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Services métérologiques pour les Jeux olympiques et paralympiques d'hiver de 2010 à Vancouver

2.0 Services météorologiques

2.1 Phase I – Planification

2.2 Phase II – Perfectionnement et formation

2.3 Phase III – Exécution et legs

2.4 Énoncé de la mission

2.5 Avant les Olympiques : modèles de soutien en météorologie

2.6 Relation entre le COVAN et Environnement Canada


2.0 Services météorologiques

L’atteinte des objectifs des phases II et III était fondée sur la réussite de la phase I. Chaque phase comportait des exigences particulières en matière d’effectif, de ressources et de temps, ainsi que des livrables particuliers. Certaines activités, comme la gestion globale du projet, la coordination et l’exploitation du réseau d’observation (y compris la gestion des données), étaient communes à toutes les phases.

2.1 Phase I – Planification

Au cours de cette phase, les travaux étaient centrés sur la planification de la mise en œuvre initiale de l’infrastructure de base, y compris sur la définition des exigences associées à l’observation météorologique, au personnel, à la formation, aux communications, à la technologie, à la recherche, aux ressources, aux relations interorganismes et aux interdépendances. Un effort considérable a été consacré à l’obtention d’engagements quant aux ressources de la part du Conseil du Trésor du gouvernement du Canada et du COVAN. L’estimation des besoins en ressources était fondée sur les dépenses engagées dans le cadre d’événements olympiques précédents, particulièrement les Jeux de 2006 à Turin et les Jeux de 2002 à Salt Lake City, à la lumière de nos consultations avec nos collègues de Salt Lake City 2002 et du comité organisateur des Jeux de Turin de 2006 dans le cadre du programme des observateurs. Par exemple, selon les premières indications du COVAN, il était nécessaire que l’organisme de météorologie commence le plus tôt possible à préparer des études climatologiques détaillées des sites de compétition, et les ressources permettant d’amorcer ces travaux (principalement en installant des systèmes d’observation sur les sites) ont été obtenues en 2004. Les planificateurs du projet à Environnement Canada se sont aussi rendu compte qu’un ensemble de données suffisamment important (sur plusieurs années) était nécessaire pour « préparer» des modèles de prévision numérique du temps en vue d’établir des prévisions pour les sites, et que de nombreux emplacements nécessitant des prévisions n’avaient pas de systèmes d’observation météorologique ou n’en avaient pas eu par le passé.

Étant donné que les nouvelles sources de données d’observation constituent, à plusieurs égards, le fondement des nouveaux programmes de prévisions météorologiques, les travaux pour l’installation d’un réseau de stations météorologiques automatisées pour les Jeux olympiques ont commencé à la fin de 2004. Les besoins ont rapidement été délimités concernant l’acquisition d’équipement de télédétection de pointe, y compris un radar météorologique Doppler, un profileur de vent et des radiomètres profileurs hyperfréquences. L’utilisation d’autres capteurs, y compris des équipements radar à couverture verticale, des lecteurs de visibilité et des radiomètres de surface, a été envisagée.

Comme nous l’avons appris lors de Jeux précédents, offrir une formation aux prévisionnistes tôt dans le processus s’avère fondamental à la réussite, et l’expérience des prévisions sur les sites de compétition est essentielle. Un programme de formation pratique à l’intention des prévisionnistes a donc commencé sur le site de ski alpin à Whistler et s’est tenu de janvier à mars 2006, pour être poursuivi chaque hiver, sur chaque site, jusqu’au début des Jeux. Afin d’accroître le niveau de connaissances scientifiques spécifiques et d’améliorer la formation des prévisionnistes choisis pour travailler aux Jeux, un prototype de cours sur les prévisions météorologiques en montagne a été mis sur pied. Le cours a d’abord été offert en mars 2006, à Boulder (Colorado), dans des installations exploitées par le partenaire de formation en météorologie d’Environnement Canada, le Cooperative Program for Operational Meteorology, Education and Training (COMET), et le cours a été amélioré avant d’être offert de nouveau par le COMET en décembre 2006 et 2007.

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2.2 Phase II – Perfectionnement et formation

Un élément clé des travaux de la phase II consistait à développer une étroite liaison avec le COVAN , avec les responsables des fédérations de sports et du Comité international olympique, ainsi qu’avec les organismes essentiels des échelons fédéral et provincial, afin de bien documenter leurs besoins et leurs exigences et de préparer toutes les mesures visant à les satisfaire. Les postes de travail spécialisés des prévisionnistes et la technologie de production de prévisions ont été mis au point en collaboration avec le groupe de développement Ninjo ainsi que, au départ, avec le groupe de conception du logiciel SCRIBE du Centre météorologique canadien. SCRIBE est le principal logiciel de production de prévisions météorologiques utilisé par le Service météorologique du Canada. La planification a débuté à la division de la recherche en prévision numérique du temps d’Environnement Canada afin de mener un programme de recherche sur les techniques de prévision numérique du temps (PNT) dans le but de produire des applications de grande valeur pour les prévisions adaptées aux sites de compétition, y compris pour réduire à une échelle inférieure certains éléments de PNT de haute résolution, particulièrement les précipitations et le vent. Les discussions sur la recherche et le développement concernant le programme de prévisions météorologiques pour les Jeux ont mené à une suggestion qui a rapidement été mise à exécution, c.-à-d. amorcer la planification d’un projet de recherche et de développement sur les prévisions immédiates (prévisions météorologiques à très court terme, soit pour les six prochaines heures) qui serait dirigé par des scientifiques de la section Recherche sur la physique des nuages et du temps violent de la Direction générale des sciences et de la technologie d’Environnement Canada. Ce projet, qui est devenu SNOW-V10 (de l’anglais Science of Nowcasting Olympic Weather for Vancouver 2010), a fait boule de neige au point de devenir un projet d’envergure qui a, ultimement, offert un soutien essentiel à l’effort de prévision dans le cadre des Jeux olympiques. Dans un domaine connexe, on a fait en sorte que certains aspects de THORPEX, un programme continu de recherche sur les systèmes d’observation et la prévisibilité de l’Organisation météorologique mondiale (OMM), soient appliqués à la Colombie-Britannique pendant les années précédant les Jeux. À l’hiver 2008, une expérience sur la prévisibilité dans le Pacifique Ouest, parrainée par THORPEX, a été menée dans l’est du Pacifique tropical. De nombreux prévisionnistes des Jeux de 2010 y ont participé, travaillant depuis le Centre de prévision des intempéries du Pacifique. On prévoyait alors obtenir de nouvelles informations météorologiques pour les prévisions météorologiques de la côte ouest nord?américaine, particulièrement en ce qui concerne l’effet de la conversion d’un ouragan et de ses modifications des ondes de Rossby en aval. Ce phénomène peut produire des phénomènes météorologiques extrêmes le long de la côte ouest de l’Amérique du Nord. Par ailleurs, en janvier 2010, des pluies persistantes et chaudes se sont abattues à Cypress Mountain. Ce phénomène présentait un risque élevé pour les Jeux en entraînant la fonte d’une bonne partie de la neige sur le site. Cette situation fut atténuée à grands frais et au prix de nombreux efforts déployés par le COVAN . En collaboration avec THORPEX, une étude socioéconomique locale a été prévue afin de calculer les avantages pour le déroulement des Jeux que procureraient des prévisions produites pendant l’expérience sur la prévisibilité du Pacifique Ouest qu’il serait possible d’extrapoler sur l’année des Jeux.

En 2005 et 2006, le choix des prévisionnistes a fait l’objet de discussions. On a décidé d’entreprendre un processus informel, mais quasi-concurrentiel, au sein du Service météorologique du Canada, pour sélectionner les prévisionnistes de l’équipe olympique, en misant sur deux capacités essentielles jugées nécessaires à l’équipe : une grande capacité à communiquer au sein de l’équipe dans les deux langues officielles, et un soutien considérable de la part de chaque gestionnaire du « bureau d’attache ». Les candidats voulant faire partie de l’équipe ont soumis des curriculum vitæ et des lettres d’intérêt qui ont été évalués par un comité dans la région du Pacifique et du Yukon. Les prévisionnistes ont été sélectionnés dans chaque bureau de prévision d’Environnement Canada et dans les bureaux affiliés de prévision des Services de l’aviation et de la défense au sein du Service météorologique du Canada, ainsi qu’au Centre météorologique canadien. Deux prévisionnistes ont également été recrutés auprès du réseau privé MétéoMédia et trois prévisionnistes ont été recrutés auprès des bureaux adjacents du U.S. National Weather Service à Seattle, dans l’État de Washington, et à Juneau, en Alaska. Dès 2007, le recrutement de l’équipe de prévision pour les Jeux olympiques et la formation initiale étaient terminés, et les expériences pratiques de prévision pour les sites de compétition, ayant duré environ trois semaines par année pour chaque prévisionniste, ont été offertes aux prévisionnistes des sites de compétition au cours des hivers de 2007 à 2009 à Whistler, à Callaghan Valley et à Cypress Mountain. Les prévisionnistes assignés aux sites de compétition et ceux du bureau de soutien du Centre de prévision des intempéries du Pacifique ont travaillé aux compétitions sportives de divers niveaux, même à des coupes du monde, à chacun des sites de compétition, au cours des hivers 2007-2008 et 2008-2009, acquérant ainsi une expérience des conditions météorologiques propres aux sites et renforçant les liens avec les autorités sportives.

En août 2008, une conférence périodique de l’American Meteorological Society, à savoir la Mountain Meteorology Conference, a été tenue par Environnement Canada à Whistler, en Colombie-Britannique. Immédiatement après la conférence, un atelier de quatre jours et des séances de laboratoire portant sur la météorologie des sites de compétition de 2010 ont été organisés à l’intention des prévisionnistes assignés aux sites par le Service météorologique du Canada – région du Pacifique et du Yukon, le personnel de la division de la recherche en prévision numérique du temps et celui de la section Recherche sur la physique des nuages et du temps violent.

Alors que la technologie et l’infrastructure de prévision étaient presque achevées, une vérification approfondie du système de services météorologiques, de bout en bout, a été entreprise afin d’en assurer la fonctionnalité et de le modifier pour l’adapter aux besoins des utilisateurs. Ces tests ont été effectués pendant et après des entraînements préolympiques clés en 2008 et 2009.

Au printemps de chaque année, le rapport complet des conditions météorologiques réelles pour chaque site de compétition, ainsi qu’une évaluation des prévisions, ont été produits et affichés sur notre site Web de la famille olympique, à l’adresse www.weatheroffice.pyr.ec.gc.ca/2010, qui aujourd’hui n’existe plus. Ces rapports sont accessibles sur demande auprès de l’auteur, sur CD.

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2.3 Phase III – Exécution et legs

La dernière phase concernait le soutien en services météorologiques pendant les Jeux olympiques d’hiver, tenus du 12 au 28 février, et les Jeux paralympiques, tenus du 12 au 21 mars, et les divers travaux de mise hors service par la suite. Cette phase comportait un système de prévisions météorologiques entièrement fonctionnel, y compris des produits de prévision adaptés aux sites de compétition, des produits ciblant les utilisateurs finaux, des prévisions météorologiques en temps réel et l’intégration de données observées dans le système de gestion de données INFO 2010 (le système d’information du Comité international olympique pour la durée des Jeux, système exploité par Atos Origin, le partenaire mondial de technologie de l’information pour les Jeux olympiques), ainsi que la communication de renseignements en temps réel et de conseils météorologiques professionnels au COVAN, au Comité international olympique, aux autorités sportives et aux membres des équipes, directement sur les sites et depuis le centre principal des opérations des Jeux. En grande partie, la demande concernait des scénarios d’aperçu quotidiens ou plus fréquents et des évaluations des probabilités de risque, en fonction des conditions météorologiques actuelles et prévues, afin d’aider les autorités à établir ou à modifier l’horaire des épreuves sportives ou des cérémonies en fonction de l’influence de la météo ou des phénomènes météorologiques. Une unité centrale d’orientation et de soutien en matière de prévisions (le centre de prévision POD – de l’anglais Pacific Olympic Desk) était en activité 24 heures par jour et 7 jours par semaine pendant les Jeux olympiques et paralympiques. Elle était située dans les locaux du Centre de prévision des intempéries du Pacifique. En plus d’encadrer et de coordonner les équipes de prévision assignées aux sites de compétition, le centre de prévision POD agissait à titre de source principale de soutien météorologique pour les organismes responsables des services fédéraux essentiels et les organismes des autres paliers du gouvernement. Parallèlement se tenait une série de téléconférences quotidiennes pour les prévisionnistes, organisées par des scientifiques de SNOW-V10, afin de discuter des problèmes liés aux prévisions à court terme, y compris les prévisions immédiates, les modèles et les outils de prévision immédiate par radar. La prévision d’événements météorologiques extrêmes pour la journée même était généralement le sujet de discussion, et les scientifiques de SNOW-V10 mettaient à profit leur expertise afin de trouver des solutions.

2.4 Énoncé de la mission

La mission globale du projet des services météorologiques à l’appui des Jeux olympiques d’Environnement Canada consistait à fournir des services de soutien météorologique complets de qualité à tous les participants, responsables et spectateurs des Jeux olympiques et paralympiques d’hiver de 2010 ainsi qu’aux organismes agissant à l’appui des Jeux. Le projet avait pour but de fournir des prévisions et des avertissements météorologiques, des observations sur les conditions météorologiques, des renseignements sur le climat et des indications sur les effets météorologiques et les scénarios d’aperçu nécessaires au bon déroulement des compétitions et au fonctionnement efficace des Jeux, ainsi que d’aider les organismes concernés à satisfaire à leurs exigences en matière d’information météorologique et de soutien aux prévisions. Les principales responsabilités du projet des services météorologiques étaient de veiller à ce que les exigences techniques des fédérations internationales de sports et du Comité international olympique soient satisfaites, et que les besoins particuliers en matière de soutien météorologique des autres organismes soient entièrement comblés.

2.5 Avant les Olympiques : modèles de soutien en météorologie

Lors de Jeux olympiques d’hiver, les conditions météorologiques sont probablement l’élément incontrôlable le plus déterminant dans la réussite du déroulement des épreuves sportives à l’extérieur. Des services météorologiques fiables pour les Jeux se sont donc avérés essentiels pour les organisateurs et les compétiteurs des Jeux olympiques d’hiver antérieurs. En 1998, à Nagano, la planification de nombreuses épreuves sportives sur neige aurait été considérablement compromise s’il n’avait été de la fiabilité démontrée des prévisions météorologiques pour tous les sites de compétition et de la confiance que les jurys des compétitions avaient développée au cours des deux années d’expérience acquises dans le cadre des événements préparatoires. À Salt Lake City, le recours à un réseau supplémentaire de 29 stations météorologiques automatisées déployées à des endroits donnés sur les sites extérieurs a permis un accès en temps réel aux conditions météorologiques ainsi qu’à des données importantes pour les prévisions locales. Les prévisions météorologiques et les mises à jour horaires pendant les événements ont joué un rôle décisif et essentiel tant pour les délibérations des jurys des compétitions que pour la gestion des ressources du comité organisateur des compétitions, l’affectation des tâches et, encore plus important, la sécurité des participants. Les Jeux de 2002 à Salt Lake City ont eu recours à une équipe de soutien météorologique spécialisée comptant 84 personnes, dont 32 météorologues professionnels, 34 observateurs météorologiques bénévoles, 8 experts en informatique et en communication, et 10 employés de soutien. Ces personnes ont offert un service continu, 24 heures par jour. Les services météorologiques des Jeux d’hiver de 2006 à Turin se sont appuyés sur une équipe d’environ 80 spécialistes en météorologie, selon des proportions semblables à celles de l’équipe des Jeux de Salt Lake City. Chaque site de compétition extérieur disposait de son propre bureau de soutien pour les prévisions météorologiques, doté de météorologues pour chaque journée des Jeux olympiques et paralympiques. Dans la région où se tenaient les Jeux de 2006, on comptait 50 stations d’observation météorologique automatisées, auxquelles s’ajoutaient 10 stations mobiles déployées à des endroits stratégiques sur des sites particuliers. Bien que le projet des services météorologiques pour 2010 se soit largement fondé sur la méthode utilisée à Turin, les Jeux de Salt Lake City ont permis de tirer des leçons de grande importance, particulièrement en ce qui concerne la fusion de la science et des opérations.

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2.6 Relation entre le COVAN et Environnement Canada

Le Service météorologique du Canada et son ministère fédéral parent, Environnement Canada, sont responsables d’exploiter un service d’avertissement, de prévision et de surveillance climatique et météorologique à l’échelle nationale pour la sécurité des Canadiens et la protection de leurs biens. Pour mener à bien ce mandat, le Service météorologique du Canada exploite un réseau d’observation météorologique intégré, comprenant des stations climatiques et météorologiques automatisées, des stations de mesure en altitude, des radars météorologiques, un système de détection de la foudre, et des installations de surveillance par satellite. Les données issues de ces réseaux sont utilisées dans des modèles de prévision numérique du temps et par des météorologues professionnels afin de produire des prévisions et des avertissements. La densité des réseaux d’observation et la résolution des modèles sont à une échelle conçue pour satisfaire aux responsabilités nationales. Il est possible de réaliser des prévisions à plus petite échelle, comme celles requises pour appuyer des événements « d’envergure olympique », mais elles nécessitent une densité plus élevée de stations d’observation, de connaissances locales et d’applications de modèles de prévisions spécialisés fondés sur la topographie locale et permettant de simuler des effets locaux. Par exemple, en 1976, pour les épreuves de voile tenues à Kingston (Ontario) dans le cadre des Jeux olympiques d’été de Montréal, et de nouveau en 1988 pour les Jeux olympiques d’hiver de Calgary, le Service météorologique du Canada a conclu une entente contractuelle avec les comités organisateurs olympiques respectifs afin de développer davantage les réseaux d’observation existants sur les sites et d’affecter une équipe de spécialistes en météorologie détenant des connaissances locales afin d’appuyer les Jeux.

Pour satisfaire les besoins des Jeux de 2010, un premier contrat avec le COVAN a été signé en 2005 concernant l’installation et l’entretien des systèmes d’observation météorologique sur les principaux sites. Comme il en est question à la section 2.6, l’étape de planification a rapidement mis en lumière le fait que la densité du réseau fédéral existant était trop faible pour permettre des observations plus locales de la météo, lesquelles étaient nécessaires pour prévoir de façon précise les conditions sur les sites et pour nous permettre de nous acquitter de nos responsabilités en matière de soutien météorologique pour les organismes appuyant les Jeux. Des fonds fédéraux ont été obtenus afin d’améliorer et d’accroître la densité des systèmes d’observation pour la région où devaient se tenir les Jeux et pour faire l’acquisition d’autres systèmes d’observation météorologique plus perfectionnés. Deux autres contrats avec le COVAN concernant les autres services météorologiques jusqu’en 2010 (2005-2007 et 2008-2010) ont été établis pour couvrir la portée globale des services météorologiques requis afin de répondre aux besoins de la famille olympique.

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