Groupe |
Méthode appliquée |
Nbre initialement prévu |
Nbre de personnes jointes |
Nbre de contacts noués avec succès |
---|---|---|---|---|
Membres du SEPAR/RPAR/Conseil |
entrevue |
4 |
4 |
3 |
Personnel d’exécution et de gestion d’EC |
entrevue |
15 |
28 |
22 |
Partenaires signataires |
entrevue |
5 |
4 |
4 |
Industrie |
entrevue |
10 |
X14 |
0 |
Premières Nations |
entrevue |
15 |
17 |
7 |
Gouvernement local |
enquête |
30 |
|
Changé pour huit entrevues |
Gouvernement local |
entrevue |
15 |
15 |
8 |
OENG |
entrevue |
|
5 |
|
OENG |
enquête |
20 |
|
Changé pour cinq entrevues |
Partenaires du projet et exploitants/associations de petites entreprises |
groupe de discussion |
50 |
14 |
10 |
Chefs d’équipe de projet |
enquête |
35 |
27 |
19 |
Elevate Consulting a eu de la difficulté à joindre suffisamment d’intervenants en raison d’un manque d’information accessible, exacte et facilement disponible sur les personnes-ressources, ce qui lui aurait permis de constituer l’échantillonnage nécessaire à toutes les méthodologies proposées. Pour cette raison, certaines des techniques initialement prévues (enquêtes, groupes de discussion) n’ont pu être appliquées de façon valide ou ont été limitées dans leur portée. En pratique cependant, de nombreux obstacles ont entravé la formation des cohortes de répondants qui devaient représenter le gouvernement local, les organisations non gouvernementales et l’industrie dans la réalisation des entrevues et des enquêtes et dans la consultation des groupes de discussion. En outre, le système d’information de gestion ne récolte ni ne produit d’information sur les personnes-ressources des partenaires. Il faut donc constituer ces cohortes à partir des noms suggérés par les chefs d’équipe de projet, puisqu’ils sont les seuls détenteurs de cette information. De plus, les réponses aux messages vocaux et aux courriels ont été extrêmement lentes à obtenir. Pour toutes ces raisons, il a fallu consacrer beaucoup de temps à tenter de communiquer avec les répondants et à obtenir des suggestions de noms. » Une bonne partie de l’information fournie à l’appui de l’évaluation était périmée ou inexacte. C’est particulièrement évident dans le cas du système d’information de gestion. En particulier, nous avons rencontré un nombre sensiblement moindre de chefs d’équipe de projet « distincts » responsables de projets achevés ou en cours. Même si la liste initiale de chefs d’équipe de projet comptait bien au-delà d’une centaine de noms, il y en avait en fin de compte tout au plus 35, ce qui entravait la possibilité de constituer les échantillons devant servir à la réalisation des enquêtes et des entrevues et à la formation des groupes de discussion et d’organiser des entrevues avec des représentants du gouvernement local des Premières Nations et des partenaires non gouvernementaux. Seulement 19 chefs d’équipe de projet ont participé à l’enquête, alors qu’on en prévoyait 30. En outre, certaines méthodologies n’ont pu être utilisées en raison du faible nombre de noms suggérés par les chefs d’équipe de projet. Même si l’on a dûment expédié des questionnaires d’enquête au gouvernement local et aux organisations environnementales non gouvernementales, on n’a reçu respectivement que cinq et quatre questionnaires remplis, ce qui n’est pas assez pour tirer des constatations valides et fiables. Pour cette raison, les résultats de ces deux enquêtes n’ont pas été inclus dans le rapport. En outre, le faible nombre de noms suggérés n’a pas permis de faire le nombre ciblé d’entrevues auprès des représentants du gouvernement local, des organisations non gouvernementales et de l’industrie. En fait, aucune personne-ressource de l’industrie n’a pu être atteinte. Au départ du projet, on prévoyait former cinq groupes de discussion constitués d’une cinquantaine de partenaires; cependant, faute de participants, on s’est résigné à former un seul groupe de dix personnes.
14 Aucun nom n’a été suggéré par Environnement Canada (BCBG) ou par les chefs d’équipe de projet.