Environnement Canada
Juillet 2011
Transport : 164 Mt, soit 22 %; électricité : 126 Mt, soit 17 %; pétrole et gaz : 153 Mt, soit 21 %; secteurs à forte intensité d'émissions et tributaires du commerce : 80 Mt, soit 11 %; bâtiments : 80 Mt, soit 11 %; agriculture : 74 Mt, soit 10 %; déchets et autres : 54 Mt ou 8 %.
Chine : 7 233 Mt, soit 19 %; États-Unis : 6 914 Mt, soit 18 %; Union européenne : 5 043 Mt, soit 13 %; Fédération de Russie : 1 955 Mt, soit 5 %; Inde : 1 859 Mt, soit 5 %; Japon : 1 346 Mt, soit 4 %; Brésil : 1 012 Mt, soit 3 %; Canada : 731 Mt, soit 2 %, autres : 11 535 Mt, soit 37 %.
La figure R3 présente deux lignes sur un graphique pour la période allant de 1990 à 2020. Une ligne montre que sans mesure gouvernementale, les émissions en 2020 devraient s'élever à 850 Mt. L'autre ligne montre qu'avec des mesures gouvernementales, les émissions en 2020 devraient s'élever à 785 Mt. Les mesures gouvernementales actuelles donneront lieu à 65 Mt d'émissions de gaz à effet de serre de moins que s'il n'y avait eu aucune mesure gouvernementale. Cela montre qu'une diminution supplémentaire de 178 Mt est requise pour atteindre la cible de réduction des émissions du Canada. Les gouvernements provinciaux ont établi une cible globale qui permettrait de réduire les émissions pour atteindre 625 Mt en 2020. Des réductions supplémentaires de 160 Mt du gouvernement provincial sont requises pour atteindre les cibles de réduction des émissions provinciales combinées.
Chine : 7 233 Mt, soit 19 %; États-Unis : 6 914 Mt, soit 18 %; Union européenne : 5 043 Mt, soit 13 %; Fédération de Russie : 1 955 Mt, soit 5 %; Inde : 1 859 Mt, soit 5 %; Japon : 1 346 Mt, soit 4 %; Brésil : 1 012 Mt, soit 3 %; Canada : 731 Mt, soit 2 %, autres : 11 535 Mt, soit 37 %.
Par activité : sources de combustion fixes : 336 Mt, soit 46 %; transport : 192 Mt, soit 26 %; sources fugitives : 65 Mt, soit 9 %; processus industriels : 55 Mt, soit 8 %; agriculture : 62 Mt, soit 8 %; déchets : 21 Mt, soit 3 %; par secteur économique : transport : 164 Mt, soit 22 %; électricité : 126 Mt, soit 17 %; pétrole et gaz : 153 Mt, soit 21 %; secteurs à forte intensité d'émissions et tributaires du commerce : 80 Mt, soit 11 %; bâtiments : 80 Mt, soit 11 %; agriculture : 74 Mt, soit 10 %; déchets et autres : 54 Mt, soit 8 %.
La figure 3 présente une ligne de séries chronologiques sur un graphique, pour la période allant de 1990 à 2008, et qui représente les émissions canadiennes antérieures. En 2008, la ligne se divise en trois pour représenter : un prix international du pétrole et un taux de croissance du produit intérieur brut faibles, un prix international du pétrole et un taux de croissance du produit intérieur brut élevés ou un prix international du pétrole et un taux de croissance du produit intérieur brut de référence. Le graphique montre qu'avec un scénario où le prix international du pétrole et le taux de croissance du produit intérieur brut sont élevés, les émissions devraient augmenter plus vite pour atteindre 839 Mt d'ici 2020. Le graphique montre qu'avec un scénario où le prix international du pétrole et le taux de croissance du produit intérieur brut sont faibles, les émissions devraient augmenter moins rapidement pour atteindre 747 Mt d'ici 2020. Selon un prix international du pétrole et un taux de croissance du produit intérieur brut de référence, l'augmentation des émissions devrait atteindre 785 Mt en 2020.
Émissions historiques : 1990 : 592 Mt; 1995 : 641 Mt; 2000 : 717 Mt; 2005 : 731 Mt; 2008 : 734 Mt; émissions prévues : 2010 : 710 Mt; 2015 : 741 Mt; 2020 : 785 Mt.
La figure 5 présente une ligne de séries chronologiques sur un graphique, pour la période allant de 1990 à 2008, et qui représente les émissions canadiennes antérieures. En 2008, la ligne se divise en trois pour représenter le cas où le gouvernement n'aurait pris aucune mesure pour réduire les émissions et le cas actuel qui comprend les initiatives et les programmes gouvernementaux en cours. Le graphique montre que sans les mesures gouvernementales provinciales et fédérales actuelles, les émissions seraient de 65 Mt plus élevées en 2020.
La figure 6 présente deux lignes sur un graphique pour la période allant de 1990 à 2020. Une ligne montre que sans mesure gouvernementale, les émissions en 2020 devraient s'élever à 850 Mt. L'autre ligne montre qu'avec des mesures gouvernementales, les émissions en 2020 devraient s'élever à 785 Mt. Les mesures gouvernementales actuelles donneront lieu à 65 Mt d'émissions de gaz à effet de serre de moins que s'il n'y avait eu aucune mesure gouvernementale. Cela montre qu'une diminution supplémentaire de 178 Mt est requise pour atteindre la cible de réduction des émissions du Canada. Les gouvernements provinciaux ont établi une cible globale qui permettrait de réduire les émissions pour atteindre 625 Mt en 2020. Des réductions supplémentaires de 160 Mt du gouvernement provincial sont requises pour atteindre les cibles de réduction des émissions provinciales combinées.
La figure illustre deux lignes sur un graphique en séries chronologiques pour la période allant de 1990 à 2020. Les tendances des prix indiquent qu'historiquement, le prix du pétrole lourd/bitume suit celui du pétrole brut léger (WTI), mais se situe entre 50 % et 60 % plus bas. Les deux lignes sont parallèles au cours du temps et elles augmentent toutes les deux de manière importante après la reprise de 2011.
Cette figure présente une ligne dans un graphique en séries chronologiques qui s'étend sur les années 1990 à 2020. Les tendances des prix montrent qu'il y a eu une chute des prix au cours des années de récession vers 2009, mais que les prix se sont depuis rétablis et devraient rester stables à peine en dessous des niveaux de 2005.
Le diagramme montre comment le modèle Infometrica « TIM » transmet les données suivantes au modèle « Énergie 2020 » : production brute en fonction des territoires d'industrie, du revenu personnel, de l'inflation, des taux d'imposition et des taux de change. Ensuite, Énergie 2020 contrebalance la demande et l'offre de prix constitutifs. Les résultats provenant d'Énergie 2020 sont ensuite entrés dans le modèle TIM, créant ainsi un chemin circulaire. Les résultats comprennent : (i) les changements des investissements dans l'énergie au moyen de l’équipement et des structures par secteur et par industrie; (ii) les changements de l'intensité énergétique (apport énergétique par unité d'extrant) par secteur, par industrie et par carburant et (iii) les changements des prix de l'énergie.