compris des programmes gouvernementaux autres que fédéraux] dont les objectifs et les activités sont similaires à ceux du PUE ? [Question incitative : y a-t-il d’autres programmes qui font double emploi avec les objectifs et les activités du PUE, ou qui les complètent ?] [REF: 4a]
11. Quelles lacunes pourraient apparaître dans le système de gestion d’urgence canadien si le PUE n’existait pas ? [REF:4b]
12. Un cadre de gestion axée sur les résultats et de responsabilisation (CGRR) a été élaboré en 2004 pour le PUE. Il comporte des modèles logiques qui donnent un aperçu des résultats spécifiques que le PUE doit atteindre.
Dans quelle mesure les résultats du PUE (immédiats, intermédiaires et à long terme) sont-ils raisonnables, compte tenu de la portée de ses activités ? [REF: 5a(i)]
13. Dans quelle mesure les résultats du PUE sont-ils communément compris et acceptés par toutes les parties engagées dans le PUE ? [REF: 5a(i)]
14. Quelles stratégies de mesures de rendement et de présentation des rapports sont en place pour mesurer les résultats du PUE ? [REF: 5a(ii)]
15. Dans quelle mesure les résultats immédiats du PUE suivants ont-ils été atteints ? Prière de préciser. [Question incitative : Pourriez-vous fournir des exemples et/ou des documents à l’appui ?] [REF: 5a1a, 5a1b, 5a3a, 5a3b, 5a5a, 5a5b, 5a7a, 5a9a]
16. Dans quelle mesure les résultats intermédiaires du PUE suivants ont-ils été atteints ? Prière de préciser. [Question incitative : Pourriez-vous fournir des exemples et/ou des documents à l’appui ?] [REF: 5a2a, 5a4a, 5a6a, 5a8a, 5a10a]
17. Dans quelle mesure le résultat à long terme du PUE a-t-il été atteint ? Prière de préciser. [Question incitative : Pourriez-vous fournir des exemples et/ou des documents à l’appui ?] [REF: 5a11]
18. En 2001, les responsabilités du PUE se sont accrues en raison de la création de la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT) du gouvernement canadien, qui a financé l’amélioration et la mise en place de mesures de sécurité pour protéger la santé et la sécurité des Canadiens. Le PUE a identifié des résultats relevant du Règlement sur les urgences environnementales, précisés dans les rapports annuels SPAT soumis au Conseil du Trésor.
Dans quelle mesure les résultats (immédiats et intermédiaires) du PUE relatifs au SPAT sont-ils raisonnables compte tenu de la portée du PUE et des objectifs de la stratégie fédérale SPAT ? [REF: 5b(i)]
Note : Les objectifs de la stratégie SPAT sont les suivants:
19. Quelles stratégies de mesures de rendement et de présentation des rapports sont en place pour mesurer les résultats du PUE relatifs au SPAT ? [REF: 5b(ii)]
20. Dans quelle mesure les résultats immédiats du PUE relatifs au SPAT suivants ont-ils été atteints ? Prière de préciser. [Question incitative : Pourriez-vous fournir des exemples et/ou des documents à l’appui ?] [REF: 5b1a, 5b1b, 5b1c, 5b1d, 5b1e, 5b1f]
21. Dans quelle mesure le résultat intermédiaire du PUE relatif au SPAT a-t-il été atteint ? Prière de préciser. [Question incitative : Pourriez-vous fournir des exemples et/ou des documents à l’appui ?] [REF: 5b2]
22. Quels facteurs extérieurs au PUE, qu’ils soient positifs ou négatifs, ont facilité ou nuit à la réalisation des résultats du PUE ? [REF: 6]
Gestionnaires supérieurs uniquement
a. De quelle façon ces facteurs ont-ils été pris
en compte ?
23. Le PUE a-t-il produit des résultats imprévus, qu’ils soient positifs ou négatifs ? [Question incitative : y a-t-il eu des résultats, positifs ou négatifs, qui n’étaient pas prévus ?] [REF: 7]
24. Il est important que les programmes du gouvernement soient efficaces et contribuent au bien de la population.
À votre avis, dans quelle mesure les Canadiens obtiennent-ils le maximum de valeur de leurs impôts en ce qui concerne le PUE ? [Message d’incitation : le concept englobe les aspects relatifs à la pertinence, aux répercussions et aux coûts.] [REF: 8]
Agents d’exécution du programme et gestionnaires supérieurs
uniquement
25. À votre avis, dans quelle mesure le PUE utilise-t-il
les approches les plus efficaces pour atteindre les résultats visés
? [REF: 10]
26. Quelles alternatives aux approches adoptées, s’il y en a, ont été examinées afin d’atteindre de manière plus efficace les résultats visés du PUE ? [REF: 10]
Partenaires
27. À votre avis, dans quelle mesure le PUE utilise-t-il
les approches les plus efficaces pour atteindre les résultats visés
? [REF: 10]
28. Quelles activités ont été financées par les ressources supplémentaires affectées au PUE dans le cadre du budget de « sécurité » de 2001 ? [REF: 11]
29. Dans quelle mesure le PUE a-t-il exploré :
[Question incitative : quels sont les types d’approches utilisées pour explorer les possibilités de partenariat et de financement externe ?] [REF: 12]
30. À votre avis, quel a été le succès du PUE en matière d’optimisation des ressources provenant de l’extérieur ? [Question incitative : dans quelle mesure le PUE a-t-il réussi à établir des partenariats et/ou à recevoir du financement pour R&D ?] [REF: 12]
Agents d’exécution du programme et partenaires
(int. et ext.)
31. À votre avis, le PUE devrait-il fixer des frais d’utilisateur
pour couvrir certains des coûts occasionnés par la prestation
de ses services ? [REF: 13]
32. Y a-t-il des barèmes de frais en place pour couvrir certains des coûts occasionnés par le PUE? [REF: 13]
Collectivités réglementées et ministères
fédéraux
33. Des services spécifiques fournis par le PUE vous sont-ils
facturés ? [REF: 13]
34. Le mandat et les résultats du PUE sont liés à la réduction de la fréquence, de la gravité et des conséquences des urgences environnementales en encourageant la mise sur pied de mesures de prévention et de préparation, en fournissant des conseils sur les mesures d’intervention et de rétablissement et en contribuant à l’avancement scientifique et technologique du domaine des urgences.
Pensez-vous que les activités et les extrants du PUE contribuent à ce mandat ? Prière de préciser. [REF: 14]
35. Le mandat du PUE a été déterminé d’après un ensemble de lois et politiques fédérales telles que la Directive du Cabinet de 1973 qui établit les rôles et les responsabilités d’Environnement Canada quant aux urgences environnementales, la Loi sur la protection civile de 1985 et la Loi canadienne sur la protection de l’environnement de 1999.
Dans quelle mesure le PUE a-t-il été mis en œuvre conformément à ces politiques et à ces lois ? [REF: 15]
36. Comment sont prises les décisions relatives à :
[Question incitative : prière de préciser et fournir des documents à l’appui.] [REF: 16]
37. Quels types d’approches ont été utilisés pour déterminer et gérer les risques associés à la réalisation des objectifs du PUE ? Prière de préciser. [Message d’incitation : p. ex., risques financiers, opérationnels, politiques, technologiques, sanitaires et sécuritaires, environnementaux. Des stratégies pertinentes ont-elles été élaborées ?] [REF: 17]
38. À votre avis, dans quelle mesure les ressources humaines et financières actuelles sont-elles appropriées pour la réalisation des résultats du PUE ? Prière de préciser. [REF: 18]
39. Une analyse des exigences en matière de capacité (humaine et financière) a-t-elle été effectuée pour le PUE ? [REF: 18]
40. Le CCDE, qui a été élaboré en 2004, vise à maximiser le plus haut niveau de qualité environnementale pour améliorer la qualité de vie des Canadiens. Les cinq piliers du CCDE sont : processus décisionnel, information, science et technologie, promotion du rendement et de l’application de la loi, éducation et mobilisation.
À votre avis, dans quelle mesure les piliers du CCDE sont-ils pris en compte par la structure actuelle du PUE ? [REF: 19]
Agents d’exécution du programme et gestionnaires supérieurs
41. Quels types d’approches ont été utilisés
pour rejoindre des partenaires éventuels ? [REF: 20]
42. À votre avis, quelles sont les possibilités, s’il y en a, de transférer certaines des activités ou des éléments du PUE au secteur privé ou bénévole ou aux provinces ou municipalités? [Question incitative : y a-t-il d’autres programmes qui font double emploi avec les objectifs et les activités du PUE, ou les complètent ?] [REF: 20]
Partenaires et intervenants
43. À votre avis, dans quelle mesure le PUE a-t-il réussi à travailler
avec votre organisme ?
44. À votre avis, quelles sont les possibilités, s’il y en a, de transférer certaines des activités ou des éléments du PUE au secteur privé ou bénévole ou aux provinces ou municipalités ? [Question incitative : y a-t-il d’autres programmes qui font double emploi avec les objectifs et les activités du PUE, ou les complètent ?] [REF: 20]
Agents d’exécution du programme et gestionnaires supérieurs
45. Comment vos rôles et responsabilités par rapport
au PUE ont-ils été établis ? [REF: 21]
46. À votre avis, dans quelle mesure les rôles
et les responsabilités de toutes les parties impliquées dans
le PUE sont-ils exposés clairement et communément compris ?
Veuillez préciser. [REF: 21]
47. Dans quelle mesure les rapports de responsabilisation au sein du PUE sont-elles exposées clairement et communément comprises ? Veuillez préciser. [REF: 21]
Partenaires
48. Comment vos rôles et responsabilités par rapport
au PUE ont-ils été établis ? [REF: 21]
49. À votre avis, dans quelle mesure les rôles et les responsabilités de toutes les parties impliquées dans le PUE sont-ils exposés clairement et communément compris ? Veuillez préciser. [REF: 21]
Tous, sauf les agents d’exécution de programme R&D
50. Dans quelle mesure avez-vous utilisé les extrants et les
livrables développés par le domaine d’activités
R&D du PUE ? [REF: 22]
Agents d’exécution de programme R&D
uniquement
51. De quelle façon les extrants et livrables développés
par le domaine d’activités R&D du PUE sont-ils exploités
par les intervenants, y compris les autres domaines d’activités
du PUE ? [REF: 22]
52. À votre avis, quelles sont les principales forces et faiblesses du PUE ?
53. Avez-vous quelque chose à ajouter ?
On trouvera ci-dessous un tableau indiquant les cotes individuelles pour chaque enjeu d’évaluation données quant à la question de savoir si les constatations révèlent l’absence de problème (√), l’absence de problème, mais qui découlent de preuves subjectives (~√), la présence d’un problème mineur (º), la présence d’un problème majeur (×) ou un cote ne s’appliquait pas.
Cotes de constations | ||
---|---|---|
Pas de Problème | √ | Aucun problème n’a été identifié à l’égard du sujet donné au cours de l’évaluation |
~√ | Bien que la preuve subjective éloquente existe qui démontre que le Programme réussi bien à l’égard du sujet donné, une évaluation complète ne peut pas être menée à cause d’un manque de données suffisantes | |
Problème mineur | º | Bien que le Programme réussi bien en général à l’égard du sujet identifié, il existe un élément manquant (où des éléments manquants) qui mérite que le Programme s’y attarde |
Problème majeur | × | Le Programme ne réussi pas bien à l’égard du sujet donné ou il y a un élément majeur qui manque |
Ne s’applique pas | S.O. | Une cote ne s’applique pas à l’enjeu donné |
Sur les 39 aspects abordés originalement par le cadre d'évaluation14 , l’évaluation du Programmes des urgences environnementales a produit les Constatations suivantes :
Sujets identifiés | Problème | ||
---|---|---|---|
Non | Mineur | Majeur | |
Pertinence | |||
1. Rend service à l’intérêt public | √ | ||
2. Contribue aux résultats ministériels | √ | ||
3. La nécessité du rôle du gouvernement | √ | ||
4. L’opportunité du rôle actuel du gouvernement fédéral (Environnement Canada) | √ | ||
Succès – Résultats immédiats du Programme des urgences environnementales | |||
5. Prévention : Sensibilisation accrue des intervenants ciblés | º | ||
6. Prévention : Stratégies de conformité et d’exécution | √ | ||
7. Préparation : État de préparation du Ministère | º | ||
8. Préparation : Sensibilisation et préparation du client | × | ||
9. Intervention : Conseils et soutien scientifiques et techniques | √ | ||
10. Intervention : Les urgences environnementales ou Environnement Canada est le principal responsable | S.O. | S.O. | S.O. |
11. Rétablissement : Sensibilisation accrue des intervenants ciblés | ~√ | ||
12. Recherche et développement : Élaboration des connaissances de recherche et développement | √ | ||
Succès – Résultats intermédiaires du Programme des urgences environnementales | |||
13. Mise en œuvre par le client des plans et des pratiques | º | ||
14. Investissement accru [recherche et développement] par l’industrie et les gouvernements | º | ||
Succès – Résultats à longe terme du Programme des urgences environnementales | |||
15. Réduction de la fréquence, de la gravite et des conséquences des urgences environnementales touchant le Canada | Impossible à évaluer | Impossible à évaluer | Impossible à évaluer |
Succès – Résultats immédiats de la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme | |||
16. Connaissance du Règlement sur les urgences environnementales | √ | ||
17. Connaissance par Environnement Canada des entités réglementées | º | ||
18. Connaissance par la collectivité du Règlement sur les urgences environnementales | º | ||
19. Participation communautaire à la préparation des plans | º | ||
20. Partenariats/relations entre l’industrie et le gouvernement | ~√ | ||
21. Meilleure conformité au Règlement sur les urgences environnementales | ~√ | ||
Succès – Résultats intermédiaires de la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme | |||
22. Meilleure gestion des urgences environnementales | º | ||
Succès – autres | |||
23. Facteurs externes | º | ||
24. Résultats inattendus | √ | ||
Rentabilité | |||
25. Optimisation des ressources | Impossible à évaluer | Impossible à évaluer | Impossible à évaluer |
26. Recouvrement des coûts | º | ||
27. Autres méthodes d’exécution | º | ||
Conception et exécution | |||
28. Définition et mesures des résultats | × | ||
29. L’ensemble de conception et exécution | º | ||
30. Pris en compte des risques | º | ||
31. Pris en compte des exigences en matière de capacité | × | ||
Stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme | |||
32. Cadre avec la stratégie de Sécurité publique et d ’antiterrorisme | √ | ||
33. Utilisation adéquat des fonds de la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme | º | ||
Recherche et Développement | |||
34. Obtient des ressources externes | √ | ||
35. Utilisation des extrants par les intervenants concernés | ~√ | ||
Partenaires | |||
36. Complémentarité/double emploi/lacunes | º | ||
37. Bonnes relations | º | ||
Forces/Faiblesses/Secteurs à améliorer | |||
38. Forces/faiblesses/secteurs à améliorer | S.O. | S.O. | S.O. |
TOTAL | 15 | 16 | 3 |
1 Le plan ministériel de vérification et d’évaluation pour 2005-2006 a été approuvé le 15 juin 2005 par le Comité ministériel de vérification et d’évaluation.
2 Au sens de la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999) [LCPE (1999)], « substance » consiste en toute matière organique ou inorganique, animée ou inanimée, distinguable et qui peut être rejetée dans l’environnement canadien sous la forme d’une substance unique, d’un effluent, d’une émission, d’un déchet ou d’un mélange.
3 La Directive du Cabinet de 1973 est une décision du Cabinet qui définit les rôles et les responsabilités du Ministère de l’environnement lors des urgences.
4 Ces résultats ne sont pas inclus dans le Cadre de gestion et de responsabilisation axé sur les résultats (CGRR) du 2004.
5 Fonds externes reçus pour des projets recherche et développement (p. ex. Initiative de recherche et de technologie chimique, biologique, radiologique et nucléaire, autres ministères)
6 Pas inclut dans le budget pour AF 2003-2004; affectation actuelle du 2 million de dollars du financement pour l’examen opérationnel de la LCPE aux régions et à la Division des urgences - Science et technologie (DUST) n’est pas disponible pour AF 2003-2004; les montants prévus pour les AF 2004-2005 et 2005-2006 englobe le financement pour l’examen opérationnel de la LCPE.
7 Les résultats ont été tirés de Cadre de gestion et de responsabilisation axé sur les résultats du Programme des urgences environnementales. Les résultats relatifs au à la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT) ont été tirés des rapports annuels de la stratégie de Sécurité publique et d’antiterrorisme (SPAT).
8 REMARQUE : On attribue une cote à savoir si les résultats révèlent l’absence de problème (√), l’absence de problème, mais qui découlent de preuves subjectives (~√), la présence d’un problème mineur (º) ou la présence d’un problème majeur (×). L'annexe 4 présente une liste résumant ces cotes pour chacune des questions d’évaluation.
9 Il est important de souligner que le pollueur est responsable des frais même si le déversement est accidentel; le principe du pollueur-payeur ne suppose en rien des obligations, mais bien une responsabilité.
10 Il est important de souligner que le fonds pour dommages à l’environnement ne prévoit aucune modalité de recouvrement des coûts.
11 Pour faire face à la sous-capacité dans certains secteurs, on enprunte des agents de l’environnement à d'autres secteurs.
12 L’objet du panel d’experts était d’examiner l’ébauche de rapport d'évaluation axé particulièrement sur les recommandations et les conclusions. Dans l’ensemble, le panel était en accord avec les conclusions et les recommandations du rapport.
13 Le Cadre de gestion intégrée du risque du Secrétariat du Conseil du Trésor définit ainsi le risque : « Le risque se rapporte à l'incertitude qui entoure des événements et des résultats futurs. Il est l'expression de la probabilité et de l'incidence d'un événement susceptible d'influencer l'atteinte des objectifs de l'organisation. »
14 Une des questions initiales du cadre d’évaluation (Q19 dans l’annexe 1) relatives au sujet des piliers du Cadre pour la compétitivité et la durabilité de l’environnement a été supprimée.