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L’expérience des Jeux panaméricains et parapanaméricains de 2015 à Toronto

2. Planification préliminaire

Le 6 novembre 2009, l’Organisation sportive panaméricaine a confié au Canada l’organisation des Jeux panaméricains et parapanaméricains de 2015. Peu après la clôture des Jeux olympiques de Vancouver de 2010, le monde du sport a tourné son attention vers les prochains Jeux panaméricains et parapanaméricains, qui devaient se tenir dans la grande région du Golden Horseshoe du sud de l’Ontario, en juillet et en août 2015 respectivement. Il fallait commencer tôt à planifier les Jeux. Les acteurs et les partenaires de plusieurs instances se sont donc réunis pour commencer la planification, dont 13 ministères fédéraux, afin de définir les travaux et les coûts connexes nécessaires au soutien des Jeux.

Ces 13 ministères et organismes fédéraux devaient donner suite aux engagements en matière de services essentiels que le gouvernement du Canada avait pris dans une entente multipartite. La prestation de ces services se rapportait directement aux mandats des ministères et organismes participants. Tous les ministères et organismes avaient déjà participé, à divers degrés, à des événements internationaux antérieurs, notamment des événements sportifs comme les Jeux olympiques et paralympiques d’hiver de 2010 à Vancouver.

En 2012, le Secrétariat du Conseil du Trésor du gouvernement fédéral a approuvé la présentation sur les Jeux, et la planification a commencé pour de bon. Les sous-sections qui suivent décrivent en détail les premières étapes du projet d’ECCC.

2.1 Jeux panaméricains et parapanaméricains de 2015 à Toronto et Jeux olympiques de 2010 à Vancouver

Les résultats attendus du soutien et de l’investissement du gouvernement du Canada pour les Jeux panaméricains et parapanaméricains de 2015 étaient différents de ceux recherchés pour les Jeux olympiques et paralympiques d’hiver de 2010, tenus à Vancouver, en Colombie-Britannique. Les Jeux panaméricains et parapanaméricains sont des Jeux régionaux, limités aux pays de l’Amérique, alors que les Jeux olympiques et paralympiques ont une portée internationale; on considère donc que ces derniers ont une plus grande visibilité. En participant aux Jeux olympiques et paralympiques d’hiver de 2010 à Vancouver, le gouvernement du Canada souhaitait profiter de la grande visibilité de l’événement pour atteindre des objectifs « non sportifs », comme renforcer la réputation canadienne à l’échelle nationale et internationale. En revanche, le soutien du gouvernement fédéral pour les Jeux panaméricains et parapanaméricains de 2015 était principalement axé sur la sécurité et les sports.

Les Jeux olympiques et paralympiques d’hiver de 2010 à Vancouver avaient une plus grande envergure, et la participation du gouvernement du Canada était plus importante, mais il existait des parallèles entre le rôle de coordination qu’a joué le Secrétariat fédéral durant les Jeux olympiques et paralympiques d’hiver de 2010 et celui de Patrimoine canadien pour les Jeux panaméricains et parapanaméricains de 2015. Par conséquent, l’expérience qu’avait acquise le gouvernement du Canada en accueillant les Jeux olympiques et paralympiques de 2010 à Vancouver a éclairé sa démarche de planification et de coordination pour ce type d’événement. Dans certains cas, l’équipe de projet des Jeux panaméricains et parapanaméricains de 2015 a adopté quelques-unes des méthodes de coordination fédérale utilisées par le Secrétariat fédéral de 2010; dans d’autres situations, l’approche a été modifiée et adaptée en fonction du degré de complexité de la coordination de la participation fédérale à un événement plus modeste. La différence la plus importante quant à la participation fédérale était que les efforts déployés en matière de sécurité pour les Jeux panaméricains et parapanaméricains de 2015 n’étaient pas dirigés par le gouvernement fédéral, comme dans le cas des Jeux olympiques et paralympiques de 2010 à Vancouver. La province de l’Ontario et, plus précisément, la Police provinciale de l’Ontario étaient responsables de la sécurité pour les Jeux panaméricains et parapanaméricains de 2015.

L’équipe de projet des Jeux panaméricains et parapanaméricains de 2015 d’ECCC a eu recours à une structure de gouvernance semblable à celle mise en œuvre pour les Jeux olympiques et paralympiques d’hiver de 2010 à Vancouver. Cette structure comprenait un groupe de travail sur les services fédéraux essentiels (GTSFE), mis sur pied par Sport Canada, et des comités à l’échelon des sous-ministres adjoints et du sous-ministre. Toutefois, pour les Jeux panaméricains et parapanaméricains de 2015, on a créé d’autres groupes de travail selon les besoins, et les comités de plus haut niveau ont été convoqués quand il fallait obtenir l’approbation ou les directives des administrateurs généraux.

2.2 Présentation au Conseil du Trésor

Le mandat d’ECCC (anciennement Environnement Canada) est énoncé dans la Loi sur le ministère de l’Environnement. Il exige la mise en œuvre de lois, de politiques et de programmes sur l’environnement pour protéger, maintenir et améliorer la qualité de l’environnement naturel. La Loi demande aussi de fournir à la population canadienne les renseignements dont elle a besoin afin de prendre des décisions éclairées pour protéger sa santé, sa sécurité et sa prospérité économique dans un contexte où les conditions météorologiques et environnementales changent continuellement.

Résultante naturelle du mandat du Ministère, ECCC a dû préciser sa mission et ses contributions pour les Jeux au cours de l’élaboration de la présentation au Conseil du Trésor. Cette mission consistait à fournir des services essentiels pour améliorer la surveillance et les prévisions météorologiques, aider les activités de préparation locales et soutenir les évaluations environnementales des projets relatifs aux Jeux. Le Secrétariat du Conseil du Trésor a accordé à ECCC du financement à compter de 2012 dans le but de fournir des services essentiels qui étaient propres aux Jeux et qui n’étaient pas inclus dans les fonctions habituelles du Ministère, ce qui explique la demande nécessaire de financement additionnel adressée au Conseil du Trésor pour le projet. Ces fonds ont été dépensés principalement par le SMC dans le but d’améliorer la surveillance météorologique; de produire des prévisions à la fine pointe de la technologie en tout temps pour divers sites; de diffuser des avertissements, des veilles et des avis météorologiques; et soutenir les services gouvernementaux essentiels sensibles aux conditions météorologiques afin de garantir la sécurité et la protection des athlètes, du personnel, des bénévoles et des spectateurs.

ECCC a également fourni des services pour la réalisation des activités de préparation locales associées aux Jeux. Du soutien aux interventions a également été offert en tout temps durant les Jeux, comme dans le cadre des activités normales. Avec le financement additionnel demandé dans la présentation au Conseil du Trésor, d’autres activités de prévention et de préparation ont été entreprises dans le contexte du Programme des urgences environnementales. Les grands objectifs de ce programme étaient les suivants :

  • revoir les responsabilités du Plan fédéral d’intervention d’urgence et formuler des conseils en matière d’urgences environnementales dans le cadre des exercices et activités de préparation;
  • en cas d’urgence environnementale, offrir des services et coordonner les activités avec celles d’autres organismes pour la surveillance ou la coordination d’une intervention;
  • cerner les composants du projet qui sont régis par le Règlement sur les urgences environnementales de la Loi canadienne sur la protection de l’environnement et qui sont situés à proximité des sites, et effectuer des visites sur place pour vérifier les plans d’urgence environnementale;
  • veiller à la promotion de la conformité selon les besoins;
  • déterminer les conséquences des incidents pour ces installations.

En outre, ECCC a fourni des renseignements spécialisés à l’appui des évaluations environnementales fédérales et provinciales concernant les projets relatifs aux Jeux, dans le cadre du Programme d’évaluation environnementale. Ce programme était chargé de respecter ses obligations conformément à la Loi canadienne sur l’évaluation environnementale (2012) et à d’autres processus fédéraux d’évaluation environnementale. Il a soutenu les autorités responsables de la réalisation des évaluations environnementales en leur fournissant des conseils scientifiques et techniques sur les secteurs de responsabilité qui sont confiés à ECCC (p. ex., qualité de l’eau et de l’air, oiseaux migrateurs, espèces en péril, etc.) pour appuyer les examens d’évaluation environnementale fédéraux.

Les grands objectifs du Programme d’évaluation environnementale étaient les suivants :

  • veiller à ce que les décideurs reçoivent des renseignements opportuns, pertinents et rigoureusement scientifiques pour que les décisions prises durant la planification des projets, des politiques et des programmes soient respectueuses de l’environnement;
  • promouvoir le respect de la Loi canadienne sur l’évaluation environnementale (2012) et donner des conseils de qualité aux autres ministères fédéraux, aux provinces et à d’autres organismes.

Le rapport qui suit se concentre sur la mission du SMC pour les Jeux, ce qui comprenait les contributions de la Direction générale des sciences et de la technologie d’ECCC.

2.3 Renseignements climatologiques pour les Jeux

La météo peut avoir une grande incidence sur les décisions que prennent les organisateurs d’événements sportifs en matière de sécurité et de logistique. Pour des événements importants, comme les Jeux olympiques ou les Jeux panaméricains et parapanaméricains, les renseignements sur les conditions météorologiques ordinaires et exceptionnelles peuvent soutenir la planification et la prise de décisions bien avant les Jeux. En 2013 et 2014, pour répondre aux éventuels besoins climatologiques des organisateurs des Jeux TO2015, le Bureau de projet des Jeux de 2015 d’ECCC a préparé une série de climatologies détaillées pour l’Ontario, climatologies qui mettaient particulièrement l’accent sur la région des Jeux de 2015 dans le sud de l’Ontario. Les climatologies détaillées contiennent des renseignements provinciaux, régionaux et propres aux divers sites pour sept paramètres différents :

  • les tornades;
  • la chaleur et l’indice humidex;
  • la foudre et les jours d’orage;
  • les pluies extrêmes;
  • le vent;
  • les brises de lac;
  • la cote air santé (CAS).

On a étudié les moyennes à long terme, les conditions météorologiques ainsi que le nombre et le type d’occurrences, puis on a présenté les résultats à l’aide de graphiques et de tableaux. On a également préparé un document climatologique sommaire spécialement pour les Jeux TO2015, encore une fois en prévoyant les besoins. Quand les Jeux TO2015 ont officiellement demandé à ECCC de leur fournir des renseignements climatologiques en 2013 et en 2014, le Bureau de projet a pu répondre rapidement à cette requête et fournir les renseignements nécessaires. Les faits saillants des climatologies ont été choisis par les Jeux TO2015 et publiés avant les Jeux en 2015 dans les guides destinés aux équipes (pour les athlètes et les officiels des comités olympiques et paralympiques nationaux) et les guides techniques des officiels (pour les juges et les arbitres nommés par les fédérations continentales et internationales). Les exemples de graphiques climatologiques pour la chaleur, l’indice humidex, le vent et les pluies extrêmes sont présentés à la figure 1.

On a également inclus les climatologies dans une série d’ateliers de formation internes pour les prévisionnistes opérationnels et les membres des équipes de présentation qui soutenaient les Jeux. Enfin, des renseignements tirés des climatologies ont été utilisés dans l’évaluation fédérale des risques pour les Jeux afin d’évaluer les incidences et la probabilité des risques liés aux conditions météorologiques. Les documents climatologiques font partie de l’héritage des Jeux puisque les renseignements nouveaux et actualisés sont encore utilisés par les prévisionnistes, les services de présentation et les météorologues aux alertes dans le cadre du programme de prévision et d’alerte des activités normales de l’Ontario.

Figure 1. Exemples de graphiques climatologiques propres aux stations météorologiques et à la région couverte par les Jeux

Exemples de graphiques climatologiques (voir longue description ci-dessous)

Description

Quatre graphiques climatologiques liés à une station météorologique ou à un secteur des Jeux, dans le sens horaire, à partir d’en haut à gauche :

  1. Carte du Grand Toronto (en médaillon : secteur du lac Simcoe) montrant les événements de chaleur extrême les plus récents et le nombre maximal de jours de chaleur extrême par année (température maximale ≥ 32 °C et température minimale ≥ 20 °C) signalés par les stations d’observation climatologique et météorologique de la région (données jusqu’en 2012).

    Les périodes sont divisées comme suit :

    2000 – 2012
    1990 – 1999
    Avant 1990

    Le nombre de jours de chaleur extrême allait d’un minimum de 1, observé dans la région de Muskoka avant 1990, à un maximum de 18, observé dans la région de Hamilton avant 1990. Les autres stations de la région ont enregistré entre 1 et 15 jours de chaleur extrême.

  2. Diagramme à barres montrant le nombre de jours par année (1970 – 2012) où un indice humidex de 40 à 45 ou un indice > 45 a été observé à l’aéroport de Hamilton. Voici le nombre de jours où le seuil a été dépassé par année (sauf indication contraire, il est question d’un humidex de 40 à 45) :

    1970 : 4
    1971 : 2
    1972 : 3
    1973 : 6
    1974 : 3
    1975 : 3
    1976 : 1
    1977 : 4
    1978 : 3
    1979 : 0
    1980 : 1
    1981 : 3
    1982 : 1
    1983 : 4
    1984 : 0
    1985 : 1
    1986 : 2
    1987 : 6
    1988 : 13 (dont 1 jour avec un humidex > 45)
    1989 : 2
    1990 : 1
    1991 : 4
    1992 : 0
    1993 : 5
    1994 : 5
    1995 : 5 (dont 1 jour avec un humidex > 45)
    1996 : 3
    1997 : 2
    1998 : 1
    1999 : 4 (dont 1 jour avec un humidex > 45)
    2000 : 0
    2001 : 4
    2002 : 7
    2003 : 0
    2004 :  0
    2005: 8
    2006 : 5 (dont 2 jours avec un humidex > 45)
    2007 : 2
    2008 : 0
    2009 : 1
    2010 : 4
    2011 : 7 (dont 1 jour avec un humidex > 45)
    2012 : 6

  3. Graphique circulaire des vents pour l’aéroport de St. Catharines montrant la fréquence moyenne (1981–2010) où des vents ont soufflé au mois de juillet en après-midi (midi – 16:00 HNL) dans chacune des 36 directions. Les vitesses des vents ont été classées selon cinq catégories (p. ex. 1–4, 4–7, 7–11, 11–17, 17–21, > 21 km/h) et les directions ont été classées selon des intervalles de 10°.

    Pour toutes les directions, la majorité des vitesses des vents était < 17 km/h.
    Seul un très faible pourcentage des directions sont d’est, du sud-est ou du sud. Les vents du sud-ouest obtiennent le pourcentage le plus élevé, suivis des vents d’ouest, du nord-ouest et du nord-est. Les vents > 17 km/h sont majoritairement du sud-ouest.

    Vitesse maximale des vents – 28 km/h. Pourcentage de vents calmes – 2 %.

  4. Carte du Grand Toronto (en médaillon : secteur du lac Simcoe) montrant le nombre moyen (1981–2010) de jours d’été (juin-juillet-août) où des quantités de pluie ≥ 25 mm ont été signalées par les stations d’observation climatique et météorologique de la région. Le nombre moyen de jours a été classé dans les quatre catégories suivantes :

    2,5 – 2,6
    2,0 – < 2,5
    1,5 – < 2,0
    1,2 – < 1,5

    Une moyenne minimale de 1,2 jour a été enregistrée à la station climatique à l’est de Muskoka. Une moyenne maximale de 2,6 jours a été enregistrée par cinq stations au sud du lac Simcoe, à l’est du lac Huron et au sud-ouest de Hamilton. Les autres stations de la région ont enregistré des moyennes de 1,5 à 2,5 jours.

2.4 Étude comparative des capteurs météorologiques

Dans le cadre d’une initiative de surveillance améliorée à l’appui des Jeux, ECCC a augmenté le nombre de stations de surveillance météorologique et leur résolution temporelle dans la grande région du Golden Horseshoe du sud de l’Ontario. Le système de surveillance à haute résolution, appelé « Mesonet », était constitué de plus de 50 stations météorologiques terrestres et marines automatisées, dont 40 stations compactes (voir la section 5). On a lancé une étude comparative des capteurs météorologiques automatisés en 2012, durant les étapes de planification du Mesonet, pour évaluer le rendement des stations météorologiques compactes automatisées devant être utilisées par le Mesonet et, éventuellement, par les futurs réseaux centraux de surveillance du SMC. Dans cette étude, on a comparé les données provenant de cinq stations météorologiques se trouvant dans l’installation d’essai du Centre expérimental de recherche sur l’atmosphère d’ECCC à Egbert, en Ontario, aux données recueillies par des capteurs de référence du SMC, situés au même endroit. Les résultats de l’étude ont facilité le choix des types de stations météorologiques compactes pour le Mesonet. Ils ont aussi approfondi nos connaissances sur la qualité des données de différents types de stations météorologiques pouvant être installées dans un futur réseau de réseaux Mesonet (qui englobe des données provenant d’organismes partenaires externes et des données recueillies par le SMC; voir la section 5.8.2).

Figure 2.

Trois photos de différents types de stations météorologiques compactes évaluées dans le cadre de l’étude comparative des stations météorologiques d’Environnement et Changement climatique Canada : Vaisala WXT520 (à gauche), Lufft WS601 All-in-One (au centre) et Climatronics All-in-One (à droite).
Photos : © Hong Lin

2.5 Empreinte des Jeux

Les régions mises en évidence dans la figure 3 correspondent à la vaste empreinte où se sont déroulées les activités des Jeux. Les emplacements des sites des Jeux dans la grande région du Golden Horseshoe du sud de l’Ontario sont indiqués dans les régions de prévisions publiques existantes d’ECCC. Les emplacements des sites se trouvant très près les uns des autres ont été considérés comme étant un seul point ou « groupe » de sites aux fins de notre nouvelle technique de prévision ponctuelle (voir la section 8.1). Au total, on avait fixé 20 « points » afin de représenter tous les sites de compétition visés par le programme de prévision et d’alerte propre aux sites ou aux groupes de sites. Il y avait d’autres emplacements pour les cérémonies, les médias et le festival des arts et de l’artisanat Panamania. Toutefois, ces emplacements n’ont pas été indiqués sur la carte et ils n’étaient pas compris dans les prévisions ponctuelles. Ils faisaient plutôt partie des régions de prévision publique ordinaires d’ECCC.

Figure 3. Les sites des Jeux TO2015 dans les zones définies par les Jeux TO2015, superposés aux régions de prévision publique d’ECCC

Carte des sites TO2015 (voir longue description ci-dessous)

Description

Carte de la région élargie du Golden Horseshoe, dans le sud de l’Ontario, montrant les sites des Jeux panaméricains de Toronto en 2015 (TO2015) au sein des régions de prévision publique existantes d’Environnement et Changement climatique Canada. On observe 13 régions de prévision en couleurs, avec toutes les autres régions en arrière-plan. Les 20 points rouges représentent les sites des Jeux au sein des 13 régions de prévision. Les sites et les régions de prévision du centre-ville de Toronto et du secteur portuaire figurent en médaillon (en haut à gauche). Chaque site est situé dans une des cinq zones définies pour TO2015 : le Parc panaméricain CIBC, le centre-ville, le nord, l’ouest et l’est. Les 13 régions de prévision sont les suivantes :

  • Pickering – Oshawa –Durham Sud
  • Ville de Toronto
  • Vaughan – Richmond Hill – Markham
  • Haliburton – Minden – Sud
    Comté de Haliburton
  • Orillia – Lagoon City – Washago
  • Innisfil – New Tecumseth – Angus
  • Orangeville – Grand Valley – Comté de Dufferin Sud
  • Caledon
  • Mississauga – Brampton
  • Halton Hills – Milton
  • Ville de Hamilton
  • St. Catharines – Grimsby – Région de Niagara Nord
  • Niagara Falls – Welland – Région de Niagara Sud
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